Il y a donc de la croissance, mais la croissance est de plus en plus faible. Cela signifie donc que le PIB augmente chaque année (en effet taux de croissance positif = PIB augmente), mais il augmente chaque année un peu moins que l'année précédente. → Dans le cas de la récession, le PIB baisse.
La croissance est l'évolution du produit intérieur brut (PIB) sans tenir compte de la variation des prix. Le produit intérieur brut d'un pays est égal à la somme des valeurs ajoutées des producteurs résidant sur son territoire. Le PIB, c'est la richesse créée par les activités de production.
La variation du PIB d'une année sur l'autre permet de mesurer le taux de croissance économique d'un pays. À l'inverse, une diminution du PIB traduit une décroissance de l'économie. Le PIB par habitant mesure le niveau de vie.
La mesure du PIB a plusieurs avantages : Elle permet de mesurer les richesses produites globalement sur le territoire, donc sa capacité globale à satisfaire des besoins, son . Elle permet de mesurer l'évolution de cette production, ce que l'on appelle l'activité économique.
Lorsque le PIB diminue au sein d'une économie, on parle non pas de récession mais d'un taux de croissance négatif. Cela signifie qu'il y a destruction de richesse, alors que la récession désigne une activité économique qui progresse toujours, mais de manière moins soutenue que la période précédente.
Une récession correspond à une phase de diminution de l'activité économique. Cette notion peut parfois être employée pour décrire un simple ralentissement du rythme de la croissance économique : la production continue d'augmenter mais à un rythme moins rapide.
La croissance économique présente des aspects positifs quant aux problèmes du chômage et de la pauvreté. Elle permet en effet, par le biais de la productivité, d'accroître les quantités de bien et services disponibles et réduire les inégalités. Le développement peut à son tour favoriser la croissance.
Cet indicateur provient de l'estimation de l'ensemble des activités sur un territoire donné pendant une période donnée. Lorsque le PIB est en croissance, l'économie est réputée comme en bonne situation; à l'inverse lorsque celui-ci régresse, alors l'économie est considérée comme en mauvaise posture.
Le PIB n'indique pas non plus si les revenus sont partagés équitablement ou non. Il ne renseigne pas davantage sur la qualité de vie, la situation de l'emploi, la sécurité, et encore moins sur l'ampleur de l'impact environnemental des activités économiques.
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée.
Ce que le PIB n'intègre pas du fait qu'il ne mesure que des flux annuels de production et non un patrimoine : les dégâts causés à l'environnement, les richesses naturelles ou leur épuisement, l'impact d'une catastrophe naturelle, d'une guerre...
De même, de nombreuses activités, licites ou illicites, échappent au PIB. Ce sont les activités qui relèvent du « travail au noir » ou de ce que les économistes appellent « l'économie souterraine ». Une évaluation de ces activités est faite et intégrée à la richesse produite mais cela ne peut être une mesure précise.
La hausse du PIB engendre un accroissement de l'emploi et des revenus réels, sous l'impulsion de la courbe de Phillips. L'emploi augmente de 1,4 % en 2010 et le revenu disponible réel de 3 %.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
La croissance est la quête perpétuelle des politiques économiques. Elle est indispensable pour faire face à bon nombre de problèmes économiques et sociaux, celui du chômage en premier. Elle permet l'élévation du niveau de vie général. La richesse des nations et de ses citoyens en dépend.
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
Le PIB est pourtant un indicateur peu fiable dans les pays les plus pauvres, ce qui pose problème non seulement pour les décideurs politiques et les gens comme moi qui lisent un nombre important de rapports de la Banque mondiale, mais également pour quiconque souhaite se référer à des statistiques pour venir en aide ...
On peut envisager le PIB, c'est-à-dire le produit intérieur brut, comme étant la note globale figurant sur le bulletin d'évaluation des résultats économiques d'un pays ou d'une région. (Image d'un bulletin scolaire.) C'est l'une des méthodes employées pour mesurer la taille et la croissance de l'économie.
Le PIB reste l'indicateur le plus utilisé pour illustrer la croissance économique et peut être utile pour comparer les performances économiques de différents pays. Les États-Unis sont de loin le pays générant le plus de richesse au monde.
La croissance économique mesure l'augmentation de la richesse produite pendant une période donnée. La richesse produite est mesurée par le PIB. Le taux de croissance correspond au taux de variation entre le produit intérieur brut (PIB) au début de la période et le PIB à la fin de la période considérée.
Ce chiffre ne mesure pas la santé de la population, son niveau d'instruction, l'égalité des chances, l'état de l'environnement ou de nombreuses autres dimensions de la qualité de la vie. Il ne mesure même pas des aspects cruciaux de l'économie tels que sa durabilité, c'est-à-dire si elle se dirige ou non vers un krach.
Le PIB (produit intérieur brut) est censé mesurer la quantité de richesses (biens et services) produites chaque année dans un pays (ou une région, ou une ville). Il s'agit donc d'un flux et non d'un stock (comme le patrimoine, les richesses accumulées au fil des années ou la dette totale d'un pays).
La croissance du PIB peut être décomposée en la somme des contributions de ses différentes composantes : dépenses de consommation des ménages, des institutions sans but lucratif au service des ménages et des administrations publiques, investissement, variations de stocks et solde commercial.
La croissance du PIB s'accompagne de la hausse d'émissions de gaz à effet de serre (GES), et plus généralement de celle de la pression sur les ressources et sur les pollutions[1].
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.