Aucun traitement ne permet de guérir la colopathie fonctionnelle. Des médicaments peuvent toutefois atténuer temporairement ses symptômes. Des antispasmodiques sont parfois prescrits afin de réduire les douleurs occasionnées par la diarrhée, notamment lorsqu'elle dure jusqu'à 24 heures.
Le traitement est essentiellement symptomatique visant à soulager les symptômes. La première ligne de traitement est représentée par les traitements antispasmodiques (Buscopan ® , Spasmomen ®, Duspatalin ®, …) qui agissent en diminuant les contractions musculaires du tube digestif.
Elle peut durer de quelques heures à quelques jours. Elle est classiquement soulagée par l'émission de selles ou de gaz. La douleur abdominale est en général absente la nuit.
Les causes du syndrome du côlon irritable ne sont pas connues. Environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises de colopathie à des périodes de fatigue ou de stress intense. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l'intensité des crises.
La colopathie fonctionnelle n'est pas une maladie grave.
Cependant, elle se manifeste souvent par des ballonnements, des régurgitations, des nausées, des maux de tête, des palpitations, des troubles urinaires, etc.
Certains médicaments comme le Librax® par exemple contiennent même en association un antispamodique et un anxiolytique. Contre l'agression de la muqueuse digestive et les ballonnements, votre médecin pourra prescrire des pansements intestinaux à base d' argile ou des adsorbants contenant du charbon activé.
Ce sont des douleurs abdominales récidivantes au moins trois jours par mois, de façon chronique (depuis au moins trois mois), associées à un trouble du transit (forte constipation, forte diarrhée ou alternance des deux) qui caractérisent un SII.
Pour diminuer les douleurs, le médecin prescrit en première intention des antispasmodiques (pour lutter contre les spasmes). Il peut également recommander les pansements gastro-intestinaux qui atténuent la sensibilité intestinale.
Ce diagnostic est évoqué devant l'association de symptômes (douleurs abdominales ou inconfort, trouble du transit…). Les examens réalisés par le médecin traitant ou le gastroentérologue, en fonction de la symptomatologie (prise de sang, coloscopie, examens radiologiques,…), sont le plus souvent normaux.
Syndrome de l'intestin irritable (colopathie fonctionnelle) et médicaments. Il n'existe pas de médicaments permettant de guérir définitivement le syndrome de l'intestin irritable.
Nos trois conseils pour bien vivre sa colopathie
Un régime sans fibres, c'est : un peu de viande ou de poisson et un peu de riz ou de pâtes et cela du matin au soir ! Le petit déjeuner va vous changer mais une tranche de jambon et une cuillérée à soupe de riz froid c'est suffisant pour bien se porter dans la matinée.
Ces troubles peuvent être entrecoupés de périodes d'accalmie ou, au contraire, peuvent provoquer une grande fatigue, des maux de tête, ou une perte de poids quand l'individu réduit son alimentation par peur de déclencher des crises.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Il offre une excellente digestibilité Comme son amidon est facilement accessible aux enzymes digestives, il ne ballonne pas et convient en cas d'intestin irritable. Il a également des vertus antidiarrhéiques.
Le yoga. La pratique du yoga semble améliorer les symptômes du syndrome de l'intestin irritable.
Par la suite, l'inflammation s'en suit avec des adhérences qui augmentent les douleurs. Les conséquences au delà des maux de ventre sont fréquemment des tensions musculaires et des blocages articulaires au niveau du bassin, des lombaires ou des vertèbres dorsales.
Un apport en fibres adéquat permet de diminuer les symptômes de la colopathie fonctionnelle. Cela favorise notamment la réduction des risques de constipation. Une consommation équitablement répartie d'aliments riches en fibres sur la journée aide en l'occurrence à exclure les risques de flatulences ou de ballonnements.
Des probiotiques
Les patients souffrant de colopathie fonctionnelle ont un déséquilibre de la flore intestinale, avec des bactéries trop ou pas assez présentes. Les probiotiques présents dans certains aliments, comme les yaourts peuvent donc être bénéfiques.
Misez sur : les céréales à base d'avoine (gruau et son) le quinoa (pâtes et flocons) le seigle (pain ou farine) qui regorgent de fibres solubles.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
Le fenouil, l'anis vert, le carvi ou le cumin sont carminatives, autrement dit, elles aident à expulser l'air bloqué dans les intestins tout en réduisant les douleurs. Les tisanes de thym, de romarin, d'anis vert, de mélisse, de menthe poivrée, ou encore de camomille sont recommandées de façon traditionnelle.
Lombaires : vessie, utérus, prostate, ovaires, côlon
Le côlon et la fin de l'intestin grêle donneront également ce type de lombalgie. Des constipations, des diarrhées, des crampes ou également des ballonnements illustrent plutôt une souffrance du côlon.
le fait de manger; les flatulences (excès de gaz); les hormones féminines (chez les femmes atteintes du SCI, les symptômes s'aggravent souvent pendant les menstruations); l'utilisation de certains médicaments et de certains aliments (par ex.
La banane pour stimuler le transit intestinal
La banane est une bonne source de fibres alimentaires, une portion de 100 g contient près de 2,6 g de fibres, soit un peu plus que la pomme (2,4 g). Sa bonne teneur en fibres en fait un allié de choix pour améliorer le transit intestinal.