Dans le domaine de la psychiatrie, on entend par fou un malade mental, c'est-à-dire une personne atteinte de troubles mentaux. Ce n'est néanmoins pas un terme scientifique, mais une dénomination utilisée par le grand public.
Et, oui, cela est susceptible d'arriver à tout le monde. » Les facteurs de déclenchement sont multiples, assure la psychiatre : « Un deuil brutal, un gros chagrin d'amour, une passion, une trahison… Les situations stressantes, alliées à des facteurs amplifiants comme la prise de toxiques – alcool, drogues, etc.
Elle peut être passagère ou perdurer, être provoquée ou exister à l'état de base. Sur le plan psychiatrique, la folie recouvre plusieurs réalités et des termes plus spécifiques sont utilisés par les spécialistes (psychose, schizophrénie, catatonie, paranoïa, trouble bipolaire, etc.).
Un fou qui pense qu'il est fou est pour cette raison même un sage. Le fou qui pense qu'il est un sage est appelé vraiment un fou. Cette phrase de Bouddha contient 28 mots. Il s'agit d'une citation de longueur normale.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Non. Chaque maladie – physique ou mentale – laisse des traces dans l'organisme. Mais elle a parfois des conséquences positives. Le terme de guérison est toujours difficile à définir dans la mesure où l'idéal qu'il représente n'est que rarement, voire jamais, atteint.
La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
La folie peut être passagère ou chronique, latente ou foudroyante, héréditaire ou provoquée. Elle peut être l'expression d'une démesure comme « la folie des grandeurs », ou un simple penchant, comme « la folie douce ». Elle peut être « guerrière » ou qualifier un sentiment aussi fort que « l'amour fou ».
Les actions décalées sont parfois attribuées à de l'originalité ou de l'excentricité. Mais quand le hors-norme devient systématique, notamment lorsqu'il est accompagné de paroles délirantes, on considère volontiers qu'il relève de la folie.
Non vous n'allez pas devenir folle ... pas de craintes. Vous avez un mal-être certes mais qui peut être traité par de l'écoute et du bien-être ne vous inquiétez pas , je vous conseille de trouver un thérapeute bien-être qui saura faire un suivi au delà de la relaxation .
Électrochoc n.m., traitement consistant à provoquer une perte de conscience et des convulsions chez le fou en lui envoyant des décharges électriques par des électrodes posées sur les tempes.
Si possible, proposez-lui plusieurs moyens de l'aider pour lui donner le sentiment de maîtriser la situation. Transmettez-lui un message d'espoir en lui disant qu'on peut l'aider et que les choses peuvent aller mieux. Si la personne refuse de discuter avec vous, ne l'obligez pas à se confier.
Les premiers réflexes. Vous êtes face à une personne en proie à des hallucinations, qui manifeste brutalement des idées hors de la réalité ou qui devient violente envers elle-même ou les autres, appelez le SAMU (15), qui choisira alors de se déplacer directement ou sollicitera les pompiers.
La peur de devenir fou est parfois la raison-même qui mène au premier rendez-vous avec le psychologue. Il s'agit souvent d'une grosse inquiétude, qui provient généralement de pensées intrusives automatiques et incontrôlables, qui sont souvent à caractère agressif (faire du mal à quelqu'un, à un enfant, à soi-même).
C'est un signe de maturité psychologique : on quitte l'enfance, on accède à l'âge adulte lorsqu'on réalise que la mort fait partie de la vie. L'angoisse de mort existentielle est donc normale tant qu'elle ne perturbe pas la vie quotidienne.
La forme de la folie, son évolution, sa fin ont un caractère irréfutable qui indique son origine. Dans son Traité sur les maladies mentales, Morel est très précis sur sa conception de l'hérédité : les parents transmettent à leurs descendants des affections nerveuses.
Les plus courantes sont la schizophrénie, le trouble bipolaire, la dépression sévère, le trouble de personnalité limite et le trouble obsessionnel-compulsif.
Devenir fou signifie "perdre la tête, perdre la raison, déraisonner".
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
La logorrhée est un symptôme souvent présent dans les maladies psychiatriques et neurologiques chroniques. La personne ne se rend pas compte de son trouble, c'est pourquoi il est important de lui expliquer régulièrement ce qui lui arrive pour essayer de contenir son flux verbal.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Cela semble être le cas pour la déficience en ribose-5-phosphate isomerase, une maladie métabolique pour laquelle le seul patient connu est né en 1984, ce qui en fait virtuellement « la maladie la plus rare ».