Les températures pour chaque pièce sont adaptées selon différentes caractéristiques : pour les pièces à vivre (salon, salle à manger, cuisine) la température recommandée est de 19°C, alors que pour la chambre elle est de 16°C. Pour la salle de bain elle se situe entre 17°C (inoccupée) et 22°C (en cas d'utilisation).
Dans un logement inoccupé, la température minimale est de 16° en cas d'absence pendant 24 à 48 heures. Pour une vacance qui se prolonge sur plus de deux jours, le minimum requis est de 8°.
Idéalement, elle doit être comprise entre 18 et 19°C dans votre salon. Pour faire des économies d'énergie, nous vous conseillons de maintenir une température souhaitée de 18°C dans les pièces à vivre : 1°C en moins, c'est 7% de réduction sur votre consommation énergétique (source ADEME).
Les modes « Absent » ou « Hors gel » sont plus adaptés et réduisent les incidents. Ils permettent de continuer à chauffer l'habitation en consommant le moins possible. Ainsi, pour une absence prolongée, la température de chauffage idéale est de 6 °C minimum. Cela permet des économies énergétiques autour des 60 %.
La température mesurée au centre de chaque pièce doit pouvoir être maintenue à 18°C minimum. Si ce n'est pas le cas, le locataire peut exiger du propriétaire qu'il intervienne. Si la température est de 18°C, le locataire ne peut pas exiger une hausse de la température.
241-29 du code de l'énergie instaurent l'obligation de limiter la température de chauffage dans l'ensemble des pièces d'un logement à 19° C en moyenne, avec une amende de 1 500 euros à la clé en cas de non-respect, dans les faits, il n'en est rien.
Inutile de surchauffer, la température réglementaire de 19 °C convient. Mais il faut chauffer sans période d'interruption car l'air froid sature plus rapidement que l'air chaud.
La température mesurée au centre de chaque pièce doit pouvoir être maintenue à 18°C minimum. Si ce n'est pas le cas, le locataire peut exiger du propriétaire qu'il intervienne. Si la température est de 18°C, le locataire ne peut pas exiger une hausse de la température.
Pour une courte absence
Il est donc fortement recommandé de bien fermer les fenêtres, vitres et volets ou stores et de laisser un minimum de chauffage. Si l'absence ne dure que quelques jours, il est possible de programmer le chauffage pour qu'il s'allume à certains créneaux horaires et chauffe à 16°C ou 17°C.
Ne pas chauffer une maison est sans aucun doute une très mauvaise idée. Au-delà du manque de confort généré, cela peut altérer la structure même de la maison.
Dans un bureau où le thermomètre indique pourtant 21°C, on peut se sentir mal à son aise en raison de la présence d'une surface très froide (fenêtre ou mur), compensée par des radiateurs qui tournent à plein régime. Car le corps humain est très sensible aux asymétries de température.
17 degrés, c'est la température qu'il fait parfois l'hiver, au soleil, à l'abri derrière la digue. 17 degrés, ça suffit pour prendre des coups de soleil – on croit qu'il fait froid mais le soleil cogne et l'air de rien, on rougit. 17 degrés, surtout, c'est la température de la Manche en juillet.
Il faut que la température soit comprise entre 20°C et 25°C toute l'année pour garantir un très bon niveau de confort.
Lorsqu'un logement est vacant pour plusieurs mois (résidence secondaire, défaut de locataire...), il est impératif de maintenir une température « hors-gel » à 8°C minimum. C'est d'ailleurs une obligation dans les copropriétés.
Renforcez l'isolation thermique de votre logement
Selon l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), « les fenêtres et ouvrants constituent 10 à 15 % des déperditions thermiques ». Pour espérer passer l'hiver sans chauffage, il vaut mieux avoir un logement bien isolé du froid extérieur.
Il est inutile de chauffer les différentes pièces de votre maison quand vous vous absentez. Cependant, il n'est pas forcément conseillé d'éteindre totalement le chauffage. Cela pourrait entrainer une chute drastique des températures, notamment lors d'un hiver particulièrement froid.
Astuce n°1 : chauffer sans surchauffer
Pour freiner au mieux la progression de l'humidité, il est important de ventiler puis de chauffer les pièces les plus humides. Attention cependant à ne pas surchauffer votre intérieur, et à ne pas ventiler et chauffer simultanément afin d'éviter les déperditions de chaleur.
Cela peut être néfaste pour la santé et provoquer une fatigue importante, des malaises et des maux de tête. Si en revanche vous dormez dans une pièce trop froide, votre corps et vos muscles essaient de produire de la chaleur, ce qui empêche votre sommeil d'être réparateur.
Limitation de température à 19°
La limitation de la température est fixée par la Loi à 19° pour les bâtiments collectifs équipés de chauffage central. Les articles R. 241-25 à R. 241-29 du code de l'énergie instaurent l'obligation delimiter la température de chauffagedans les bâtiments.
Installer un chauffage dans un logement
C'est une obligation imposée par la loi au propriétaire bailleur dans l'article 1719 du Code civil.
En dessous de 40%, vous ferez face à un air très sec.
Pourront se multiplier les sensations d'irritations ou de gorge sèche ou d'yeux secs. Au-delà de 70%, vous risquez de faire face à un fort taux d'humidité. De la moisissure risque d'apparaître.
La gomme arabique a un fort pouvoir de déshumidification. Placez-en dans une coupelle dans les pièces trop humides. Même chose pour le charbon : mettez 2 ou 3 morceaux dans un bocal au couvercle percé. A changer toutes des 3 semaines.
Or, le chauffage est rarement la solution la plus efficace pour réguler l'hygrométrie d'un logement. Et c'est sans compter le cout financier et écologique que cela engendre. Lutter contre l'humidité, cela passe forcément par une bonne ventilation et une bonne isolation.