En période d'anxiété ou de stress, les envies d'uriner sont parfois pesantes. Il est toutefois possible d'améliorer la situation en adoptant quelques habitudes simples qui permettent d'apaiser le stress et la vessie.
Utilisez les principes de pleine conscience pour vous détendre et être dans le moment présent. Contractez les muscles de votre plancher pelvien 8 fois rapidement ou maintenez une contraction 8 secondes. Utilisez des affirmations positives comme “Je suis en contrôle de ma vessie” ou “je peux attendre”. Distrayez-vous!
Rein-vessie : la peur
Les méridiens stockent les mémoires de ces peurs et ont une capacité à les filtrer pour mieux les évacuer. Une personne qui a la peur de perdre sera plus exposée aux constipations par exemple.
Changer ses habitudes pour uriner moins souvent
Si vous vous relevez plus d'une fois la nuit, réduisez vos apports hydriques (boissons, potages), le soir, au dîner et après. Diminuez votre consommation de thé, café et alcool qui sont diurétiques et en même temps des irritants de la vessie favorisant la pollakiurie.
L'envie fréquente d'uriner est parfois liée à une maladie touchant cette partie de l'appareil urinaire : un rétrécissement de l' urètre : dû à une infection, une tumeur bénigne ou maligne… ; un calcul bloqué dans l' urètre .
La polyurie est une condition dans laquelle une quantité anormalement élevée d'urine est produite, généralement plus de 2,5 litres par jour chez un adulte. Cela peut être dû à diverses causes telles que le diabète, une insuffisance rénale, une consommation excessive de liquides, certains médicaments, etc.
Faire pipi entre quatre et dix fois par jour peut également être considéré comme "normal", si cette fréquence n'interfère pas avec la qualité de vie de la personne. Il est habituel qu'à partir de 50 ans une personne urine 1 fois la nuit, pour un volume de 250 ml à chaque fois, soit moins de 2 l au total sur 24 h.
On parle de ce symptôme quand le débit urinaire est égal ou supérieur à 3 litres par jour. Et cela peut être dû soit à la prise de médicaments diurétiques (qui donnent envie d'uriner), soit à un diabète non équilibré. Mais si le problème est l'envie fréquente d'uriner, on parlera alors de pollakiurie.
Les personnes qui souffrent du syndrome de la vessie hyperactive ont des contractions involontaires du muscle vésical. Cela les conduit à avoir besoin d'uriner fréquemment et de façon spontanée. Plus précisément, le syndrome de la vessie hyperactive provoque un besoin urgent d'uriner, alors que la vessie est vide.
Les organes correspondent à différentes émotions
la JOIE et le CŒUR ; la TRISTESSE et le POUMON ; la PEUR et le REIN ; le SOUCI, lié à la RATE et à l'ESTOMAC.
Du point de vue de la médecine chinoise, les reins sont surtout attaqués par la peur et / ou le stress.
L'affaiblissement du système immunitaire dû au stress favorise en effet l'activité des bactéries, car l'organisme a des difficultés à se défendre contre les infections. Le stress et la santé des voies urinaires ont un lien : il peut déprimer le système immunitaire, ce qui peut favoriser les infections.
La vessie neurogène est un dysfonctionnement (vésical atone ou spastique) provoqué par des lésions neurologiques. Les symptômes peuvent comprendre une incontinence par regorgement, une pollakiurie, des mictions impérieuses, une incontinence par impériosité et une rétention.
la prêle des champs.
Consommée en tisane ou en gélule, elle renforce les muscles de votre vessie et vous aide à atténuer l'inconfort urinaire. l'ortie jaune.
Le fait de se lever fréquemment pour uriner la nuit est un symptôme appelé nycturie qui peut signaler la présence d'un problème de santé plus ou moins grave. Un simple changement des habitudes alimentaires peut suffire dans certains cas, tandis qu'un passage chez le médecin sera indispensable dans d'autres.
Les diurétiques augmentent la sécrétion urinaire. On les prend habituellement en association avec d'autres médicaments. Les diurétiques comprennent : chlorthalidone.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
En présence de ces symptômes (soif intense, perte de poids, urines fréquentes, fatigue…), une consultation chez le médecin s'impose rapidement.
La desmopressine, prise par voie orale, est le médicament utilisé en première intention. Il s'agit d'une substance proche de l'hormone antidiurétique. Elle diminue fortement la production d'urine pendant la nuit. L'administration du médicament se fait au coucher sous la surveillance d'un adulte.
Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
Ces changements peuvent être le signe d'un dérèglement ou d'un problème de santé, comme le souligne le dr Gérald Kierzek, directeur médical de Doctissimo : “Il n'y pas réellement de fréquence idéale. Généralement, quand on boit beaucoup, on urine beaucoup. Quand on urine peu, cela peut être un signe de déshydratation.
La diurèse normale est d'environ 1,5 L d'urine par 24 h (maximum 2 L), ce qui correspond à 5-7 mictions par jour d'un volume de 200-250 mL. En cas d'hyperactivité vésicale, ce système est déréglé : la vessie se contracte trop souvent, avant qu'elle ne soit pleine.
La nycturie peut être un symptôme du vieillissement physiologique de l'individu. Avec l'âge, la sécrétion de l'hormone antidiurétique (ADH), qui vise notamment à réguler la production d'urine, peut être perturbée, entraînant des mictions répétées la nuit.