Les sensations de vertige peuvent être symptomatiques du Parkinson et se traduire par des chutes. Pour améliorer la situation, il convient d'intensifier l'activité physique.
Les principaux symptômes de la maladie de Parkinson sont les tremblements, la lenteur des mouvements et la raideur musculaire. D'autres troubles comme un état dépressif, une fatigue, des troubles digestifs... peuvent être associés.
Il peut s'agir de problèmes de sommeil, d'hypersalivation, d'une somnolence excessive dans la journée, de fatigue, de douleurs, de constipation (qui touche 60 % des malades), de mictions urgentes, de dépression, d'hallucinations, de troubles cognitifs…
La fatigue est un symptôme extrêmement fréquent chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Elle présente beaucoup de similitudes avec l'apathie, comme un manque d'énergie, d'intérêt et de motivation.
La maladie de Parkinson résulte de la dégénérescence de la partie du cerveau qui permet de coordonner les mouvements. Souvent, le symptôme le plus évident est un tremblement qui se produit lorsque les muscles sont détendus.
La maladie de Parkinson fait-elle mal ? La douleur constitue une plainte fréquente dans la maladie de Parkinson (MP) quel que soit le stade de la maladie, parfois avant même que celle-ci ne soit diagnostiquée. En effet, la douleur représente le symptôme initial chez 15% des malades.
Les causes exactes de la maladie de Parkinson sont certes inconnues, mais plusieurs facteurs favorisent la dégénérescence des neurones. Il est en effet généralement admis qu'une interaction entre des prédispositions génétiques et des facteurs environnementaux entraîne la maladie de Parkinson.
Plus de 50% des personnes ayant la maladie de Parkinson souffrent d'insomnie chronique. Il s'agit surtout de longues périodes de réveil la nuit (en moyenne, le tiers de la nuit) et de réveils trop matinaux.
La lévodopa (ou L-dopa) est transformée en dopamine dans le cerveau. Elle est le traitement de référence de la maladie de Parkinson, celui qui possède le meilleur rapport efficacité/effets indésirables.
Le diagnostic repose sur l'examen des symptômes présentés par le/la patient(e) et la prise en compte de son état général. Il n'existe aucun examen sanguin permettant de poser un diagnostic. Les examens d'imagerie (scanner, IRM du cerveau, scintigraphie cérébrale…)
De nombreux facteurs liés au Parkinson contribuent à la perte de poids. Les mouvements involontaires (soit les tremblements) brûlent énormément d'énergie. Les symptômes de dépression sont présents dans la maladie de Parkinson et peuvent entraîner une diminution de l'appétit et une perte de poids.
Ces parkinsoniens ont une espérance de vie d'un peu plus d'une dizaine d'années (13 à 14 ans). Le traitement à la dopamine permet d'obtenir un résultat plus que satisfaisant dans le prolongement de l'espérance de vie des patients. Certains ont atteint une durée de vie supérieure à la moyenne globale.
La paralysie supranucléaire progressive (PSP), aussi appelée maladie de Steele-Richardson-Olszewski, est une maladie du système nerveux d'origine inconnue, non familiale qui est associée à une anomalie de la protéine tau. Cette maladie qui ressemble un peu à la maladie de Parkinson débute autour de la soixantaine.
Caractéristiques. Bien qu'en général les premiers symptômes de la maladie de Parkinson apparaissent vers l'âge de 60 ans, la forme précoce de la maladie (avant l'âge de 40 ans) touche entre cinq et dix pour cent des personnes diagnostiquées. Vingt pour cent d'entre elles sont âgées de moins de 50 ans.
Il est fortement recommandé aux personnes souffrant de maladie de Parkinson de maintenir un bon niveau d'activité physique : marche, jardinage, natation, vélo, tai-chi, yoga, etc. L'activité physique permet de maintenir souplesse, musculature et densité des os.
Les médecins recommandent aussi la natation, le cyclisme, mais aussi le taï-chi, qui permet d'étirer les muscles. Le sport aide à la synthèse de la dopamine, ce qui ralentit donc les effets de la maladie.
Première étude sur la maladie de Parkinson couvrant l'ensemble du territoire français (Outre-mer inclus). Fin 2015, 160 000 patients parkinsoniens traités, avec environ 25 000 nouveaux cas par an ; 17% des nouveaux cas étaient âgés de moins de 65 ans. Les hommes sont atteints 1,5 fois plus que les femmes.
Avec la maladie de Parkinson, un changement mineur de l'horaire de médication peut toutefois avoir des répercussions énormes sur la gestion des symptômes et la récupération générale. La libération irrégulière de dopamine peut empêcher soudainement une personne de bouger, de sortir du lit ou de marcher dans un corridor.
En effet, « contrairement à la maladie d'Alzheimer, les troubles cognitifs s'accompagnent ici de problèmes moteurs. » Plus légers que dans la maladie de Parkinson, ils se manifestent souvent par une certaine raideur, un ralentissement moteur ou des chutes. Autres symptôme spécifique : des modifications cardiaques.
Le plus important facteur de risque de développer la maladie de Parkinson est l'âge avec une prévalence de 0.04% chez les personnes entre 40 et 49 ans qui augmente à 2% chez les plus de 80 ans. Les hommes sont plus touchés que les femmes avec un ratio de 2 hommes pour 1 femme après 40 ans.
Le syndrome parkinsonien fait référence à des symptômes de la maladie de Parkinson (par exemple, des tremblements et des mouvements lents) causés par une autre maladie. Le syndrome parkinsonien est dû à des affections cérébrales, des lésions cérébrales et à certains médicaments et toxines.
« Certains aliments sont plus difficiles à déglutir que d'autres, prévient la diététicienne. C'est le cas par exemple de la semoule, du riz, du quinoa, des aliments à croûte comme le pain, les biscottes, la pâte feuilletée, le biscuit sablé, d'autres sont durs ou comportent une peau ce qui les rend peu adaptés. »