Peut-on manger la peau du poisson ? Notre réponse : La peau de la plupart des poissons que l'on peut trouver dans nos poissonneries est évidemment comestible.
Généralement, les viscères, le gras et la peau sont les sites privilégiés des contaminants. Il est donc recommandé de ne pas les consommer. Même si la peau du poisson est bien cuite et croustillante, il vaut mieux s'abstenir de la manger.
Servez vos filets de truite avec un filet d'huile d'olive, sel et poivre. Pour une touche de fraîcheur, vous pouvez ajoutez du persil haché, ou du jus de citron. Comme accompagnement, vous pouvez servir des légumes grillés. Et pour les plus gourmands, même des frites !
Non. La peau de poisson n'a pas de valeurs nutritionnelles spécifiques intéressantes, en dehors de la gélatine (un agent gélifiant contenant 98% de protéines) qu'elle contient et qui lui confère un aspect visqueux ... C'est la chair du poisson qui est riche en oméga 3.
Faites une légère incision dans la chair (côté queue, à l'extrémité du filet) sans trancher la peau. Glissez le couteau entre la peau et la chair du filet, tout en tenant le bout de la queue avec une main. Poursuivez la découpe en glissant le couteau entre la peau et le filet, sur le long du filet.
Enlever la peau avant de le cuire
Et pourtant elle est bien utile pour cuire votre poisson. En effet, la peau du saumon permet de protéger la chair lors de la cuisson. Puisqu'il s'agit d'un poisson à cuisson lente, il est préférable de conserver la peau pour que la chair ne cuise pas trop vite.
Si vous aimez vous aussi cuisiner la truite, Vittorio a une astuce toute simple à vous proposer pour enlever le gluant de la truite : il s'agit de la passer dans du vinaigre ; elle sera dès lors plus facile à nettoyer et à manipuler !
Le collagène est extrait de la peau par solubilisation successive en milieu acide faible. La solution est centrifugée et le collagène récupéré par précipitation par addition de sel à pH neutre. Le précipité est récupéré, remis en suspension, dialysé puis lyophilisé.
Il peut même être accompagné d'une sauce à la moutarde ou à la tomate. Fait intéressant, on le cuit avec sa peau, celle-ci étant comestible, riche en sélénium et dépourvue d'écailles.
Pour que l'on puisse apprécier la peau du poisson (au sens gustatif), il faut qu'elle soit grillée (revenue dans du beurre ou de l'huile d'olive, ou encore au barbecue ou au four). N'hésitez pas à manger la peau d'une sardine grillée évidemment ou un petit rouget revenu dans du beurre avec un peu de jus de citron.
Un poisson est cuit lorsque sa chair est totalement opaque dans la partie la plus épaisse. Si elle est encore un peu translucide, c'est qu'il faut prolonger la cuisson de quelques minutes/secondes.
Naturellement, les truites qui vivent en rivière présentent une chair blanche. La couleur rose est obtenue par l'ajout d'un colorant dans leur alimentation : l'astaxanthine.
Prenez maintenant une fourchette de table et faites pénétrer les dents de part en part dans la portion supérieure du corps. Saisissez la tête de la truite et tirez de façon à retirer la peau. Toutes les nageoires, sauf les nageoires anale et caudale (queue), seront enlevées lors de cette opération.
Les deux poissons sont anadromes. C'est-à-dire qu'ils vivent habituellement en mer mais remontent les cours d'eau pour se reproduire. Le saumon est principalement originaire de l'Atlantique Nord alors que la truite évolue surtout en Europe. D'un point de vue morphologique, le saumon est plus fin que la truite.
Dans une grande poêle, faites fondre une grosse noix de beurre à feu vif. Déposez-y la truite et faites-la dorer pendant 15 minutes en l'arrosant régulièrement de beurre. Retournez le poisson à mi-cuisson en faisant bien attention car le poisson est fragile.
La truite mâle a un corps beaucoup plus allongé que la femelle, sa mâchoire est beaucoup plus longue avec une mâchoire inférieure courbée vers l'intérieur. Sur le devant, elle dessine même un bec facilement reconnaissable avec des dents crochues et beaucoup plus fortes.
Il faut éviter de manger des gros poissons le soir parce qu'ils sont riches en protéines, elles-mêmes excitantes. "Il faut privilégier les petits poissons comme les sardines, les petits maquereaux, les harengs et saumons" conseille la nutritionniste Alexandra Dalu.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Le maquereau est un poisson gras et son contenu en acides gras oméga-3 lui confère des avantages incontestables pour la santé. Ceux-ci agissent comme précurseurs de messagers chimiques favorisant un bon fonctionnement immunitaire, circulatoire et hormonal.
A noter, l'aliment le plus riche naturellement en collagène est le bouillon de bœuf fait avec des os à moelle.
L'huile essentielle de Géranium Rosat est LA référence contre les rides. Elle est composée de trois alcools monoterpéniques différents (citronellol, géraniol et linalol en plus petite quantité) qui ont des propriétés antioxydantes recherchées pour lutter contre les rides.
La truite est un poisson carnivore qui vit dans les torrents, les rivières et les lacs. Ce poisson a un corps allongé, argenté et lisse (sans écailles) tandis que sa peau est parsemée de petits points de couleurs différentes selon les espèces.
Si vous voulez conserver votre truite plus longtemps, alors placez-la entière et évidée dans un sac congélation, chassez-en l'air et placez la dans votre congélateur. Elle se conservera jusqu'à 3 mois. Au-delà, les acides gras s'oxyderaient.
Le mucus du poisson
La peau produit les écailles et sécrète en permanence un mucus. Le mucus est la substance protectrice et visqueuse qui recouvre le corps des poissons. Cette substance gluante agit comme une barrière de protection contre les parasites, les bactéries et certains métaux lourds (pollution de l'eau).