Le symptôme le plus généralement répandu est la douleur. Celle-ci peut irradier dans le dos ou à la racine des cuisses et occasionner une simple gêne ou une sensation très violente.
La colopathie est un trouble intestinal qui peut s'accompagner de : douleurs importantes qui peuvent irradier dans le dos ou la racine des cuisse, dyspepsie (douleurs et malaise dans la région supérieure de l'abdomen), brûlures d'estomac, crampes, ballonnements, et perte de poids inexpliquée.
Dorsales : foie, estomac, vésicule biliaire, pancréas, intestin. Les organes tels que le foie, l'estomac, la vésicule biliaire, le pancréas ou encore le début de l'intestin grêle, peuvent entraîner des douleurs dans le milieu du dos, entre les omoplates.
Le mal de ventre est le symptôme le plus fréquent dans le syndrome du côlon irritable. La douleur abdominale se caractérise par une sensation de spasme ou de crampe et se situe habituellement au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou dans la région de l'ombilic.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Les reins peuvent déclencher des douleurs qui peuvent irradier en bas du dos. Il s'agit principalement de : la colique néphrétique : douleur provoquée par un calcul sur les voies urinaires (une intervention chirurgicale est nécessaire dans 10 à 20 % des cas) ; la pyélonéphrite : infection haute des voies urinaires.
Les pathologies du foie
Différentes pathologies au niveau du foie peuvent provoquer une douleur dans le dos. Dans ce cas, le foie se charge de transmettre, via les nerfs, des messages au cerveau pour prévenir de son état pathologique.
De nombreux liens anatomiques nerveux, vasculaires et ligamentaires existent entre le dos et le ventre. Une des douleurs accompagnant ces maux de ventre est donc très souvent une lombalgie (douleur dans le bas du dos). Ensuite, des symptômes typiques de la sphère et de l'organe touché peuvent aider au diagnostic.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
Scanner. Si le cancer colorectal est déjà à un stade avancé, il peut s'avérer nécessaire de procéder à un scanner (ou TDM pour tomodensitométrie) afin d'évaluer l'extension de la tumeur du côlon et de rechercher d'éventuelles métastases.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Qui consulter pour détecter des polypes ? Seule une coloscopie peut détecter la plupart des polypes. Elle est effectuée, surtout à partir de 50 ans, en présence de signes digestifs comme des ballonnements, des gaz coliques abondants, un petit saignement anal, des hémorroïdes internes.
La plupart des polypes demeurent longtemps asymptomatiques. L'émission de sang dans les selles, en provenance du rectum, constitue le symptôme le plus fréquent. Un polype volumineux peut provoquer des crampes, des douleurs abdominales, une occlusion ou une invagination.
Une pancolite est une inflammation généralisée du côlon. Elle survient généralement dans le cadre d'une maladie inflammatoire chronique de l'intestin (MICI). Elle peut aussi être la complication d'une colite, une inflammation localisée du côlon.
Si un cancer du côlon ou du rectum est diagnostiqué, un bilan sanguin évalue l'état général de la personne, mesure le taux de concentration d'un marqueur tumoral appelé ACE ( antigène carcino-embryonnaire) et, si besoin, procède à des analyses génétiques.
Lors de poussées de maladie de Crohn, les patients souffrent de maux de ventre (en particulier après les repas), d'épisodes de diarrhée pouvant durer plusieurs semaines, d'émissions de selles contenant du sang (parfois en quantité importante) ou des glaires, ainsi que de nausées, de vomissements et de perte d'appétit.
Les douleurs spasmodiques désignent des douleurs causées par des spasmes, le plus souvent d'organes situés dans la cavité abdominale. Ces contractions brusques et incontrôlées, semblables à des crampes musculaires, sont souvent d'ordre digestif, ou parfois gynécologique ou urinaire.
Le syndrome du côlon irritable n'est pas dangereux pour la santé. Il est donc important de sortir de la culpabilisation, d'écarter l'idée d'une maladie psychologique ou de mauvaise alimentation. Il faut trouver des traitements et aider les patients atteints du syndrome du côlon irritable.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.