La bière qui affiche des taux plus bas en alcool que le vin n'est pourtant pas moins calorique. «Une bouteille de bière de 341 ml à 5% d'alcool correspond à 147 calories, explique la nutritionniste. Il y a moins d'alcool, mais beaucoup plus de glucides (ou de sucre). Six fois plus que dans le vin.
Techniquement, le vin est en effet plus calorique que la bière. Mais on le consomme en quantités moins importantes (un verre de vin faisant, en général, 12,5 cl contre 25 à 50 cl pour la bière). Pas de règle absolue, donc, car il existe en outre autant de recettes et techniques de fabrication que de bières.
Pas plus de calories que dans le vin
Certes, mais si l'on prend en compte le fait que la plus petite unité de bière habituellement servie est de 25 cl alors qu'un verre de vin standard est de 12.5cl il faudra tout de même compter 120 calories pour un demi de bière contre 90 pour un verre de vin.
Le cidre est la boisson alcoolisée la moins calorique car il contient peu d'alcool et donc peu de sucre. Un verre de cidre brut contient environ 50 calories. Contrairement aux idées reçues, le cidre doux n'est pas plus calorique que le brut.
En effet, la levure qui entre dans la composition de cette boisson (alcoolisée ou non) assure une teneur en gaz carbonique. D'où la présence des petites bulles dans un verre ou une bouteille de bière. Le gaz carbonique dans l'organisme a pour effet de faire gonfler le ventre s'il est absorbé en excès.
L'eau est la boisson la moins calorique du monde. C'est donc une bonne chose d'alterner un peu, surtout si on boit en parallèle un alcool très calorique ! Et s'il est plus que conseillé de boire de l'eau quand on boit de l'alcool, c'est parce que l'alcool déshydrate incroyablement l'organisme.
Whisky ou Bourbon Whisky
En effet, le whisky contient environ 105 calories par portion et le Whisky Bourbon n'en contient que 97. L'avantage de ces boissons, c'est que vous pouvez vous détendre et boire sans vous sentir lourd ou ballonné.
Bière ordinaire de type Pils : 12,8 grammes de glucides, 0 gramme de sucre. Bière à faible teneur en glucides : 2,6 grammes de glucides, 0 gramme de sucre. Bière sans alcool : 28,5 grammes de glucides, 28,5 grammes de sucre.
Avec seulement 80 calories pour 100 ml (une flûte remplie en contient 125 ml), le Champagne remporte la palme du vin le moins calorique !
Micro Ipa. Elles seront sans doute les moins caloriques de toutes car ces bières ont la particularité d'avoir un degré d'alcool inférieur à 3%.
Notez cependant que le vin rouge reste, nonobstant ses effets nocifs sur la peau, l'alcool le moins dommageable pour la santé. Consommé en petites quantités, il peut même avoir des effets positifs, comme la réduction des troubles de l'érection ou encore l'amélioration de la santé cardiovasculaire et du sommeil.
La faute aux habitudes alimentaires
C'est dit, la bière est faible en calories. Donc à elle seule, consommée avec modération, elle ne fait pas grossir, à moins d'en boire des litres.
La bière riche en glucides, protéines, vitamines et minéraux, est relativement peu calorique (40 Kcal pour 10cl), moins que le vin (55 Kcal), les sodas (60 Kcal) et surtout que le whisky (260 Kcal).
Dans ces conditions, pas étonnant donc que la bière la plus forte au monde soit aussi la plus calorique ! La Snake Venom et la Armaggedon de la brasserie écossaise Brewmeinster dépassent les 65% ABV. Ces bières très spéciales vous apporteront 2025 kcal par bouteille de 33 cl !
« L'exercice d'intensité faible à modérée (comme la marche ou le jogging) est également efficace - il exige simplement une durée beaucoup plus longue, de quatre à six heures par semaine, comparativement à une à deux heures pour les activités à forte intensité comme la course à pied.»
Pour être précise: un verre de vin rouge contient un peu plus de 80 Kcal contre environ 130 Kcal pour un demi. Moralité: un verre de vin est un peu moins calorique qu'un verre de bière, mais les deux font grossir. Avec une consommation modérée, l'effet est plus ou moins insignifiant.
Pour trancher la question une fois pour toutes, nous avons posé la question à un zythologue. Et sa réponse est très claire : non, la bière n'est pas responsable du gros ventre des buveurs de bière. Elle ne fait pas plus grossir qu'une autre boisson alcoolisée.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids. En une seule semaine vous pouvez éliminer de 0.5 kg à 2 kgs. Au bout de quatre semaines, la perte de graisse est plus marquée et on commence à percevoir un vrai changement.
Deux verres de vin rouge avant de se coucher réduisent de 70 % les risques de surpoids et vous aident à perdre quelques kilos. Imaginez le succès que cela pourrait avoir si vous le combinez avec du sport pendant la journée ! Génial ! Certains scientifiques expliquent ce fait par l'effet du resvératrol sur l'organisme.
C'est le resvératrol (polyphénol contenu dans la peau du raisin) qui confère cet effet “brûle-graisse” au breuvage. Une étude scientifique, basée sur 13 ans de conclusions passées, détermine avec précision la quantité exacte d'alcool à ingérer et ne pas dépasser pour cumuler plaisir et minceur.
Une consommation qui ne pose pas de problème
Les résultats obtenus ont permis aux experts des institutions et universités espagnoles de signer un consensus sur le sujet. L'annonce est donc sans appel : boire au maximum un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes ne présente aucun risque pour la santé.
Plus connue pour ses vertus engraissantes, la bière ferait maigrir, ou plutôt aiderait au processus de perte de poids. D'après l'école polytechnique de Lausanne une molécule contenue dans la bière aiderait à prévenir la prise de poids et le diabète.
L'alcoolorexie n'étant pas médicalement reconnue, les symptômes de cette pathologie ne sont pas clairement définis. Elle se manifeste donc par le fait de sauter des repas pour pouvoir boire de l'alcool et réduire ainsi le nombre de calories ingérées.
La dose quotidienne maximale de bière à ne pas dépasser se situerait entre 300 et 450 millilitres pour les hommes et 300 millilitres pour les femmes, selon les résultats d'une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.