Aucun type d'alcool n'est plus à risque qu'un autre, tous les types de boissons alcoolisées produisent le même effet: c'est la quantité d'alcool pur consommée qui expose au risque de développer un cancer. Consommer au moins 1 verre d'alcool par jour augmente le risque de développer un cancer.
L'alcool, facteur de risque de cancer
L'alcool, et plus précisément l'éthanol, a été reconnu comme un agent cancérigène. Une fois ingéré, l'éthanol est dégradé dans l'organisme en composés, dont l'acétaldéhyde et des radicaux libres, pouvant endommager les cellules et être à l'origine du développement de la maladie.
La consommation d'alcool augmente votre risque de cancer de la tête ou du cou, du sein, du côlon ou du rectum, de l'œsophage, du foie, de l'estomac et du pancréas. L'alcool et le tabac combinés – ainsi que le nombre de consommations – augmentent aussi votre risque de cancer.
Le vin rouge est la boisson alcoolisée la plus nocive pour la peau, notamment en présence d'une affection cutanée comme la rosacée (dilatation permanente des vaisseaux sanguins qui donne à la peau une apparence rougeaude et, dans certains cas, provoque une irritation, l'apparition de boutons ainsi que des plaques ...
La consommation d'alcool, peu importe le type ou la quantité, augmente votre risque de cancer.
Une alimentation riche en aliments contenant du sucre fait habituellement engraisser et la recherche scientifique indique que l'obésité augmente le risque de cancer. L'obésité peut provoquer des fluctuations hormonales, lesquelles peuvent aussi accroître le risque de cancer.
La mortalité par cirrhose est significativement augmentée pour toute consommation d'alcool chez les femmes et à partir d'une consommation de 12 à 24g d'alcool par jour chez les hommes.
La règle d'or est de choisir un alcool clair pour minimiser la gueule de bois. Alors si ces options semblent être les pires, ce sont en réalité les meilleures. J'ai nommé Vodka, Gin, et Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler.
Effet bénéfique : la consommation d'alcool (légère à modérée) peut offrir une protection contre les maladies coronariennes aux personnes âgées de 40 ans et plus. L'alcool aide à augmenter le taux de bon cholestérol dans le sang. Par conséquent, il peut contribuer à la réduction de plaques dans les artères.
Une récente étude, publiée dans la revue Nature Communication, a révélé que boire quatre unités d'alcool par jour –soit deux bières ou deux verres de vin– provoquent d'importants dommages structurels au cerveau et une perte de volume cérébral.
Les produits de la mer font partie des aliments anti-cancer. Attention toutefois au saumon et au thon souvent pollués. Préférez les crevettes, les oursins, le cabillaud, les huîtres et le lieu. Le tout en bio ou sauvage si possible.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Alcool et cancer
Les cancers les plus souvent attribuables à l'alcool sont les cancers de l'œsophage (57,7 % des cas), mais bien d'autres localisations sont concernées : foie, bouche, gorge, cancer colorectal ou encore cancer du sein.
Consommation d'alcool chez les adultes de 18 à 75 ans
40 % au moins une fois par semaine ; 25 % une à trois fois par semaine ; 10 % tous les jours.
Il se produit alors d'abord des dépôts de graisses dans le foie (foie gras d'origine alcoolique). Cet état du foie est réversible: le foie peut se régénérer si l'individu arrête de consommer de l'alcool.
Pour arrêter une stéatose, une hépatite alcoolique ou une cirrhose du foie, la seule solution consiste à arrêter de boire de l'alcool. Ainsi, la prise en charge de la personne souffrant d'une maladie alcoolique du foie vise, tout d'abord, à obtenir la diminution ou l'arrêt de la consommation d'alcool.
Un seuil a été défini par Santé Publique France pour définir si une consommation est excessive ou non : 2 verres par jour et 10 verres par semaine, tout en évitant de consommer tous les jours de la semaine ; Les solutions et les aides sont nombreuses pour réduire, voire pour se sevrer complètement de l'alcool.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Vodka, gin, tequila et bière : les spiritueux distillés clairs (vodka, gin et tequila) ainsi que la bière sont les alcools les moins nocifs pour votre peau. Whisky et rhum : les liqueurs claires comme le rhum pur et le whisky entrainent des signes précoces de vieillissement cutané.
Les conséquences d'une consommation excessive d'alcool, soit un verre ou plus par jour, font perdre en moyenne près d'un an d'espérance de vie, a démontré l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), dans un rapport publié ce mercredi 19 mai.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) définit une consommation d'alcool modérée comme étant jusqu'à un verre par jour pour les femmes et jusqu'à deux verres par jour pour les hommes.