La flemme, c'est d'abord un sentiment que l'on peut ressentir face à quelque chose que l'on n'a pas envie de faire, une contrainte, quelque chose d'imposé : mettre la table, faire ses devoirs, ranger sa chambre, vider le lave-vaisselle… la flemme !
Si le sentiment de vide et la difficulté à se motiver sont durables et importants, il peut s'agir de troubles qui peuvent être très divers, aussi bien médicaux (comme une hypothyroïdie par exemple) que psychologiques ou psychiques : problème de confiance en soi, traumatisme, humeur dépressive etc.
Défini comme une grande paresse, une envie de ne rien faire, la flemme est ce sentiment qui a déjà animé un être humain au cours de sa vie. Elle est généralement causée par une incertitude, une angoisse, par un manque de confiance en soi, par une peur de l'échec.
La flemme est avant tout une sensation corporelle, une forme de mollesse qui pousse à ne pas bouger. Une définition qui peut se rapprocher de la fatigue. Et à l'adolescence, sous l'influence des hormones, tu peux te sentir épuisé·e par ce corps qui grandit et qui te demande beaucoup d'énergie.
Sentiment de paresse, désir de ne rien faire. Avoir la flemme. Synon. cosse (pop.), fainéantise.
familier Qui n'aime pas faire d'efforts, travailler. ➙ paresseux ; cossard. nom Quel flemmard ! ➙ fainéant.
Une origine remontant au Moyen-Age : Ce terme provient d'une époque où la médecine était adepte à la « théorie des fluides », prétendant que de nombreux fluides corporels influaient sur l'humeur ainsi que sur le comportement des individus.
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
La lumière artificielle et l'absence de lumière du soleil perturbent le rythme interne, augmentant les risques de problèmes de santé tels que l'obésité, le diabète et la dépression, rappelle le site du Time.
La perte de la joie de vivre réside dans la tête, mais aussi dans le corps. On se sent épuisé, sans énergie et on n'a envie de ne rien faire. La solution la plus efficace à cet état est de pratiquer une activité physique régulière.
Cette impossibilité à ressentir des émotions, positives ou négatives, peut trouver sa source dans plusieurs événements. Elle peut être due à un traumatisme, un choc émotionnel trop fort ou être liée à un trauma survenu pendant notre enfance. Les troubles qui en découlent se traduisent par différents symptômes.
Si vous préférez les exercices de cardio, la marche est idéale. Faites de la marche rapide pendant une vingtaine de minutes minimum en sortant du bureau. Si vous pouvez, rendez-vous à votre lieu de travail en vélo, sinon, si vous avez un vélo d'appartement, pédalez pendant 30 minutes le soir.
Familier. Envie de ne rien faire. Synonyme : apathie, fainéantise, inertie, léthargie, paresse.
Origine : L'expression "tirer sa flemme" s'utilise pour signifier "paresser", "flemmarder". Notons l'étymologie du terme "flemme", issu du terme "flegme", signifiant "sans énergie, sans courage" "flemmard", "paresseux".
placide. Qui garde son calme en toute circonstance : Rester placide.
En cas de baisse de tonus, des activités douces permettant de travailler la souplesse comme le yoga ou le stretching peuvent être bénéfiques. Lors des périodes de fatigue, profitez de chaque occasion de vous faire du bien : massages, siestes, loisirs…
Le cyclisme et le running se sont forgé une solide réputation, non usurpées, au rang des sports les plus difficiles. Si bien qu'ils ont même été associés dans de nouvelles disciplines, comme le duathlon et le triathlon. Il faut dire que les passerelles entre les deux mondes sont nombreuses.
Car faire un exercice, pas forcément long ni intense, nous aide à produire des hormones et des neurotransmetteurs qui vont aider à combattre notre fatigue, grâce à leur effet euphorisant, énergisant et relaxant.
L'alexithymie est une impossibilité pour le sujet atteint à souffrir ou éprouver la souffrance de l'autre. Il en résulte une absence totale à prendre en compte la réalité de la vie émotionnelle, affective, psychologique dans sa globalité si ce n'est par l'expression violente, l'addiction, le déni.
Il y a 66 % de chances qu'une personne psychopathe ait un score de dangerosité plus élevé qu'une personne choisie au hasard dans la population. En général, ce sont des individus qui ne ressentent pas d'empathie, ils se soucient peu de ce que les autres ressentent et les utilisent pour atteindre leur but.
Des blocages émotionnels surviennent suite à des expériences traumatisantes vécues dans l'enfance ou à des blessures émotionnelles non résolues. Les effets secondaires des émotions non traitées (colère, culpabilité, tristesse…) persistent. Ils affectent le bien-être général d'un individu.