L'affection musculaire due à l'alcool s'appelle également «myopathie musculaire». Elle peut être soit aigüe, soit chronique. La myopathie aigüe engendre des douleurs peu après la consommation d'alcool. Alors que la myopathie chronique se développe au fur et à mesure.
Une consommation d'alcool trop abusive dérègle le système immunitaire et vient renforcer les problèmes d'arthrite. Face à une maladie chronique articulaire, comme l'arthrose, il est déconseillé de boire de l'alcool.
En effet, la consommation d'alcool, même modérée, ralentit la récupération musculaire après un entraînement. L'alcool pourrait influencer les niveaux de myostatine qui augmente dans les muscles en présence d'alcool et est capable de réduire la prise de muscle en empêchant la création de nouvelles fibres.
De nombreuses origines peuvent être en cause comme une contusion, un traumatisme, un faux mouvement entraînant un torticolis ou un lumbago ou encore certaines pathologies infectieuses comme la grippe, les hépatites, la poliomyélite ou d'autres pathologies neurologiques.
Par ses effets analgésiques, l'alcool peut diminuer la douleur aiguë, mais il peut aussi augmenter le risque de la subir, principalement en causant un accident, une chute ou une blessure due à un comportement violent.
En cas d'alcoolisation chronique
L'éthanol agit sur les fibres nerveuses, au niveau de la gaine de myéline (la graisse formant la gaine des cellules nerveuses), et peut provoquer une atteinte de plusieurs nerfs, appelée polyneuropathie ou polynévrite, qui va toucher les deux membres inférieurs.
Entre 24 et 72 heures sans alcool
Votre corps se met en mode détox intensive et essaie d'évacuer tout l'alcool qu'il a absorbé. En plus des frissons et des nausées, vous ressentez une fatigue profonde et avez l'impression que plus jamais vous ne vous sentirez bien.
Les carences en acides aminés sont parfois la cause sous-jacente de la faiblesse musculaire. Le muscle se compose majoritairement de protéines, et toute protéine se compose d'acides aminés. Il s'ensuit donc que les déficiences d'acides aminés sont susceptibles de causer la faiblesse musculaire.
Qu'est-ce que la fibromyalgie ? La fibromyalgie est une maladie qui associe douleurs musculaires ou articulaires permanentes, fatigue chronique, troubles du sommeil, symptômes dépressifs et troubles anxieux. La personne qui en souffre se plaint d'avoir mal partout sans interruption pendant des mois.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Parmi eux, la consommation d'alcool, ou encore la fatigue, qui généreraient des maux de dos. Au sein du groupe de l'étude, de nombreuses personnes se sont également plaintes de lombalgies après s'être adonnées à une activité au cours de laquelle ils avaient l'esprit ailleurs.
Les personnes buvant de 8 à 19 demis de bière (25 cl) par semaine entre l'âge de 21 et 50 ans apparaissent avoir un risque accru (estimé entre +4% et +115%) de souffrir d'arthrose qu'un non-buveur. Au-delà de 10 pintes hebdomadaires, ce sur-risque est encore plus net (de +45% à +219%).
On peut penser que ces crampes sont dues aux sulfites, un additif alimentaire largement utilisé en œnologie, pour ses propriétés antiseptiques et antioxydantes. Les quantités de sulfites autorisées sont deux fois supérieures dans les vins blancs et mousseux par rapport aux rouges.
La consommation d'alcool est associée à des crampes aux jambes nocturnes.
Il était déjà bien établi qu'une forte consommation d'alcool pouvait augmenter le risque de souffrir de la goutte. En effet, la transformation de l'alcool dans le corps produit une substance appelée acide urique qui est la principale coupable dans le développement d'une crise de goutte.
→ L'achillée millefeuille : Il est très peu connu et pourtant, c'est l'un des décontractants musculaires naturels les plus efficaces.
L'arnica : la meilleure alliée contre les douleurs musculaires. Reconnue pour ses propriétés antalgiques, l'arnica est une plante recommandée dans le traitement des douleurs musculaires. Elle a, en effet, une action décontractante et relaxante. Elle a également des bénéfices anti-inflammatoires.
Le méthocarbamol est un relaxant musculaire qui réduit les spasmes musculaires. L'ibuprofène est un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) qui atténue la douleur et l'inflammation. Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux.
Causes des douleurs musculosquelettiques. Une douleur musculosquelettique peut être causée par des affections des os, des articulations, des muscles, des tendons, des ligaments, des bourses séreuses ou de plusieurs de ces éléments combinés (voir Introduction à la Biologie du système musculosquelettique.
Il s'agit souvent de carences en certains minéraux et oligo éléments comme le magnesium, le potassium ou le calcium. Ces minéraux sont en charge de la bonne conductibilité nerveuse c'est à dire le bon passage de l'influx nerveux le long des nerfs. Certains déséquilibres peuvent entraîner ce genre de sensation.
L'inflammation musculaire, comment la reconnaître ? À l'image de tous les processus inflammatoires, l'inflammation musculaire se caractérise par une rougeur, associée ou non à un œdème, qui se développe au niveau du muscle ou du groupe musculaire lésé. Généralement, la zone concernée est chaude au toucher.
L'affection musculaire due à l'alcool s'appelle également «myopathie musculaire». Elle peut être soit aigüe, soit chronique. La myopathie aigüe engendre des douleurs peu après la consommation d'alcool. Alors que la myopathie chronique se développe au fur et à mesure.
Boire beaucoup d'eau (1,5 à 2 litres par jour) pour faire fonctionner le foie et détoxifier l'organisme. Adopter un régime alimentaire équilibré et pauvre en graisses saturées (viandes rouges, fritures, pâtisseries, plats préparés, fromages). Opter pour les huiles végétales, les viandes blanches et le poisson.