Inflammation chronique de la prostate, la prostatite chronique peut survenir après une prostatite aigüe mal soignée ou s'installer insidieusement, à bas bruit. Sans danger au sens médical du terme, elle provoque des douleurs et des troubles urinaires.
Le traitement de la prostatite aiguë repose sur la prise d'antibiotique(s) (antibiothérapie). Si les signes sont peu marqués, une simple antibiothérapie à domicile est possible, pour une durée de 2 à 3 semaines. Un antibiotique de la classe des fluoroquinolones est généralement efficace.
Une prostatite peut être due à une infection bactérienne qui se propage à la prostate par les voies urinaires ou à la présence de bactéries dans la circulation sanguine. Une bactériémie peut être la conséquence d'actes ordinaires (comme le brossage des dents), de soins dentaires...
Risques. La prostatite peut être causée par une infection bactérienne, virale ou fongique. Les interventions chirurgicales comme une biopsie de la prostate ou la pose d'un cathéter risquent d'exposer la prostate ou l'urètre à une infection.
C'est en effet vers 50 ans que la prostate va véritablement commencer à faire parler d'elle. Bien sûr, certains hommes souffriront d'inflammation de la prostate (prostatite) avant cet âge.
Les problèmes de prostate ou urinaires chez les hommes nécessitent de boire une eau peu minéralisée qui favorise le rejet des toxines. C'est notamment le cas de l'eau Volvic.
Le médecin peut éventuellement réaliser un examen d'urine avec une bandelette urinaire. Il mettra alors en évidence des signes d'infection (nitrites, leucocytes, sang). La réalisation d'un examen cytobactériologique des urines (ECBU) s'impose et suffit généralement.
Les symptômes sont généralement non équivoques : fièvre, douleurs et brûlures lors des mictions, envies fréquente d'uriner, présence de sang dans les urines et même parfois dans le sperme… Cette affection se soigne par antibiotiques », explique le Dr Jordan Sapetti, urologue à l'Hôpital Cochin (Paris XIV).
La maladie peut également engendrer des troubles sexuels (dysfonctions de l'érection, éjaculations douloureuses). Si la tumeur s'étend, des douleurs au niveau des os (dos, bassin, jambes) peuvent survenir, ainsi qu'une fatigue et une perte de poids.
des douleurs de la région pubienne, au niveau de l'urètre, du pénis, et parfois du rectum ; un malaise général ; des douleurs musculaires ; une prostate douloureuse lors du toucher rectal.
Il contient de la catéchine, substance antioxydante qui permet de baisser le taux de l'Antigène Spécifique de la Prostate (PSA) et le niveau de la testostérone.
La prostate joue un rôle dans la sexualité, mais uniquement dans l'éjaculation et la reproduction. Par contre, elle ne joue aucun rôle dans le phénomène d'érection. Elle est sous l'influence des hormones mâles (androgènes).
L'âge avancé, l'origine ethnique, et les antécédents familiaux de cancer de la prostate sont des facteurs de risque individuels de cancer de la prostate. Le poids, l'obésité et la taille sont également des facteurs de risque de survenue de cancer prostatique (WCRF, 2018). Ce sont les seuls facteurs de risques avérés.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.
L'évolution du cancer de la prostate
Le cancer est une maladie qui évolue souvent sur plusieurs années. Contrairement à d'autres types de cancer, celui de la prostate a une croissance relativement lente. Son évolution peut se faire sur 10 ans et plus.
Le mal de dos est fréquent et n'est pas toujours lié à la prostate. S'il y est lié, c'est du le plus souvent à la présence d'une tumeur et d'une compression des uretères par cette tumeur, ce qui cause une douleur qui irradie dans le bas du dos.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
Un verre de vin rouge par jour peut-il prémunir contre le cancer de la prostate ? Une consommation modérée de vin rouge n'augmente pas significativement le risque de cancer de la prostate, selon une nouvelle étude. En réalité, elle pourrait même avoir un effet légèrement protecteur.
Si on considère les patients qui, dix ans après la prostatectomie, ont un taux de PSA se maintenant à 0,4 ng/ml ou en dessous, 40 % d'entre eux vivent avec ce taux parfaitement satisfaisant. En ce qui concerne des patients en vie après dix ans, présentant un taux de PSA élevé, ils sont 75 à 80 % à toujours être en vie.
Lorsque le cancer est qualifié d'évolutif et que la zone a une espérance de vie de plus de dix ans, on va proposer la prostatectomie.
Si vous êtes souvent embêtés avec des soucis de cystites (pour ces dames) ou de prostate (pour ces messieurs), le miel de bruyère sera votre meilleur allié. Il est très riche en sels minéraux et aide à la dissolution des calculs rénaux.
Si vous voulez réduire la quantité de viande rouge et transformée dans votre alimentation, vous pouvez essayer de manger du poulet, de la dinde ou du poisson à la place. De plus, réduire le sel blanc, le sucre raffiné et les produits qui en contiennent serait avantageux.
La bière, les alcools forts, le vin blanc n'ont pas d'effet protecteur. Par contre le vin rouge en a un : la consommation de quatre à sept verres par semaine diminue le risque relatif de cancer de la prostate de 48%. Des suppléments vitaminiques ou minéraux jouent également un rôle préventif.