Le diabète est une maladie chronique grave qui se déclare lorsque le pancréas ne produit pas suffisamment d'insuline, ou lorsque l'organisme n'est pas capable d'utiliser efficacement l'insuline qu'il produit. L'insuline est une hormone qui régule la glycémie.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Le diabète entraîne des complications graves à long terme, pouvant survenir après 10 à 20 ans de déséquilibre glycémique. La maladie accélère en effet l'athérosclérose, à l'origine d'infarctus du myocarde, d'AVC ou d'artérites des membres inférieurs.
Le diabète peut entraîner des complications à court terme (hypoglycémie, malaise...) et des complications à long terme en cas de mauvais contrôle de la glycémie (cécité, cataracte, thrombose, néphropathie…). Pour éviter de telles conséquences, des conseils et des traitements permettent aux malades de vivre normalement.
Quels sont les traitements ? Le diabète se soigne, mais ne se guérit pas. Les diabétiques de type 2 sont dans un premier temps traités avec des médicaments anti-diabétiques. Mais l'unique traitement pour le diabète de type 1 est l'apport d'insuline sous forme d'injection ou via une pompe.
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
Le diabète est favorisé par une prédisposition génétique. Le diabète de type 1 survient suite à une réaction anormale du système immunitaire. La survenue du diabète de type 2 est essentiellement liée au mode de vie : surpoids, sédentarité, hypertension artérielle, etc.
Si le diabète de type 2 ne se guérit pas définitivement, il est possible de réduire le temps passé en hyperglycémie tout au long de la vie pour retarder la survenue des complications et d'augmenter l'espérance de vie. L'activité physique et le rôle du muscle sont indispensables pour atteindre cet objectif.
Effets du diabète sur le sommeil
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Elle est due à l'impact du diabète sur le système vasculaire en général, et sur les vaisseaux qui irriguent la rétine en particulier. Constellés de nombreuses microhémorragies qui se produisent sous la rétine, ces derniers favorisent un décollement qui aboutit à la cécité.
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.
le diabète et l'obésité! Contrairement à ce que veulent nous faire croire les marques qui produisent des boissons allégées, elles sont loin d'être meilleures pour la santé. Elles favoriseraient même certaines maladies, voire l'obésité…
La fatigue, mal du siècle, est aussi un symptôme très courant dans le diabète de type 1. Il est important de différencier la fatigue aiguë, dont l'origine est généralement connue, et la fatigue chronique, que l'on a parfois du mal à identifier et à combattre.
Si le taux de sucre dans le sang se normalise, les personnes atteintes souffrent souvent d'une « déchirure » et ne peuvent se souvenir de leur comportement agressif, voire violent.
Les cellules essayent de survivre en utilisant d'autres carburants, de mauvaise qualité, qu'elles fabriquent à partir des protéines et des graisses : ceci explique la perte de poids et l'apparition d'acétone qui est un déchet de ces mauvaises combustions des graisses dans les cellules.
Les neuropathies diabétiques sont un groupe de désordres pouvant causer de la douleur, accompagnée d'engourdissement, de faiblesse ou de sensations bizarres (« paresthésies »).
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
Les aliments protéiques doivent être le moins gras possible: les poissons, les volailles comme la dinde, la pintade, le poulet sont les mieux indiqués, mais aussi, en quantité modérée, la viande de bœuf ou de veau. En revanche, la viande d'agneau ou de porc est à éviter.
Diabète : aliments à éviter
Le riz rapide, la purée de pomme de terre, les frites (à consommer une fois par semaine au maximum), les chips, les plats cuisinés du commerce, les viennoiseries, pâtisseries et les céréales du petit déjeuner chocolatées ou au miel ou fourrées.
De plus, la neuropathie périphérique est une des complications du diabète qui se traduit, entre autres, par une perte de sensibilité au froid. Les nerfs responsables de l'envoi au cerveau d'informations sur la température ne fonctionnent pas bien.
Pourquoi le diabète attaque les pieds ? En cas de diabète, l'instabilité du taux de sucre dans le sang altère le système nerveux (neuropathie sensitive) et la circulation sanguine. À un niveau trop élevé, le sucre attaque les vaisseaux sanguins et les nerfs.
Le problème le plus fréquemment rencontré chez les diabétiques sportifs est l'hypoglycémie (diminution de la quantité de glucose (sucre de façon générale) contenue dans le sang). Elle se traduit par des palpitations, une transpiration abondante, un sensation de faiblesse et des tremblements.