La progestérone agit sur la muqueuse de l'utérus (ou endomètre), et permet la survenue des règles à la fin de chaque cycle menstruel.
Sous l'effet de la progestérone, le cerveau cesse progressivement de sécréter la FSH et la LH : les ovaires diminuent leur production d'estrogènes, puis de progestérone, jusqu'au prochain cycle. La diminution des taux sanguins de l'ensemble de ces hormones est responsable du déclenchement des règles.
Des saignements peuvent survenir au début du traitement. Ceux-ci disparaissent en général après quelques cycles de traitement. Si, en revanche, les saignements persistent et/ou deviennent plus abondants et/ou irréguliers, vous devez en informer votre médecin, afin qu'il exclue d'éventuelles affections organiques.
· risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, · modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
La progestérone est essentielle pour tomber enceinte. Si cette hormone n'est pas produite en quantité suffisante, des problèmes peuvent survenir lors de la fécondation de l'ovule, puis lors de sa maturation et du maintien de la grossesse.
La prise d'un traitement hormonal substitutif à la ménopause accroît légèrement les risques de thrombose veineuse. Il s'agit de la formation d'un caillot dans une veine, provoquant une phlébite ou une embolie pulmonaire. Une thrombose artérielle (formation d'un caillot dans une artère) est également possible.
Dans un cycle menstruel régulier sans grossesse, la progestérone peut provoquer des nausées, des ballonnements, des sautes d'humeur et une augmentation de l'appétit – des symptômes qui sont également ceux du début de la grossesse.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
par voie vaginale dans le traitement de troubles de la fertilité et pour prévenir les fausses coucheset les avortements spontanés à répétition.
Un retard de règles peut être simplement lié à une perturbation hormonale. Chez certaines femmes, un changement de climat, un voyage ou une émotion forte peuvent suffire à bloquer l'ovulation, ce qui entraîne un retard de règles.
Voie orale : prendre les capsules à distance des repas, de préférence le soir au coucher.
En cas de dérèglement hormonal, des traitements hormonaux pourront rétablir des règles plus régulières. Un déficit en progestérone peut, par exemple, être compensé par la prise d'un progestatif la deuxième partie du mois. Un stérilet hormonal permet également d'éviter les règles abondantes d'origine hormonale.
Les hormones sexuelles féminines sont de deux types : les estrogènes (estradiol, estrone et estriol) et la progestérone. Elles sont sécrétées par les ovaires selon un cycle, dit "cycle menstruel", dont les règles sont la manifestation.
Un cycle anovulatoire, qui se caractérise par l'absence d'ovulation, peut aussi être une cause de règles irrégulières ou d'aménorrhée. Ce phénomène arrive fréquemment et n'est pas grave, dans la mesure où il n'est pas régulier. Après 40 ans, la ménopause est la première cause d'absence de règles chez une femme.
Si vous avez un cycle menstruel naturel spontané et que vous ne prenez aucun traitement contraceptif hormonal, le seul moyen de décaler la période de vos règles est de prendre un progestatif. Vous devez commencer le premier jour des règles précédant celles que vous voulez décaler.
L'œstrogène est à son plus haut juste avant l'ovulation et est un coupe-faim, selon la psychologue américaine. La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM.
Sur le sommeil et la fatigue :
La progestérone est parfois appelée “hormone soporifique”, c'est l'une des raisons pour lesquelles on est plus fatiguée en phase lutéale (entre l'ovulation et les règles).
La progestérone induit la détente et le sommeil. Lors d'une grossesse, par exemple, le corps produira plus de progestérone, afin de favoriser l'endormissement de la future mère. Si son taux est faible, le sommeil de la femme en est affecté. Les œstrogènes peuvent perturber le sommeil, pendant la ménopause.
Elle joue un rôle décisif dans le maintien du corps jaune qui secrète la progestérone nécessaire à la nidation. Plus fiable et plus « précoce » qu'un test urinaire, le dosage sanguin de l'hormone HCG n'est pas impacté par un traitement à base de progestatifs. Concrètement, la progestérone n'induit pas de faux positif.
Lourds et tendus, les seins aident à savoir si on est enceinte sans test. Chez certaines femmes, les mamelons peuvent également devenir plus foncés.
La grossesse peut être confirmée si une forme de nuage de couleur blanchâtre apparaît dans l'urine. C'est tout l'intérêt d'utiliser un verre transparent, comme cela vous pourrez voir à travers.
Causes d'infertilité relatives au déséquilibre hormonal
Une production diminuée ou une non-production de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) provoque le développement partiel uniquement des follicules ovariens. Les ovaires, par conséquence, ne produisent pas d'ovules matures.
Il existe deux types de traitements possibles : le Clomid®, citrate de clomifène, un médicament à prendre par voie orale. les gonadotrophines, qui sont des injections d'hormones.
Les effets secondaires recensés du traitement hormonal sont : saignements vaginaux, ballonnements, hypersensibilité des seins, maux de tête, nausées, vaginites et démangeaisons vaginales, crampes dans les jambes, sautes d'humeur et perte d'appétit sexuel.