Grande oubliée de la Loi du 30 novembre 2021 visant à lutter contre la maltraitance animale et conforter le lien entre les animaux et les hommes, la corrida reste autorisée au motif d'une tradition locale ininterrompue.
Pourtant, plusieurs pays qui pratiquaient la corrida ont fait le choix de l'interdire progressivement comme le Chili, l'Argentine, Cuba ou encore l'Uruguay. La Catalogne a également eu le courage de voter son interdiction en juillet 2010, faisant figure d'exception en Espagne.
Régulièrement attaquée devant les tribunaux par des associations de défense des animaux, la corrida est toujours autorisée en France. Si notre Code pénal réprime les actes de cruauté envers un animal, elle bénéficie d'une exception législative au nom de « traditions locales ininterrompues ».
Elle est pratiquée essentiellement en Espagne, au Portugal, dans le Midi de la France et dans certains États d'Amérique latine (Mexique, Pérou, Colombie, Venezuela, Équateur et Bolivie).
"Locale", la pratique de la tauromachie est limitée dans l'espace : un arrêt de la cour d'appel de Toulouse datant du 3 avril 2000 restreint cette activité "dans le Midi de la France, entre le pays d'Arles et le pays Basque, entre la garrigue et la Méditerranée, entre Pyrénées et Gascogne", rappelle La Dépêche du Midi.
Ses conclusions sont que, durant une corrida, le taureau ne souffre pas et même, ressent une sensation de bien-être.
Elle reste pourtant autorisée dans certaines régions… Des actes similaires dans la loi française se dénomment « sévices graves et actes de cruauté », et pourtant une exception pour la corrida demeure au motif d'une « tradition locale ininterrompue ».
Il s'agit de : l'estocade media-vuelta (au demi-tour) où le matador provoque le taureau en se plaçant derrière lui à courte distance, et l'estocade al revuelo (par surprise) où le matador dévie le taureau d'un côté, et enfonce l'épée de l'autre.
Dans la tradition taurine, le taureau gracié est considéré comme particulièrement volontaire, et pourrait lui-même transmettre son courage à sa progéniture. Après la bataille, le brave Cazatodes a donc la mission de concevoir de nouveaux petits toros, eux-aussi destinés aux corridas.
La corrida avec mise à mort reste légale en Espagne, dans une partie de la France, au Mexique, en Colombie, au Pérou, au Venezuela et dans une partie de l'Equateur. Au Portugal et dans une autre partie de l'Equateur, tuer le taureau dans l'arène est interdit même s'il est abattu ensuite.
Raison n°1) La corrida provoque la souffrance d'un animal
Cela commence par l'action des picadors qui, juchés sur des chevaux, plongent leurs armes (qui mesurent entre 20 et 30 cm) dans les muscles et les ligaments du cou de l'animal, de sorte que celui-ci se trouve forcé de baisser la tête.
Parce que tout en respectant l'espace dévolu à l'ombre dans l'arène et dans la vie – rien n'est plus clairvoyant que ce spectacle, allant parfois jusqu'au sordide – elle fait en sorte que ce soit la lumière qui ait toujours le dernier mot. Elle est par excellence une fête de transfiguration et de résurrection.
L'argument économique avancé par les pro-corridas concerne aussi l'écosystème économique qu'elles généreraient comme les ferias, ces fêtes mémorables qui peuvent drainer un million de visiteurs comme à Bayonne. Seulement, un sondage permet de voir que 96% des visiteurs des ferias (Nîmes, Bayonne, etc.)
En effet, le Comité des Nations unies préconisait d'interdire l'accès aux corridas à tous les moins de 18 ans.
En fin de corrida, les matadors quittent l'arène l'un après l'autre, par ordre d'ancienneté. Si l'un d'entre eux a été particulièrement brillant, il sortira a hombros, sur les épaules de ses admirateurs.
Après l'avoir fait charger deux ou trois fois un leurre fait de toile, Francisco Romero estoque le taureau à l'aide de son épée a recibir. Par la suite, il recommence dans d'autres arènes et devient un véritable professionnel. Francisco Romero est généralement considéré comme « l'inventeur » de la corrida moderne.
Taureau (du 20 avril au 20 mai)
Vous ne pouvez pas supporter les Gémeaux tellement ils sont excentriques. Vous êtes totalement décontenancé par leur indécision et ils vous rendent complètement troublé. Ils sont imprévisibles, ce qui les rend terrifiants pour vous.
Le plus gros défaut du Taureau est son côté possessif et exclusif. Le Taureau ne supporte pas, surtout dans son couple, que l'on puisse convoiter ce qui lui appartient. Sa jalousie est légendaire et le Taureau peut très vite s'emporter et foncer sans réfléchir s'il sent qu'il est menacé, et souvent à tort.
Taureau (20 avril-20 mai) : la possessivité
Réputé pour être le pire signe astrologique pour une femme, le signe du Taureau est souvent associé à la possessivité.
Les taureaux de la Feria biterroise sont en effet revendus après la corrida. Boucheries et grandes enseignes commercialisent cette viande, en dépit parfois de la pression des anti-corridas (Lire Midi Libre du 10 août 2014).
José María Manzanares, le « torero des toreros »
Dans le monde de la tauromachie, le verdugo (de l'espagnol « bourreau ») est une épée que le matador utilise pour porter le descabello si son estocade n'a pas été efficace. Cette arme, qui permet d'achever le taureau, est aussi appelée verduguillo.
Corrida d'apprentissage, sans picador ni mise à mort, au cours de laquelle de jeunes apprentis toreros affrontent des veaux de moins de trois ans (becerro en espagnol).
Elle est pratiquée essentiellement en Espagne, dans le midi de la France, dans divers états d'Amérique latine et des États-Unis ainsi que dans quelques communes du Portugal. La corrida de rejón est l'affrontement du torero à cheval avec un taureau de combat qui sera tué avec une lance ou rejón.
Elle veut d'un amant qui sait à quel point elle est formidable et qui est disposé à le lui dire. Vous devriez donc lui faire des compliments et la flatter – assurez-vous simplement qu'ils soient sincères ! Elle s'ouvrira plus rapidement à vous quand vous lui faites comprendre qu'elle est unique à vos yeux.