L'Église catholique définit ainsi la foi : « La foi est la vertu théologale par laquelle nous croyons en Dieu et à tout ce qu'Il nous a dit et révélé, et que la Sainte Église nous propose à croire, parce qu'Il est la vérité même. Par la foi « l'homme s'en remet tout entier librement à Dieu » (DV 5).
Foi, espérance, charité, prudence, justice, tempérance, force.
L'Eglise catholique distingue en plus trois vertus théologales, ayant Dieu pour objet : la Foi, l'Espérance et la Charité.
La gratitude est non seulement la plus grande des vertus, mais aussi la mère de toutes les autres.
Les vertus cardinales sont le courage, la tempérance, la prudence et la justice universelle. À ces vertus s'ajoutent des vertus humaines telles que la générosité, l'humilité ou la gratitude, et des vertus intellectuelles comme la science, la sagesse ou l'intelligence.
La vertu. La vertu trouve sa source dans vos pensées et vos désirs les plus intimes. C'est un mode de pensée et de conduite fondé sur des principes moraux élevés. Étant donné que le Saint-Esprit ne demeure pas dans des tabernacles impurs, la vertu est une condition préalable pour être dirigé par l'Esprit.
1. Adhésion totale de l'homme à un idéal qui le dépasse, à une croyance religieuse.
Avoir foi en Jésus-Christ signifie se reposer entièrement sur lui : faire confiance à son pouvoir, son intelligence et son amour infinis. Cela comprend croire à ses enseignements. Cela signifie croire que, bien nous ne comprenions pas toutes choses, lui, les comprend.
La foi est l'accueil dans la grâce de la vérité révélée, qui « permet de pénétrer le mystère, dont elle favorise une compréhension cohérente ». Par opposition, la croyance dans les autres religions est « une expérience religieuse encore à la recherche de la vérité absolue. »
Les sept vertus, aussi appelées vertus catholiques, sont codifiées dans la théologie scolastique chrétienne depuis le Moyen Âge. Elles comprennent trois vertus théologales (la foi, l'espérance et la charité) et quatre vertus cardinales (la justice, la prudence, la force et la tempérance).
Contraire : débauche, dévergondage, inconduite, libertinage.
Ces sept vertus qui nous rendent meilleurs. Elles s'appellent la patience, la discrétion, l'affabilité, la bonhomie, la placidité, le silence...
1. Disposition spirituelle à agir avec persévérance en accord avec la loi divine. 2. Disposition particulière pour tel devoir, telle bonne action : La vertu de modestie.
selon les recommandations des projets correspondants. Dans la théologie chrétienne, les vertus théologales sont au nombre de trois : la foi, l'espérance et la charité.
La vertu comme disposition à bien agir
Une vertu est une qualité morale qu'une personne peut posséder, telle que l'honnêteté, la générosité, la justice, etc. Chaque école philosophique affiliée à l'éthique des vertus choisit quelles qualités morales sont importantes et comment définir le concept général de vertu.
Une vertu est une disposition de caractère permettant l'agir éthique c'est à dire la manifestation tangible d'une valeur. Une valeur éthique est un concept abstrait de nature évaluative servant à déterminer l'acceptabilité ou le bien-fondé d'une attitude, d'une action, d'une préférence ou d'une situation.
Selon Socrate, repris par Platon, la vertu est la capacité de vivre au quotidien selon un certain nombre de principes et de valeurs dont la pratique permet de mener une vie morale, c'est-à-dire d'agir en conformité avec ce qu'on pense.
Pour les philosophes grecs antiques, la vertu (dont Socrate se demande si elle peut s'enseigner) est ce que vise le sage. Chez Platon, elle est cette excellence naturelle (arèté en grec) qui permet d'organiser la cité idéale en valorisant quatre vertus cardinales : la sagesse, le courage, la tempérance et la justice.
La charité est la plus grande de toutes les vertus
Le Sauveur nous a donné sa vie comme exemple à suivre. Il était le Fils de Dieu. Il avait un amour parfait et nous a montré comment aimer. Par son exemple, il nous a montré que les besoins spirituels et physiques de nos semblables sont aussi importants que les nôtres.
La sagesse aide les gens à mieux faire face aux difficultés, à l'adversité et aux défis de la vie, leur permettant de conserver leur calme et leur équilibre émotionnel dans les moments difficiles et de maintenir une bonne santé émotionnelle et psychologique*, selon une étude publiée dans The Journals of Gerontology.
Il faut donc former le désir au bien, l'exercer, le façonner. La vertu n'est donc ni une pure connaissance ni une action isolée, mais une habitude, une disposition stable et durable de la volonté, acquise par l'exercice, à bien agir.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie. Ils sont « capitaux » au sens où ils sont la cause, donc à la tête, d'autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes.
Aristote définissait ce qui maintient un juste milieu par le mot de vertu. C'est la modération, la tempérance, qui exprime cet équilibre entre les excès du « trop » et du « pas assez ». Maintenant, pour maintenir le mal véritablement à distance, seule la justice, qui donne à chacun son dû, est appropriée.
Contraire : athéisme, incrédulité, incroyance, scepticisme.
Selon le Catéchisme de l'Eglise Catholique, la foi est la vertu théologale, grâce divine, infusé par Dieu dans l'âme, par laquelle on croit en Dieu et à tout ce qu'il a dit et révélé, et que l'Eglise propose de croire, parce que Dieu est la vérité (dépôt de la foi).