Le locataire ne peut obliger le propriétaire à installer une VMC. Pour comprendre le problème de l'aération et des moisissures dans une location il est important de rappeler que le bailleur n'a pas l'obligation d'installer des VMC, même dans les salles d'eau.
VMC en 2022 : que dit la loi ? Avec l'entrée en vigueur de la RE 2020 au 1er janvier 2022, la vérification de l'installation et du bon fonctionnement de la VMC devient obligatoire à la livraison de tous les logements neufs.
L'entretien de la VMC incombe au locataire. Si la VMC est en panne à la suite d'un défaut d'entretien, alors il appartient au locataire de prendre en charge la réparation.
Pour conclure, la VMC dans la salle de bain n'est pas forcément obligatoire. En effet, seule la présence d'un système de ventilation est exigée. Cependant, dans la plupart des cas la VMC se présente comme la solution la plus efficace pour renouveler l'aire chargé d'humidité d'une salle de bain.
Pour ventiler sans VMC, l'alternative la plus courante est l'installation d'une ventilation naturelle. Économique, écologique, et peu coûteuse, la ventilation naturelle est particulièrement recommandée pour les nouvelles constructions, et parfois même en rénovation.
Une maison non ventilée est une habitation humide où stagne toutes sortes de polluants, tous plus dangereux les uns que les autres pour la santé. Mais une mauvaise ventilation c'est aussi l'apparition de moisissures, champignons et autres nuisibles qui dégradent profondément le logement.
Toutefois, certains experts estiment qu'elle est impactée essentiellement par sa puissance: la puissance maximale d'une VMC varie de 20 à 40 watts, en fonction du modèle choisi, ce qui représente environ 0,72 kW par jour en cas d'utilisation permanente, soit environ 263 kWh par an.
Les inconvénients de la VMC hydroreglable :
Tend à surchauffer durant l'été et sous les fortes températures. Crée des courants d'air un peu moins dérangeants qu'une VMC autoréglable. Ne s'adapte qu'à l'humidité, et pas à la pureté de l'air ou aux polluants.
Depuis 2001, la VMC est obligatoire dans les logements neufs. Toutefois, cette obligation est soumise à certaines variations qui ne conditionnent pas nécessairement l'installation d'une VMC dans la cuisine.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, quand il s'agit d'humidité, tout n'est pas que de la responsabilité du propriétaire. Le locataire est lui aussi soumis à certaines responsabilités. Entretenir les locaux : A charge pour le locataire – à qui il a été remis un bien salubre – d'entretenir ce bien.
Locataire ou propriétaire : qui est responsable ? Vous l'avez compris, le locataire en tant qu'occupant est responsable de ses pratiques. S'il bouche les aérations, ne répare pas les dégâts causés par ses machines, ne chauffe pas son logement ou laisse des moisissures s'étendre sans réagir, ce sera à lui de réparer.
En général, une VMC devient bruyante en raison d'un défaut d'installation, d'un manque d'entretien ou d'un défaut de matériel. Il est généralement recommandé de faire appel à un professionnel qui sera en mesure de vérifier l'état des turbines, des conduits, des entrées d'air et du caisson de l'appareil.
Ouvrir ses fenêtres, au minimum 5 minutes, est un geste élémentaire pour aérer les pièces de son logement. Ce geste simple du quotidien peut être répété plusieurs fois par jour, par exemple au lever et avant le coucher. Et ce, été comme hiver.
Dans les logements anciens, la ventilation naturelle est la plus répandue. L'air neuf entre par des grilles basses dans les pièces de vie tandis que l'air vicié sort par des grilles hautes dans les pièces humides (cuisine, salle de bains, W. -C.), avant de déboucher à l'extérieur.
Le moyen le plus évident consiste en l'ouverture d'une ou de plusieurs fenêtres en fonction du logement. Ces ouvertures constituent des zones de déperditions thermiques beaucoup plus importantes que la vmc simple flux autoréglable à destination des pièces humides mais également l'incontournable vmc Aldes.
entre 600 € et 1 200 € pour une VMC simple flux ; entre 400 € et 1 200 € pour une VMC simple flux autoréglable ; entre 600 € et 1 700 € pour une VMC simple flux hygroréglable ; entre 3 500 € et 5 500 € pour une VMC double flux.
VMC et sensation d'air froid : les causes
Les sensations d'air froid sont beaucoup plus importantes avec les VMC simple flux car elles ne sont pas équipées d'échangeur thermique. L'air entrant a donc la même température que l'air extérieur.
Alors qu'une VMC simple flux se contente de chasser l'air chaud de la maison et d'y faire rentrer un air pur mais froid, la VMC double flux permet de limiter ces pertes de chaleur jusqu'à 90 %.
Une VMC refroidit la maison lorsqu'elle est à simple flux et qu'elle n'apporte pas à la place de l'air extrait un air réchauffé. Ce phénomène est moins marqué lorsque la VMC en place est dite à « double flux » voire s'il s'agit d'un modèle thermodynamique.
Une VMC simple flux réglée à 100 m3/heure consomme 2 056 KWh pour les déperditions de chauffage et 506 KWh pour la consommation du ventilateur.
Quelle est la VMC la plus économique ? La VMC double flux est la VMC économique par excellence : elle permet d'allier performance et économies d'énergie en réutilisant les calories de l'air vicié pour réchauffer les pièces de votre logement.