Principale activités : L'auxiliaire de vie sociale veille à la surveillance de la prise des médicaments des résidents, elle aide à l'habillage et déshabillage du lever et du coucher. L'auxiliaire de vie veille au confort et à l'hygiène des résidents, elle suit l'évolution de leur santé, participe aux loisirs.
Les qualités et compétences requises d'une Auxiliaire de vie
Il/Elle doit posséder un grand sens de communication, il/elle doit être à l'écoute de la personne aidée et des aidants, il/elle doit posséder un sens du contact et de l'empathie afin d'établir un lien de confiance avec la personne et son entourage.
En ce qui concerne l'entretien du domicile, l'auxiliaire de vie ne doit pas : s'occuper de ce qui n'est pas à hauteur d'homme comme les murs, les plafonds, les armoires ou les vitres. Elle ne doit pas monter à l'échelle ou déplacer des meubles lourds (comme une gazinière, une machine à laver ou un canapé).
Pour exercer le métier d'AVS, il faut être titulaire du diplôme d'Etat d'auxiliaire de vie sociale (DEAVS). Le salaire net est aligné sur le SMIC (1202 euros pour 35 heures), mais pour celles qui travaillent à domicile, le temps de travail est fractionné, et le temps partiel est assez courant.
Contrairement à l'aide à domicile, l'auxiliaire de vie a un diplôme d'état (Auxiliaire de vie sociale), ce qui lui permet de prodiguer aux personnes âgées ou en situation de handicap des soins plus délicats et plus pointus que ceux dispensés par une aide à domicile.
Si la personne âgée est incapable de prendre seule ses médicaments, l'auxiliaire de vie est autorisée à sortir les médicaments du pilulier et à les donner à la personne âgée mais, mais ne peut pas les administrer elle-même.
L'auxiliaire de vie peut également travailler auprès des enfants. - Couper les ongles des pieds et des mains sauf contre-indication médicale ou paramédicale (diabète, artérite…)
Vous avez la possibilité d'incarner plusieurs rôles à la fois. Tantôt vous jouez au psychologue qui écoute, tantôt vous êtes l'infirmier qui prend soin des bénéficiaires. Vous devenez très lié à la famille par laquelle vous êtes embauché. Les inconvénients de l'ADVF sont essentiellement liés aux conditions de travail.
Pour être auxiliaire de vie, il faut désormais le Diplôme d'État d'Accompagnement Educatif et Sociales (DEAES), formation de 1 à 3 ans avec plus de 500 heures de théorie et plus de 800 heures de pratique.
L'auxiliaire de vie sociale intervient au domicile des personnes, handicapées, âgées, en trouble du comportement (schizophrénie etc..). Une aide soignante bosse en milieu hospitalier donc en structure ou parfois intervient au domicile des personnes.
La toilette au lit ne relève pas de la compétence des auxiliaires de vie. Elle doit être assurée par du personnel soignant (aide-soignante ou infirmière). Chez Petits-fils, l'aide à la toilette d'une personne âgée est toujours assurée par une auxiliaire de vie qualifiée.
Pour une personne en GIR 3 nécessitant une assistance de vie, le tarif moyen est de 12 à 14 €/h, Pour une personne en GIR 2, il faut compter 15 à 16 € de l'heure, Pour une personne en GIR 1, le tarif d'une assistante de vie agréée par le département est fixé à 22 €/h au niveau national.
Une auxiliaire de vie doit être capable d'avoir une relation étroite avec son client pour l'aider à traverser les périodes difficiles. Une bonne auxiliaire de vie comprendra les émotions avec lesquelles une personne âgée peut avoir des difficultés et pourra ainsi l'aider à faire face aux nouvelles réalités.
Les patients se confient d'avantage car certains se sentent plus à l'aise et moins perturbés. Les professionnels de la nuit parlent de moins de stress car la charge de travail est moins importante. Ils notent également plus d'autonomisation dans l'organisation et la planification des soins.
Le salaire médian pour les emplois auxiliaire vie nuit en France est € 23 428 par an ou € 12.87 par heure. Les postes de niveau débutant commencent avec un salaire environnant € 21 816 par an, tandis que les travailleurs les plus expérimentés gagnent jusqu'à € 165 750 par an.
En travaillant au contact des personnes âgées, vous vivrez des moments très riches. Avec elles, vous tisserez des liens particuliers, vous aurez des échanges fructueux : elles vous feront bénéficier de leur expérience de la vie, vous leur apporterez votre professionnalisme.
Quel métier pour travailler en maison de retraite sans diplôme ? Une possibilité d'emploi dans une maison de retraite sans diplôme est d'être aide-soignante. Les aides-soignants sont chargés de fournir des soins de base et une assistance aux résidents des maisons de retraite.
7h - 9h Petit-déjeuner au lit ou dans la salle à manger commune. 9h - 11h Toilette et aide à l'habillage. 11h - 11h45 Premier atelier thérapeutique. 12h - 13h30 Repas thérapeutique dans la salle à manger collective avec l'aide du personnel de l'EHPAD si nécessaire.
Il n'est pas possible de devenir auxiliaire de vie sans diplôme. Si vous exercez sans formation adéquate, vous vous exposerez à des sanctions pénales. Si vous êtes titulaire d'un diplôme étranger, il est possible, sous certaines conditions, d'obtenir une équivalence pour exercer le métier d'auxiliaire de vie en France.
Quelles formations ? Il est possible de passer le concours afin d'obtenir le DEAVS (diplôme d'État d'auxiliaire de vie sociale) ouvert à tous les candidats âgés de 18 ans au minimum. Le DEAVS - de niveau CAP - est le premier niveau de qualification des aides à domicile.
Le GIR (groupe iso-ressources) correspond au niveau de perte d'autonomie d'une personne âgée. Il est calculé à partir de l'évaluation effectuée à l'aide de la grille AGGIR. Il existe six GIR : le GIR 1 est le niveau de perte d'autonomie le plus fort et le GIR 6 le plus faible.
Les principales modalités de prise en charge assurées par le pédicure-podologue sont les soins d'hygiène, coupes d'ongles, d'après 88 % des Ehpad répondants, et les traitements pédicuraux et podologiques des affections des pieds (85 %).
En tant qu'auxiliaire de vie sociale (AVS), vous interviendrez directement au domicile des personnes fragilisées et en perte d'autonomie, que ce soit auprès de personnes âgées, de personnes en situation de handicap ou souffrant d'une pathologie.