La consommation excessive d'alcool est reconnue pour entraîner des troubles importants de la paroi intestinale, ainsi que l'apparition de processus inflammatoires délétères pour l'organisme, que ce soit au niveau intestinal, cardiovasculaire, rénal ou cérébral.
Bien que ces résultats soient prometteurs, il est essentiel de souligner l'importance de la modération. Une consommation excessive d'alcool, y compris de bière, peut avoir des effets néfastes sur la santé, y compris des problèmes digestifs tels que les reflux gastriques et les ballonnements.
Certaines marques de cette boisson populaire seraient "très, très saines", d'après un expert. Un scientifique de l'université d'Amsterdam considère que les bières belges fortes, comme Hoegaarden, Westmalle Tripel et Echt Kriekenbier, stimulent les bactéries intestinales.
La consommation d'alcool est souvent associée à la diverticulite, aux douleurs intestinales, à l'intestin irritable, aux gaz et aux flatulences.
Chez les gros buveurs de bière, il finit par s'infiltrer de graisse et dysfonctionner. Les sucres iront aussi remplir les adipocytes - cellules graisseuses – au niveau de l'abdomen, d'où une prise de poids importante, ainsi qu'un risque accru de diabète de type 2 et de maladie cardiovasculaire.
Une intolérance à l'alcool arrive rarement sans raison, c'est souvent très en lien avec l'état psychologique dans lequel on se trouve lorsque l'on consomme. D'autres facteurs peuvent être mis en cause, comme la fatigue ou le stress,mais nous ne sommes pas compétents pour vous donner un avis médical.
La conséquence directe d'une consommation d'alcool plus fréquente et importante sont des modifications prononcées de votre comportement. Les plus courantes sont sautes d'humeur et irritabilité. De l'anxiété et des difficultés à assurer vos journées peuvent également faire leur apparition.
À privilégier : Les alcools faibles en FODMAP
Le vin (rouge, rosé et blanc), la bière, la vodka, le whiskey, le vin effervescent (Champagne, mousseux, …) sont tous faibles en FODMAP.
Maux d'estomac, nausées et vomissements
L'alcool stimule la muqueuse gastrique et celle-ci produit alors davantage d'acide gastrique. De cette façon, une consommation excessive d'alcool peut entraîner une détérioration de la muqueuse gastrique. Cela entraîne à son tour des maux d'estomac.
Deux verres par jour
Malgré tout, la bière peut entraîner un ballonnement du ventre. Cela est simplement dû au gaz carbonique qui distend l'estomac. Cet effet est passager et il n'a rien à voir avec l'accumulation dangereuse de graisse abdominale.
Cette recherche, présentée dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, suggère que la bière blonde, qu'elle contienne de l'alcool ou non, pourrait favoriser la présence de bonnes bactéries dans le microbiote intestinal.
Oui, ca peut faire gonfler le ventre, mais c'est un phénomène qui est passager pour deux raisons : tout d'abord, dans la bière, on a du gaz carbonique parce que c'est une boisson gazeuse. Pendant la fermentation, il y a du gaz carbonique qui se crée.
La bière, alliée des reins et du transit
Lutte contre la constipation, réduction du mauvais cholestérol… Votre transit peut donc vous remercier. Faible en sodium mais bourrée de potassium et composée d'environ 90 % d'eau, la bière est aussi un excellent diurétique et fera fonctionner vos reins comme jamais.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Verser votre champagne ou bière à la verticale, permettrait à votre boisson de se dégazer en grande partie, facilitant ainsi leur digestion !
Il a notamment pour effet d'empêcher la sécrétion de gastrine, une hormone essentielle à la digestion. Comme celle-ci contrôle normalement l'acidité de l'environnement digestif et aide à générer le mouvement péristaltique, la digestion ralentit et les parois du tube digestif tendent à s'irriter.
Il ne faut pas penser que seuls les alcools forts peuvent donner une diarrhée, car l'effet ne provient pas du degré absorbé. “Dans les faits, ce n'est pas le type d'alcool qui a un effet, mais bien la quantité ingérée par la personne.
Les chercheurs ont conclu que boire deux pintes de bière suffit à atténuer une douleur physique (mal de tête, maux de ventre, etc.) de 25 %, soit plus que le paracétamol.
Certaines recommandations destinées aux patients souffrant de troubles digestifs tels que le syndrome du côlon irritable déconseillent la consommation de caféine.
L'activité physique, c'est donc marcher, jardiner, bricoler, jouer avec les enfants... et, bien sûr, faire du sport. Des exercices de relaxation, la sophrologie, le yoga, etc. peuvent, dans certains cas, être bénéfiques. Discutez avec votre médecin des moyens de gérer votre stress.
Deux yaourts par jour
Les chercheurs supposent que l'apport en lactobacilles des yaourts a permis de modifier la flore intestinaleet de traiter le syndrome du côlon irritable. Il est fort possible que le lactose contenu dans le yaourt, plus facilement digérable, ait donc été mieux supporté que celui du lait.
Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement. Consommer de manière très régulière voire tous les jours, sans pouvoir diminuer sa consommation, encore moins l'arrêter plusieurs jours d'affilée, montre qu'il souffre de "craving", un besoin impérieux de consommation d'alcool.
L'hépatopathie alcoolique est une maladie hépatique due à l'abus d'alcool pendant une période prolongée. En règle générale, la quantité d'alcool consommée (volume, fréquence et durée) détermine le risque et la gravité des lésions hépatiques.
L'oseille aigre
Son goût particulier la rendrait efficace pour dégoûter de l'alcool et en finir avec l'alcoolisme. Comme le gingembre, cette plante favorise la détoxification de l'organisme.