En raison de la haute densité, vous brûlez de manière très durable. De plus, l'eucalyptus dégage une chaleur merveilleuse, sans fumée et a un bon parfum!
Nous vous conseillons d'éviter les bois tels que le châtaignier et le platane. Ils ont tendance à éclater et peuvent donc être dangereux.
Les feuillus durs (chêne, hêtre, frêne, châtaigner, charme, noyer, fruitiers, etc.) ; Les résineux et feuillus tendres (épicéa, sapin, pin, mélèze, peuplier, saule, etc.). Les feuillus durs sont les plus appréciés pour le chauffage domestique à l'exception du châtaignier qui éclate en brûlant.
Les bois durs : Chêne, frêne, charme, hêtre et orme.
Ils ont une puissance calorifique optimale. Les bûches se consument plus lentement et produisent de la chaleur sur une durée plus longue. Ils permettent d'avoir d'abondantes braises et prolongent la production de chaleur.
Le charme, le chêne et le hêtre : ce sont trois essences à haut pouvoir calorifique et qui assurent un rendement optimal. Le frêne, l'érable et le bouleau sont moins calorifique mais restent parfaits pour votre feu. Le saule, le peuplier, le tilleul et le marronnier chauffent peu.
Ainsi, les bois résineux, issus de conifères, produisent plus de gaz que la quantité nécessaire pour alimenter le feu. Résultat : l'excédent est éliminé « en force » des fibres du bois. C'est ce phénomène qui est à l'origine de ces crépitements.
Le marronnier d'Inde est traditionnellement utilisé en cas de jambes lourdes, d'œdèmes, de fragilité capillaire, d'hémorroïdes et de problèmes circulatoires veineux (insuffisance veineuse). Par ailleurs, la graine de cette plante est anti-inflammatoire, antioxydante et anti-infectieuse notamment grâce aux tanins.
Le meilleur bois d'insert, de cheminée et de cheminée ouverte. Quel bois de chauffage dure le plus longtemps dans une cheminée ou un insert ? Les bois durs, comme le charme, le chêne, le frêne ou le hêtre présentent une puissance calorifique parfaite.
Un feuillu tendre
Le châtaignier, à l'instar du bouleau, du peuplier ou du saule, est classé dans la catégorie G2, celui des feuillus tendres. S'il s'allumera facilement et produira une chaleur tout à fait correcte, il ne brûlera que durant une courte durée, ce qui nécessitera de recharger régulièrement le feu.
Conseils pour choisir le bon bois de chauffage
Par contre il est conseillé d'éviter le Saule, le Tilleul et le Peuplier ainsi que tous les résineux tels que le Pin, le Sapin, le Mélèze. Moins denses, ces derniers brûleront plus vite et risquent de provoquer un goudronnage.
Laurier : Il donne une flamme très vive et a un rendement calorifique raisonnable. Il doit être bien séché. Chêne : Il donne une flamme claire et dégage une fumée âcre s'il n'a pas été séché pendant deux ans après avoir été abattu en hiver. Le séchage d'un chêne abattu en été prend des années.
L'ADEME (l'Agence de la transition écologique) explique que le taux de rendement d'une cheminée classique se situe en moyenne aux alentours de 15 %. L'insert peut faire monter ce taux de rendement jusqu'à 85 %. Les poêles à bois se distinguent aussi par un très bon rendement pouvant aller jusqu'à 90 %.
Le hêtre a une grande capacité d'émission de chaleur, en plus de ce type de bois dur, l'écorce est très fine et propre, de sorte que le bois s'enflamme plus rapidement et qu'il est difficile pour les mousses de se former dessus. Tout comme le chêne, le bois de chauffage le plus idéal pour les poêles et les cheminées.
Lors de leur combustion, les bois de feuillus durs génèrent ainsi une quantité normale de gaz, qui est rapidement évacuée et brûlée lors de la combustion. Par contre, d'autres essences comme celles de résineux, produisent plus de gaz à la combustion que la quantité nécessaire pour alimenter le feu.
Un bois moisit est un bois qui n'est pas assez ventilé. Si vous l'avez entreposé dans une cave ou un garage, ne vous étonnez pas… Même s'il est sec, le bois de chauffage doit être stocké de manière à faire circuler l'air entre les bûches. Construisez vous-même un abri pour stocker votre bois, c'est très simple !
En effet, un bois traité contient de nombreuses particules toxiques se dégageant dans l'air une fois enflammées et pouvant alors être inhalées par les adultes, les enfants et les animaux de compagnie. Il est donc fortement recommandé de mettre uniquement du bois non traité dans votre cheminée ou poêle à bois.
la propreté de la bûche, qui ne doit pas présenter de champignons ou de moisissures ; un bois humide crépite lors de la combustion et de la fumée plus foncée s'échappe du conduit d'évacuation. Vous pouvez également sentir la bûche : si elle ne présente pas d'odeur de sève, elle a plus de chance d'être sèche.
Acacia, aulne, baumier, bouleau blanc, châtaignier, érable acer negundo), merisier, noisetier et noyer, orme, peuplier et tilleul sont des bois tendres excellents comme bois d'allumage et bois de feu d'accompagnement.
Celles-ci sont classées en trois groupes, du plus fort pouvoir calorifique au plus faible : Le chêne, le charme, le hêtre, le frêne, l'orme et l'érable offrent le meilleur rendement : 2 000 kWh par mètre cube apparent.
Préférez les essences de bois dur. Chêne, charme, hêtre, frêne, érable, orme sont les essences idéales. Attention, le Châtaignier crépite, je le conseille pour les foyers fermés, pas pour les foyers ouverts.
Pour un chauffage optimal, il convient de mixer plusieurs essences de bois. Les plus utilisées restent le chêne, le hêtre, le bouleau et le frêne. Ils s'agrémentent de mélanges d'arbres feuillus (notamment des bois légers à l'écorce fine, comme le sapin ou le mélèze).
Son efficacité thérapeutique est illustrée par une coutume paysanne qui veut que toute personne ayant des marrons d'Inde dans sa poche soit indemne de troubles veineux (hémorroïdes et varices).
Les feuilles du marronnier sont palmées, c'est-à-dire composées chacune de plusieurs petites feuilles ou folioles de forme ovale. Les feuilles du châtaignier sont simples, sans folioles, et allongées.
Henriette Walter explique : "La légende raconte que c'était un arbre qui était planté dans les Tuileries, et qui, tous les ans, fleurissait exactement au premier jour du printemps. Et chaque année on en parlait. Et c'est devenu le marronnier : un sujet léger dont on reparle chaque année...