Ainsi, la culture nous rend plus humain dans la mesure où chaque activité émanant d'elle – le travail, la technique, mais aussi le langage, les coutumes – contribue à affirmer chaque fois davantage notre spécificité d'être humain différent des autres vivants.
Transition : la culture semble bien constituer une condition essentielle à l'humanisation de l'homme. Elle rend l'homme humain en l'éduquant et en l'aidant à « cultiver » des capacités qu'il ne possédait pas de façon innée.
La culture offre également le moyen d'exprimer sa créativité, de se forger une identité propre et de renforcer ou de préserver le sentiment d'appartenance à la communauté. Les expériences culturelles offrent des occasions de loisirs, de divertissement, d'apprentissage et de partage d'expériences avec d'autres.
La culture nous rend-elle plus humain. Culture : Par opposition à la nature, la culture est l'ensemble cohérent des valeurs, normes, mœurs et connaissances qui caractérisent une société humaine. C'est ce à quoi nous initie l'éducation, en tant qu'elle a pour but de nous ouvrir au monde humain.
Chaque communauté humaine a la force intérieure d'envisager son propre avenir, d'agir pour le réaliser, de partager ses apprentissages et de cultiver sa solidarité.
Le but de n'importe quelle action serait d'augmenter notre plaisir et/ou diminuer notre souffrance. Il dérive de cette constatation que « ce qui est bien est ce qui amène le plus de bonheur à la plus grande quantité de personne possible ». Pour Bentham, le sens de la vie est le « principe du plus grand bonheur ».
CULTURE - En favorisant l'éveil aux richesses que chaque milieu et que chaque individu possède, la culture "établit un trait d'union entre les autres et soi-même" ; elle permet de communiquer, elle est rencontre de l'autre.
La culture influe sur ce que nous voyons, comment nous interprétons les choses et comment un environnement doit être organisé. Elle façonne nos perceptions, la manière dont on perçoit des marques, des services, des relations.
Liberté = élargissement de nos fins. C'est aussi pour cette raison que l'on dit qu'être cultivé donne plus de chances de réussir dans la vie : connaître le monde dans lequel on vit, savoir l'analyser, se repérer permet de faire des choix de vie, de se proposer des projets qui nous conviennent.
Effectivement , un types de sens s'en dégage permettant de définir la culture. Dans le sens courant , l'homme peut vivre sans culture . Ce qui signifie que que l'homme n'a rien n'acquis de cette culture , il se réduit donc à un homme inculturée….
La culture permet de jouir de la vie, d'être fier de notre savoir et d'être bien dans sa peau. Se cultiver permet d'apprécier les choses qui sinon nous sont étrangères : les paysages, les tableaux, la gastronomie, ou la musique… Il ya de tout pour faire un monde et pour être heureux.
Ccl 1 : L'Homme est bien un être de nature parce qu'il tient de son hérédité biologique mais l'Homme est surtout un être de culture puisqu'il transforme sa propre nature, puisqu'il n'est rien s'il ne reçoit pas d'éducation qui lui permet de devenir véritablement un Homme.
La culture est l'ensemble des processus par lesquels l'homme transforme la nature. C'est l'ensemble des techniques, institutions, et traditions d'un groupe humain. La nature est tout ce qui existe, c'est-à-dire, tout ce qui entoure l'homme et qui n'est pas de son œuvre.
«La culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social.
Enfin le mot culture désigne l'ensemble des productions propres à une civilisation : ainsi on parle de la culture chinoise pour désigner les arts, les langues, l'histoire et les religions. Pour le sens commun, la culture fait l'homme puisqu'il s'agit d'un trait distinctif par rapport à l'ensemble du règne animal.
La culture contribue positivement aux politiques, stratégies et programmes qui ciblent le développement social et économique, la durabilité environnementale, l'harmonie, la paix et la sécurité. La culture est à la fois un moteur et un catalyseur du développement durable.
L'homme n'est donc pas dénaturé par la culture puisqu'il n'a pas de nature. Il est ce qu'il fait. Ou plutôt, il se fait, il est, dans une certaine mesure, sa propre création comme il est le produit de son époque et de la société.
La définition achevée de notre humanité implique le désir de se cultiver pour nouer des liens avec d'autres sociétés. En ce sens, un homme se définit par sa culture, c'est-à-dire sa curiosité d'esprit, l'étendue de ses connaissances et la force de son jugement.
L'influence des expériences passées sur la consommation culturelle actuelle est double. En effet, elles interviennent, sur le développement d'un intérêt et d'une capacité à apprécier la pratique (développement d'une familiarité, compétence et expertise), et en conséquence, sur la formation du goût.
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
Renoncer à la vérité, reconnaître son inaccessibilité, revient à se libérer de tout ce qui au fond constitue notre désir de toute puissance et donc notre égocentrisme. Le renoncement à la vérité sera donc source de bonheur.
Selon cette approche, la vie est susceptible d'être significative : nous pouvons lui conférer un sens grâce à notre sensibilité. Jean Grondin parle d'une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.
Ne pas emprunter les pas d'un autre, devenir soi-même, voilà ce qui donne un sens à la vie. Même si parfois je suis découragé par l'humanité, je fais partie de ceux qui trouvent qu'il y a toujours des êtres rares qui peuvent croiser leur route. Il suffit d'être attentif. Ces êtres sont des guides.
Parmi les raisons de vivre, les raisons relationnelles sont les plus fréquemment évoquées. Le lien des personnes déprimées avec l'entourage reste toujours fort, même quand elles se sentent extrêmement mal. En voici plusieurs de ce type : Il y a quelqu'un qui tient à moi.