En juillet de la même année, des troupes venues de Marseille entrent dans Paris, et chantent à pleine voix le Chant de guerre pour l'armée du Rhin. Les Parisiens n'en connaissent pas le nom, mais savent qui le chantent : des Marseillais. La Marseillaise était baptisée, et deviendra hymne national le 14 juillet 1795.
Dans la nuit du 25 au 26 avril 1792, à la suite de la déclaration de guerre du roi d'Autriche, il composa chez le maire de Strasbourg, dénommé Dietrich, un morceau qu'il intitula "Chant de guerre pour l'armée du Rhin".
Origine du titre. Elle porte initialement différents noms, tous éphémères : Chant de guerre pour l'armée du Rhin ; Chant de marche des volontaires de l'armée du Rhin.
Tout au long de l'été 1792, le chant de guerre de Rouget de Lisle, alors connu sous le nom de « Chant de guerre pour l'armée du Rhin », est ainsi repris par plusieurs troupes de fédérés à travers le pays.
La Marseillaise : hymne national.
Intitulé Chant de Guerre pour l'Armée du Rhin, ce chant est popularisé à Paris par des soldats marseillais qui lui donnent son nouveau nom.
Parmi tous les hymnes nationaux du monde, le texte de celui du Japon, Kimi ga yo (Votre règne), un poème de la forme tanka, est le plus ancien. Il date de l'ère Kamakura (XIIe -XIVe siècle), d'auteur anonyme.
En juillet de la même année, des troupes venues de Marseille entrent dans Paris, et chantent à pleine voix le Chant de guerre pour l'armée du Rhin. Les Parisiens n'en connaissent pas le nom, mais savent qui le chantent : des Marseillais. La Marseillaise était baptisée, et deviendra hymne national le 14 juillet 1795.
Ils viennent jusque dans vos bras, Égorger vos fils, vos compagnes ! Aux armes, citoyens, Formez vos bataillons, Marchons, marchons ! Qu'un sang impur Abreuve nos sillons !
La mezzo-soprano Farrah El Dibany a interprété "La Marseillaise" dimanche soir au Champ-de-Mars, quelques minutes après le discours d'Emmanuel Macron.
Les combattants sont appelés "citoyens" "défenseurs". La liberté et l'amour sacré de la patrie soutiennent leur combat. ce qui soutient leur combat est L'amour sacré de la patrie, de la liberté, et la lutte contre la tyrannie.
Parce-que c'est l'emblème de la révolution, le bleu et le rouge entouraient le blanc pour montrer que la ville de Paris contrôle le roi. Donc, forcément quand celui-çi revient au trône, il ne veut pas d'un drapeau qui dit qu'il se fait contrôler.
« Chant national » et interdiction
C'est après la chute de Robespierre que la Marseillaise devient le 14 juillet 1795 le « chant national » de la France. Une première fois, car son caractère révolutionnaire le rend suspect à bien des régimes. Ainsi, le Consulat et l'Empire l'interdisent purement et simplement.
Les féroces soldats sont les soldats des armée européennes qui viennent " égorger nos fils et nos compagnes ".
Ces paroles de la Marseillaise, ce sont bien celles que la plupart connaissent. Alors, quelle n'a pas été la surprise de certains spectateurs lorsque Candice Parise, qui a interprété la Marseillaise sur les Champs Elysées ce jeudi 14 juillet à l'occasion de la Fête nationale, a chanté "Marchez, marchez".
La Grande-Bretagne n'a pas officiellement d'hymne national.
ESPAGNE. Un hymne national toujours sans paroles.
God save the Queen/King ("Que Dieu protège la Reine/le Roi") est l'hymne national du Royaume-Uni. Cette œuvre serait à l'origine un motet composé à partir d'une citation biblique. Il est adopté de fait comme hymne national dans la majorité des pays du Commonwealth, en parallèle à l'hymne national local.
Ce chant est officialisé sous la IIIe République qui en fait l'hymne national le 14 février 1879. La Marseillaise illustre la liberté, les citoyens se battant pour la liberté. La République est représentée sous les traits d'une femme, car tous les citoyens sont ses enfants : « Allons enfants de la patrie ».
- elle dispense de modifier la Constitution car on conserverait le nom de Marseillaise pour notre hymne national (article 2). Un changement rapide de ces paroles serait très apprécié, notamment de notre jeunesse, et raviverait l'enthousiasme des Français dans les enceintes sportives.
Marchons, marchons ! Abreuve nos sillons ! Allons ! Enfants de la Patrie !