Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Elle favorise un métabolisme sain. Chez les femmes, plus spécifiquement, ce sont les œstrogènes et la progestérone qui jouent un rôle important dans la rétention d'eau, les fringales et la prise de poids. Leur équilibre et leur stabilité sont essentiels pour garder un poids sain.
1. Les fonctions de la progestérone. Le rôle principal de la progestérone est de favoriser la nidation de l'ovule fécondé et la gestation. La progestérone modifie les caractères vasculaires et chimiques de la muqueuse utérine pour la rendre propice à l'implantation de l'œuf dans l'utérus.
Le cortisol est teneur de la masse grasse
Dans le sens contraire de l'objectif, le cortisol favorise la prise de poids et ne permet pas le développement de la masse musculaire. En multipliant le taux du glucose dans le système sanguin, cette hormone détruit le tissu formé à base de muscle.
Risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
Le cycle menstruel : une question d'hormones
Après une ovulation sans fécondation, la chute de la progestérone peut perturber notre digestion, ce qui se traduit par des gaz et des ballonnements.
Les hormones sexuelles féminines : Les hormones sexuelles féminines jouent un rôle essentiel dans la régulation de l'appétit. Des études ont montré que la progestérone et la testostérone stimulent l'appétit, tandis que les œstrogènes l'inhibent.
La modification de l'appétit : Les hormones jouent un rôle clé dans la régulation de l'appétit et de la satiété. Un déséquilibre hormonal peut altérer cette régulation. Ainsi, il peut entraîner une augmentation de l'appétit, des fringales et une difficulté à se sentir rassasié après les repas.
Manger à horaires régulièrement espacés facilite la répartition des apports énergétiques et glucidiques, ce qui permet de réguler la glycémie et la sécrétion d'insuline. On programme trois repas complets et suffisants par jour.
La progestérone par voie orale ou vaginale
La progestérone administrée par voie orale a un effet secondaire fréquent, il s'agit de l'état de somnolence associé ou non à des vertiges. C'est pourquoi il est conseillé de prendre ce progestatif le soir.
Il est possible de poursuivre le traitement à la progestérone par voie vaginale jusqu'à 34 à 36 SA en tenant compte des facteurs individuels de la patiente (forte/moyenne).
La progestérone en ovule s'administre par voie vaginale. Ce traitement intervient essentiellement en cas de trouble de la fertilité, pour favoriser le maintien de l'embryon dans l'utérus.
La progestérone est une autre hormone féminine qui sert à préparer l'utérus pour une grossesse. Elle est produite dans la seconde moitié du cycle menstruel après l'ovulation, période pendant laquelle ses taux augmentent pendant quelques jours puis diminuent en l'absence de fécondation.
Excès de progestérone : bien plus rare que l'hyperoestrogénie, il peut se rencontrer en cas de corps jaune persistant, en cas de prise de médicaments inducteurs de l'ovulation, parfois en cas de tumeurs corticosurrénales. -> Signes : déprime, seins sensibles, vertiges, constipation, troubles du sommeil, maux de tête...
Ainsi, les oestrogènes ont notamment pour effet de stimuler la production de collagène et d'élastine, protéines responsables du maintien et de la souplesse de la peau. Les oestrogènes vont aussi booster la synthèse d'acide hyaluronique.
Activez votre métabolisme grâce à une bonne alimentation et à de l'exercice physique. Vous incitez ainsi votre organisme à brûler les stocks de graisse. Privilégiez les aliments riches en eau: légumes, salade, champignons et fruits pauvres en sucre, par exemple. Consommez au maximum une portion de féculents par jour.
L'insulinorésistance (excès d'insuline) :
Elle contribue à une prise de poids car l'insuline est l'hormone de la lipogenèse. Elle contribue également à la résistance à la perte de poids.
Si un gros ventre apparaît parfois à la ménopause, c'est encore une fois lié aux changements hormonaux. La production régulière d'œstrogènes et de progestérone favorise le stockage dans la « culotte de cheval ».
Trop d'œstrogènes par rapport à la progestérone et, pour ne parler que de l'impact sur le poids, la masse grasse et la rétention d'eau augmentent. De nombreuses autres hormones réagissent à l'équilibre Progestérone / œstrogènes.
Peut-on grossir sans manger beaucoup ? Oui, certaines personnes prennent du poids sans manger plus. Plusieurs explications possibles : une prédisposition familiale à la prise de poids, une sédentarité importante, le stress, la dépression, certains médicaments, un déséquilibre hormonal, les effets de l'âge.
L'utilisation de progestérone naturelle micronisée n'est pas associée à une augmentation significative du risque de cancer du sein par rapport à celui observé chez les femmes ne prenant pas de traitement hormonal de la ménopause.
Diabète : comme les autres traitements hormonaux de substitution, la progestérone peut provoquer une augmentation des taux de sucre sanguin et un changement de la tolérance au glucose.
Le traitement d'œstrogène doit être associé à la prise de progestérone ou d'un progestatif de synthèse afin de protéger l'utérus contre la survenue d'un cancer de l'endomètre.