Si la peau ne peut résister aux blessures, elle a la capacité de renouveler ses cellules et même de se cicatriser.
Nettoyez d'abord la plaie à l'eau courante tiède ou froide et séchez-la en la tamponnant délicatement, de préférence à l'aide d'un linge stérile. Vaporisez ensuite un MED Plus Spray désinfectant (antibactérien) sur la plaie pour désinfecter et favoriser la cicatrisation.
C'est un processus physiologique naturel. Tout endommagement de l'épiderme à sa surface (blessure, brûlure, coupure, etc.) déclenche une accélération de prolifération de cellules dans le but de refermer la plaie cutanée au plus vite.
Le pansement hydrogel permet la détersion et la cicatrisation de la peau. Il déterse les plaies fibrineuses et sèches. L'hydrogel ramollit et hydrate la nécrose et les plaies.
Le tissu osseux est, lui, entièrement remplacé tous les 10 ans et, en cas de fracture, de nouvelles cellules osseuses recollent obligeamment les deux parties.
Faire un gommage une fois par semaine est le meilleur moyen de booster le renouvellement cellulaire. L'exfoliation du visage permet en effet d'accélérer le processus de desquamation. Elle décolle les cellules mortes qui s'accumulent sur la peau et, de fait, incite votre épiderme à en produire de nouvelles.
Recouvrez la plaie d'un pansement adhésif prêt à l'emploi ou confectionné vous-même, avec une compresse stérile et un sparadrap. Cela favorise la cicatrisation en maintenant la peau humide. Pour les brûlures au deuxième degré, employez de préférence un pansement gras (ou « interface »).
Inversement, à l'air libre, la croûte se forme très vite et empêche les tissus de se régénérer correctement. Il en résulte alors une cicatrisation douloureuse, lente et un fort risque d'en conserver une trace indélébile sur la peau. Mais attention, tout cela ne fonctionne que si l'humidité est bien régulée.
Donc, il ne faut, en aucun cas, la laisser à l'air libre. À défaut, il se peut que la plaie s'aggrave et s'infecte. Des soins médicaux sont alors nécessaires et consistent notamment en la prise d'antibiotiques.
Quand faut-il laisser la plaie à l'air libre ? Si votre blessure est en phase de cicatrisation, vous devriez la laisser à l'air libre. En effet, en réduisant l'apport d'oxygène, vous pourriez favoriser la prolifération des bactéries qui aiment vivre « enfermées ».
La peau est un organe en perpétuel renouvellement. Ce sont en fait les cellules qui la composent qui se régénèrent naturellement par cycle de 21 jours. Avec l'âge, le cycle rallonge et les cellules perdent en eau, oligo-éléments, graisse (ce qui leur est indispensable pour leur croissance et leur vie).
Préférer une solution antiseptique incolore comme Biseptine ®, chlorhexidine aqueuse ou Dakin®. Appliquer l'antiseptique en partant du milieu de la plaie vers la périphérie.
Cicatridine : la crème réparatrice qui favorise la cicatrisation. Commençons avec la fameuse crème Cicatridine particulièrement efficace pour favoriser la réparation et la cicatrisation de plaies plus ou moins profondes.
Les points de suture sont essentiels pour traiter les plaies profondes. Ils maintiennent les différentes parties de la plaie ensemble pour aider la peau à cicatriser en formant une ligne nette.
En fonction du type de blessure et des soins apportés pendant les deux premières phases, la peau peut prendre une teinte rosée qui s'estompe de plus en plus au fur et à mesure. On estime que cette dernière étape peut aller de quelques semaines jusqu'à 2 ans selon la gravité de la blessure.
Prêter attention à l'aspect de la peau
Deux couleurs vous informent qu'une blessure cicatrise bien : si votre plaie superficielle est rouge, c'est un signe que la cicatrisation est en bonne voie. Si elle prend une teinte rosée et nacrée, votre blessure arrive en fin de cicatrisation !
Là encore, il faut privilégier un soin hydratant non comédogène, adapté au type de peau. Dans l'idéal, la crème ou le gel hydratant doit aussi avoir un effet matifiant et assainissant ; appliquer un soin cicatrisant : ce type de produit aide à accélérer le temps de cicatrisation.
Votre condition physique peut avoir un impact sur le processus de cicatrisation. Si vous fumez, par exemple, ou que vous consommez (beaucoup) d'alcool. L'âge peut également jouer un rôle. Des maladies sous-jacentes, comme le diabète ou la sclérose en plaques peuvent ralentir le processus.
Pour aider la peau blessée à cicatriser, il est préférable de garder la plaie en milieu humide et l'on peut utiliser de la vaseline pour conserver la plaie humide. La vaseline va notamment empêcher la plaie de se dessécher et de former une croûte.
Conclusions: Il est possible de suturer une plaie simple par morsure ou une plaie ouverte depuis plus de 6 heures, mais ce n'est pas pour cette raison que le secouriste peut retarder l'arrivée de la victime chez le médecin ou à l'hôpital.
3.5. Quelles sont les plaies à ne pas suturer ? Les petites pertes de substance cutanée sans atteinte ou mise à nu d'éléments nobles, les plaies par morsure sans préjudice esthétique et sans complication, les plaies souillées à haut risque infectieux font l'objet d'une cicatrisation dirigée ou d'une suture différée.
présence d'enflure, de rougeur et de chaleur autour de la plaie ; douleur ou sensibilité autour de la zone infectée ; possible écoulement ou collection de pus ; si l'infection s'aggrave : fièvre, nausées et stries rouges s'étendant à partir de la plaie.