o troubles de l'équilibre, vertiges, baisse de la mémoire ou de la concentration, plus fréquents chez le sujet âgé, o incoordination motrice, tremblements, o confusion mentale, hallucinations, o plus rarement, des effets sont à type d'excitation : agitation, nervosité, insomnie.
Les malaises (vertiges, nausées, étourdissements)
Les sensations de vertige et de nausée typiques des malaises peuvent être provoquées par un manque de magnésium, qui favorise l'équilibre électrolytique. En cas de carence, le cerveau peut avoir du mal à interpréter des signaux au niveau de l'oreille interne.
Un déséquilibre de l'oreille interne peut se manifester de différentes manières : des sensations de rotations du corps, des vertiges, mais aussi des tangages comme un bateau en mer, des instabilités comme après un premier verre d'alcool à jeun ou plus insidieusement une tête lourde ou des nausées permanentes.
L'acétylleucine (TANGANILPRO et ses génériques) est indiquée dans le traitement de la crise vertigineuse. Son mécanisme d'action n'est pas connu. La bétahistine (SERC, BETASERC, etc.) est indiquée dans le traitement symptomatique des vertiges itératifs.
Les causes les plus fréquentes des vertiges sont les troubles de l'oreille interne, les troubles visuels, le mal des transports, ainsi que les effets indésirables de certains médicaments, de l'alcool, ou des drogues.
"De nombreuses études ont rapporté que la Covid-19 peut provoquer des étourdissements pendant la phase aigüe de l'infection, pendant la convalescence ou dans le cadre d'un Covid long", rappelle la NHS sur son site internet.
Il n'est généralement pas nécessaire de dépasser 3 g de paracétamol par jour, soit 6 comprimés par jour. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, et sur conseil de votre médecin, la dose totale peut être augmentée jusqu'à 4 g par jour, soit 8 comprimés par jour.
Symptômes de l'intoxication par le paracétamol
Au stade 1 (au bout de plusieurs heures), les personnes peuvent vomir mais ne semblent pas malades. De nombreuses personnes sont asymptomatiques au stade 1. Au stade 2 (après 24 à 72 heures), des nausées, vomissements et douleurs abdominales peuvent apparaître.
D'après le docteur Baumann, « il est alors impératif de consulter un médecin ». Plus les troubles durent longtemps, plus il devient nécessaire de se rendre chez un spécialiste, insiste-t-il. Parmi les signes à surveiller, les tremblements, les maux de tête, mais aussi les nausées et les vomissements.
Il peut s'agir d'une fatigue nerveuse, en période de stress intense, mais la fatigue physique ou le syndrome de fatigue chronique peuvent également provoquer ces sensations de vertige.
Les amandes
L'amande est également un remède ayurvédique lorsqu'elle est préparée avec des graines de citrouille, de blé ou des graines de pavot pour ainsi à réduire les étourdissements et les vertiges.
Les vertiges sont parfois liés à un problème de vue
Les vertiges peuvent également être liés à un problème de vue. Une douleur oculaire s'accompagnant d'une sensation de vertige, de céphalées violentes et de sensibilité à la lumière peut être révélatrice d'une migraine vestibulaire.
Voici une liste des signes et les symptômes les plus communément associés aux tumeurs cérébrales malignes ou non malignes: Maux de tête fréquents. Étourdissements ou vertiges. Troubles de la vision comme une vision floue ou double.
L'insuffisance cardiaque entraîne une réduction du flux sanguin dans l'organisme. Si le flux sanguin vers votre cerveau est plus faible que d'habitude ou si votre tension artérielle est basse, vous pouvez avoir des vertiges.
C'est une urgence médicale
Mais il faut consulter sans attendre si les vertiges surviennent brutalement, avec des maux de tête, des nausées ou des vomissements importants. À plus forte raison, s'il existe aussi une fièvre élevée, une difficulté à parler, une perte de sensibilité et une mauvaise coordination.
Autres causes possibles : Les troubles de l'équilibre et les vertiges peuvent être dus à une migraine, une hypotension, la compression de nerf, des troubles musculaires, à la consommation d'alcool et de drogues, au mal des transports ou à certains médicaments (neuroleptiques, antidépresseurs, antiépileptiques…)
Résultat : le paracétamol induit une hausse de 5 mm Hg sur la pression systolique (le plus grand chiffre de la tension) et de 1,5 mm Hg sur la pression diastolique (le plus petit chiffre). Cette augmentation n'est pas énorme mais bien réelle.
Si vous avez une maladie des reins, du foie, vous souffrez d'alcoolisme chronique, vous pesez moins de 50 kg : consultez un professionnel de santé avant de prendre du paracétamol. Si vous êtes enceinte : en règle générale, la prise de médicament doit être évitée pendant cette période.
Le Doliprane contient du paracétamol, le seul principe actif incorporé dans ce médicament. Le paracétamol est l'antalgique et antipyrétique de référence indiqué en première intention pour soulager les douleurs (maux de tête, douleurs musculaires…) et en cas de fièvre.
Les premiers symptômes d'un surdosage en paracétamol sont des nausées, des vomissements, une perte d'appétit et des douleurs abdominales. Cependant, ces symptômes sont vagues et non spécifiques. En cas de suspicion de surdosage, il est important de ne pas attendre l'apparition de symptômes.
Les effets indésirables avec le paracétamol sont rares. Ont toutefois été rapportés : des réactions cutanées allergiques, une hépatotoxicité (toxicité du foie) à doses trop élevées, et une destruction des cellules du foie (cytolyse hépatique ) en cas de surdosage aigu (7g et plus en une seule prise).