Le brevet professionnel est classé au niveau 4 du cadre national des certifications professionnelles.
Le Brevet professionnel nécessite l'obtention au préalable d'un CAP, et propose une formation encore plus axée sur la pratique professionnelle pour un niveau de qualification égal au bac professionnel. Le Brevet professionnel se prépare en deux ans après le CAP et s'effectue uniquement en contrat d'apprentissage.
Le DAEU est un diplôme national, équivalent du baccalauréat, spécialement conçu pour les adultes non bacheliers. Il confère les mêmes droits que ceux du baccalauréat et permet notamment l'accès aux études supérieures et aux concours de recrutement requérant le baccalauréat.
Le BTM présente un peu plus de matières (telles que l'anglais), mais également un mémoire de fin d'études. Certains employeurs reconnaissent le BTM comme étant plus valorisant dans un CV qu'un BP.
En effet, une fois que vous avez obtenu un CAP ou un BEP dans le domaine choisi, l'accès au brevet professionnel n'en sera que plus aisée. La formation se fait en 2 ans avec un total de 400 heures de cours par an, ce qui vous permet de gagner du temps.
Il y a de légères différences entre le brevet général et le brevet professionnel. Les élèves qui passent le DNB professionnel ont des sujets adaptés aux spécificités de leur classe de 3e prépa-métiers, agricole ou Segpa. « Le niveau d'exigence est également moins élevé, notamment en orthographe.
Il est possible de préparer un certain nombre de DE (diplômes d'État) sans le bac. En 1 an : DE ambulancier, DE aide-soignant, DE auxiliaire de puériculture, DE accompagnant éducatif et social. En 2 ans ; DE technicien de l'intervention sociale et familiale, DE moniteur-éducateur.
Le candidat doit remplir un dossier dans lequel il décrit les activités principales qu'il exerce ou a exercées, leurs contextes d'exercice et les ressources mobilisées. L'évaluation de ce dossier est suivie d'un entretien avec le jury. Le jury décide de valider tout ou partie du diplôme visé.
Sans le bac : continuer ses études
Quelques formations, y compris dans l'enseignement supérieur, sont ouvertes aux non-bacheliers. Certaines exigent des candidats un niveau scolaire proche de la moyenne (niveau bac), un âge minimum, une expérience dans le secteur visé, un titre de secourisme ou un permis.
Le bac professionnel permet une faible réussite : les étudiants issus d'un bac pro sont ceux qui réussissent le moins bien à l'université. Le meilleur taux de passage de L1 à L2 du premier coup est de 13,8 %, et s'observe en lettres, sciences du langage et arts.
Le brevet de technicien (BT) est un diplôme équivalent au bac technologique ou au bac professionnel : Il sanctionne la fin des études secondaires. Ce diplôme se prépare à partir d'une classe de Seconde spécifique dans les établissements d'études secondaires.
Jusqu'en mars 2019, vous pouviez intégrer un BTS sans avoir obtenu le baccalauréat au préalable. Ce n'était pas évident mais c'était possible. Depuis mars 2019, vous devez impérativement justifier d'un diplôme de type Baccalauréat ou équivalent.
Le BEPA était une certification intermédiaire délivrée entre la classe de première et la classe de terminale de bac pro et déjà facultative pour les apprentis. «Considérant que le diplôme du BEP n'était plus reconnu par les professionnels, l'Éducation nationale l'a supprimé.
Licence (bac + 3), master (bac + 5) et doctorat (bac + 8) : ces trois grades de l'enseignement supérieur correspondent à des paliers de formation européens.
Oui, si vous obtenez une validation des acquis (VA85).
Pour intégrer une formation de niveau bac+2, il est nécessaire de disposer d'un diplôme de niveau IV ou bien d'un diplôme de niveau bac+1. En revanche, certains cursus peuvent faire une exception et accepter des candidats qui n'en disposent pas, notamment les élèves sans le bac.
Diplôme reconnu par l'État, le Brevet de Technicien Supérieur est un examen national qui délivre un niveau bac+2. Si dans la majorité des cas il est nécessaire d'être titulaire du baccalauréat pour s'inscrire en BTS, certaines écoles acceptent les non-bacheliers.
Ainsi, l'université est accessible sans le bac par le biais des capacités en droit (voir encadré) et du DAEU (diplôme d'accès aux études universitaires). Ce diplôme national donne accès, en un an minimum, à l'enseignement supérieur. Pour s'inscrire, aucun titre n'est requis.
Les titulaires du DAEU A peuvent entrer en première année de licence de lettres, langues, arts, sciences humaines, droit, ainsi qu'en BTS et DUT. L'option B ouvre en priorité les portes des licences de sciences, des DUT et BTS scientifiques, économiques ou encore des écoles paramédicales.
Selon les pays c'est le premier « inventeur » ou le premier « déposant » (en Europe) qui a priorité pour le brevet.
Le certificat de formation générale (C.F.G.)