La place d'AVASTIN dans la stratégie thérapeutique est, en association à une chimiothérapie, une option thérapeutique chez les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire en rechute ou en récidive, sensible ou résistant aux sels de platine, et n'ayant pas été préalablement traitées par bévacizumab.
Comment Avastin agit-il? Le principe actif d'Avastin, le bevacizumab, est un anticorps monoclonal (un type de protéine) conçu pour reconnaître et se fixer sur le facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF), une protéine qui circule dans le sang et agit sur la croissance des vaisseaux sanguins.
L'immunothérapie consiste à bloquer ce mécanisme de masquage. Elle réveille les défenses naturelles de l'organisme. Contrairement à la chimio, elle ne s'attaque qu'aux cellules cancéreuses, et provoque beaucoup moins d'effets secondaires.
La durée totale du traitement est variable selon les protocoles, mais oscille habituellement entre 3 et 6 mois. Le nombre de cures dépend également du protocole, de même que l'intervalle de repos entre chaque administration de médicament, qui peut aller de 1 à 4 semaines.
Le prix d'une seringue de 0,10 ml d'AVASTIN 25 mg/ml, préparée conformément au protocole de suivi des patients à partir d'un flacon de 4 ml ou de 16 ml, est fixé à 10 € TTC.
La place d'AVASTIN dans la stratégie thérapeutique est, en association à une chimiothérapie, une option thérapeutique chez les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire en rechute ou en récidive, sensible ou résistant aux sels de platine, et n'ayant pas été préalablement traitées par bévacizumab.
Dans l'ensemble des études cliniques, les effets indésirables les plus fréquemment observés chez les patients recevant Avastin étaient : hypertension artérielle, fatigue ou asthénie, diarrhée et douleur abdominale.
Il n'y a pas de chimiothérapie plus ou moins forte, cela dépend des cas. Le choix est fait par l'équipe soignante en tenant compte de votre situation. Tous les produits de chimio ne sont pas actifs dans tous les cancers et les effets secondaires qu'ils peuvent induire ne sont pas proportionnels à l'efficacité attendue.
La chimiothérapie curative peut guérir totalement et définitivement certains cancers. Elle s'utilise seule ou en complément de la chirurgie, de la radiothérapie et/ou de l'hormonothérapie. À défaut de guérir totalement et définitivement un cancer, la chimiothérapie curative peut aussi induire une rémission.
Contrairement aux thérapies ciblées, qui visent des cellules spécifiques, la chimiothérapie agit sur tout l'organisme. Elle est utilisée pour traiter le cancer du sein métastatique en détruisant ou en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses.
Première mondiale : un cancer du sein avancé guéri sans chimiothérapie. Une femme atteinte d'un cancer du sein à un stade avancé, contre lequel la chimiothérapie était impuissante, a été soignée par un traitement expérimental ayant fait triompher son système immunitaire, ont annoncé des chercheurs lundi.
Le sucre alimente-t-il le cancer? Voilà l'une des questions les plus couramment posées dans le monde de la nutrition et de l'oncologie. La réponse courte à cette question est non, le sucre n'alimente pas le cancer.
Un cancer est métastatique quand ses cellules se sont propagées à un ou plusieurs autres endroits du corps. "Quasiment tous les cancers peuvent métastaser. Il y a quelques exceptions comme les carcinomes basocellulaires (cancers cutanés) qui eux ne donnent jamais de métastases" prévient notre interlocuteur.
Le traitement par AVASTIN peut provoquer une perforation gastro-intestinale (trou dans l'estomac ou les intestins), qui peut être mortelle. Si cela se produit, il faut arrêter le traitement par AVASTIN. La perforation gastro-intestinale peut se produire en tout temps pendant le traitement.
«Il faut savoir que la chimiothérapie s'attaque aux cellules cancéreuses, explique l'élu pharmacien, mais peut aussi toucher les cellules normales, notamment celles de la bouche. Les effets concernent les dents, les gencives, les parois humides et souples de la bouche ainsi que les glandes qui produisent la salive».
de la faiblesse; de la fatigue; des lésions dans la bouche et sur les lèvres; des vomissements.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
En général, les cancers du sein, du rein, des bronches, de la prostate, de la thyroïde ou colorectal ont potentiellement un plus fort risque de récidive car les métastases y sont plus fréquentes.
"Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Les métastases se développent de préférence dans les poumons, le foie, les os, le cerveau. Ce n'est pas un autre cancer, mais le cancer initial qui s'est propagé. Par exemple, une métastase d'un cancer du sein installée sur un poumon est une tumeur constituée de cellules de sein ; ce n'est pas un cancer du poumon.
Les antipsychotiques, et en particulier ceux dits classiques, ont de nombreux effets indésirables : constipation, somnolence (plus marquée en début de traitement), troubles de l'accommodation, vision floue, sécheresse de la bouche, hypotension orthostatique, rétention d'urine, irrégularité des règles, troubles sexuels, ...
Le mécanisme d'action exact des corticostéroïdes sur les nausées n'est pas clair, cependant, ceux‐ci sont utilisés pour la prise en charge de nombreuses complications spécifiques aux cancers, notamment la compression médullaire, l'augmentation de la pression intracrânienne, et la lymphangite carcinomateuse.
En outre, la corticothérapie permet de diminuer le nombre de leucocytes périphériques et diminue la sortie de la moelle osseuse et des organes atteints des cellules tumorales. Ils sont employés de façon beaucoup plus générale dans les traitements palliatifs.