La République algérienne démocratique et populaire ne reconnait pas Israël et interdit toute entrée sur son territoire aux voyageurs munis d'un passeport israélien ou à tous citoyens possédant un tampon de visa israélien.
Il y a d'abord un certain nombre de pays qui ne reconnaissent pas Israël : Algérie, Tunisie, Mali, Niger, Mauritanie, Djibouti. De façon classique, ceux-ci ont exprimé leur soutien aux Palestiniens. D'autres pays reconnaissent Israël mais ont une vision double de leur relation.
L'Égypte et la Jordanie sont les premiers pays arabes à signer un traité de paix avec Israël, respectivement en 1979 et 1993.
L'Algérie a longtemps soutenu l'Organisation de libération de la Palestine depuis les années 1970 et les présidents algériens Houari Boumédiène et Chadli Bendjedid ont à la fois organisé et accueilli Yasser Arafat. L'Algérie a également fourni des armes et un entraînement pour les militants palestiniens.
Pays reconnaissant l'existence d'Israël
Au total, 139 des 193 pays reconnus par l'Onu reconnaissent Israël. La plupart des pays qui ne reconnaissent par Israël sont des Etats du monde arabe ou musulman. Exception notable: la Turquie laïque reconnaît Israël dès mars 1949.
Le Caire, tout d'abord, occupe une place particulière dans le monde arabe vis-à-vis d'Israël : l'Egypte est en effet le premier pays à avoir officiellement reconnu l'Etat hébreu en 1979 à la suite des accords de Camp David et joue, à ce titre, le rôle traditionnel de médiateur lors de l'éclosion de violences entre ...
Dès lors, les vagues d'immigration vers la Palestine s'intensifient et les Juifs se mobilisent pour la création d'un foyer national. Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
La coopération entre Israël et la Turquie est extrêmement vaste et recouvre de nombreux domaines, comme l'économie, la technologie militaire, le tourisme, la culture. Les liens politiques et diplomatiques sont très forts, le partenariat israélo-turc étant largement soutenu par les États-Unis.
Depuis le début des affrontements entre Israéliens et Palestiniens du mois de mai 2021, le Sénégal, la Tunisie, et l'Afrique du Sud, font partie des pays africains à avoir pris position officiellement, de façon neutre pour le premier et clairement en faveur des Palestiniens pour les deux autres.
En revanche, les « puissances occidentales », les pays d'Amérique du Nord, la plupart des pays d'Europe de l'Ouest (à l'exception de la Suède, de l'Islande et du Vatican), la Corée du Sud, le Japon, l'Australie et la Nouvelle-Zélande ne reconnaissent pas l'État palestinien même s'ils entretiennent des relations ...
La France ne fait pas partie des pays reconnaissant l'Etat de Palestine, néanmoins elle a toujours prôné une solution à deux États, comme rappelé sur le site officiel du gouvernement.
Elle visait notamment à faciliter l'immigration des Juifs d'Europe, rescapés notamment des camps nazis d'extermination (environ 300 000 personnes) et désireux de partir en Palestine mandataire, entre 1945 et 1948 et à obtenir un soutien important à la création puis à la reconnaissance, de l'État juif.
La fin de l'Empire ottoman, après la Première Guerre mondiale, place la région sous administration (1917) puis mandat britanniques (1922) après accord de la Société des Nations.
Le territoire actuel sur lequel s'est constitué l'État d'Israël est celui appelé Filastin (ou Palestine) par les Arabes et Eretz Israël (ou «Terre d'Israël») par les Juifs. Avant la Première Guerre mondiale, la Palestine était sous domination de l'Empire ottoman et comptait 590 000 habitants, dont 57 000 Juifs.
Les forces sionistes revendiquent un État juif et une levée de l'immigration afin de faire venir en Palestine les survivants de la Shoah. Incapables de régler le conflit avec les Juifs, les Britanniques décident de porter la question palestinienne devant l'Organisation des Nations unies.
Les Juifs souhaitent protéger des territoires afin d'y établir leur État, et les Arabes veulent instaurer un État palestinien.
Dans la foulée de la déclaration d'indépendance de la Palestine, proclamée par Yasser Arafat à Alger le 15 novembre 1988, la Hongrie, la Pologne, la Bulgarie, la Roumanie et la Tchécoslovaquie (qui se transformera en 1993 en deux Etats distincts, la République tchèque et la Slovaquie) reconnaissent cet Etat.
Seul pays membre de l'OCDE de la région avec un PIB par tête de l'ordre de 42 000 USD en 2019, Israël, qui compte 9 millions d'habitants, peut se prévaloir de fondamentaux économiques solides.
Le Hamas est créé en 1987 par Ahmed Yassine, Abdel Aziz al-Rantissi et Mohammed Taha, tous trois issus de l'organisation islamique des Frères musulmans.
Le Dôme de fer (en hébreu : כיפת ברזל, prononcé kipat barzel, anglais : Iron Dome) est un système de défense aérienne mobile israélien, développé par la société Rafael Advanced Defense Systems, conçu pour intercepter des roquettes et obus de courte portée (Counter Rocket, Artillery, and Mortar, ou C-RAM).
Aujourd'hui, l'Iran et la Turquie coopèrent dans de nombreux domaines, tels que la lutte contre le terrorisme et le narcotrafic afin de promouvoir la stabilité en Irak et en Asie centrale. Les deux pays sont membres de l'Organisation de coopération économique (ECO).
La gauche turque, au nom de l'anti-impérialisme et du tiers-mondisme, témoigne d'une certaine sympathie pour la cause palestinienne. Quant à la droite, notamment religieuse, c'est au nom d'une solidarité islamique qu'elle se mobilise pour la cause palestinienne et pour Jérusalem, troisième lieu saint de l'islam.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.
Il s'agirait d'un peuple venu de la mer d'Egée d'origine indo-européenne appelé les « Philistins », arrivé à peu près en même temps que les Hébreux sur les côtes ouest des Territoires.
Dans son livre, il affirmait que le mélange des Cananéens et des Philistins, qui ont émigré des îles grecques vers 1500 avant notre ère, a finalement formé le noyau de la population arabe palestinienne actuelle.