- Anatole France. Le mal est nécessaire. S'il n'existait pas, le bien n'existerait pas non plus. Le mal est l'unique raison d'être du bien.
L'idée de mal est associée à tous les événements accidentels ou non, aux comportements ou aux états de fait jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux, et qui sont sources de souffrances morales ou physiques.
Opposé au Bien, le Mal désigne tout ce qui blesse l'individu et fait obstacle au bonheur.
Le véritable mal serait alors non pas tant le fruit de la cruauté (qui peut être requise pour le noble), que la retombée dans le rejet de l'action (pour ne pas dire la paresse). Or, tout l'enjeu est encore de comprendre plus avant ce que Nietzsche entend par « le mal ».
On ne peut vouloir le mal, mais seulement le bien. Cette explication du mal moral revient à dire que son origine se trouve dans les pulsions, dans l'inconscient, dans la passion. Pas dans la raison, ou dans la partie réflexive, intelligente, de notre âme.
Or le pire des maux que puisse connaître un homme, c'est de porter en lui l'injustice. Socrate considère qu'échapper au châtiment est une peine que l'on ne peut souhaiter qu'à ses ennemis car ne pas expier ses crimes est le pire des maux.
Pour Socrate "le bien est la source de toutes nos actions". Celui qui fait le mal se trompe car il le considère, en son for intérieur, comme un bien. La faute est donc une erreur et l'erreur un manque de connaissance. Le sens commun distingue la faute de l'erreur.
A titre de corollaires, nous retiendrons les définitions kantiennes : le mal absolu est «celui qu'une sagesse ne peut permettre ou désirer ni comme fin, ni comme moyen », tandis que le mal «conditionnel» «ne peut jamais être une fin, mais..., comme moyen, peut se concilier avec une volonté sage (4) ».
L'origine du mal se trouve, chez les penseurs croyants, dans l'imperfection générale de l'homme, ou mal “métaphysique”. Dans la Religion dans les simples limites de la raison, Kant a distingué la méchanceté (acte de faire le mal accidentellement) et la malignité diabolique (acte de faire le mal pour le mal).
Définition de bien
Etymologie : du latin bene, bien, à propos, favorablement. Au singulier, le bien est ce qui est l'opposé du mal, ce qui possède une valeur morale, qui a de la probité, de la vertu. Ex : Un homme de bien.
Le mal fait partie de Dieu. Il n'est pas Dieu lui-même ou Dieu comme Dieu ; sinon, on ne pourrait pas fuir du mal vers Dieu. Mais Dieu n'est pas seulement le Dieu sauveur, le Deus revelatus, le Dieu qui se révèle dans le Christ.
L'arbre de la connaissance du bien et du mal est un symbole du Livre de la Genèse suivant lequel Dieu planta dans le jardin d'Éden deux arbres mystérieux. « Le Seigneur Dieu planta un jardin en Éden, à l'orient, et il y plaça l'homme qu'il avait formé.
La thèse de Platon selon laquelle le mal n'est désiré que par ignorance est écartée, puisque le propos de Thomas est d'expliquer le consentement en faveur du mal connu. Or, si le mal peut être voulu, on ne peut le vouloir sans le référer au bien.
La conscience est le jugement pratique par lequel le sujet distingue le Bien et le Mal et apprécie moralement ses actes et ceux d'autrui ; en ce sens on dit aussi conscience morale…. Tous les humains possèdent une conscience du Bien et du Mal.
Mal est interprétée par Dove Cameron dans Descendants, Descendants 2 et Descendants 3.
Si Descendants 4 premières sur Disney Channel à l'été 2023, il est probable que les fans devront attendre le début de 2024 pour que le film soit diffusé sur Disney Plus. C'est parce que Disney a généralement publié le Descendance films sur Disney Plus environ six mois après leurs débuts sur Disney Channel.
Le bien moral consiste dans la vertu qui est ce qui suscite l'approbation. Or la vertu contribue au bien naturel.
La morale veut que l'on traite autrui avec respect et dignité. De même, autrui doit nous rendre ce respect envers la personne humaine que nous sommes. C'est la valeur absolue de notre humanité qui fonde ces exigences. Mais vis-à-vis de soi-même, les choses semblent moins évidentes.
On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri.
L'ignorance est donc une condition nécessaire pour l'homme, qui, parce qu'il vit à un moment donné, ne peut acquérir que les connaissances disponibles à son époque, et ignore donc de fait tout ce qui ne sera découvert qu'après son passage sur Terre.
Si Socrate affirme qu'il ne sait rien, c'est parce qu'il distingue le savoir (épistémè) de l'opinion ou la croyance (doxa). Contrairement à l'opinion, le savoir est une croyance que l'on peut justifier par des raisons, et non une croyance simplement admise.
Quand on sait ce qu'on sait, quand on voit ce qu'on voit, on a raison de penser ce qu'on pense. On voit qu'un ami est sûr quand notre situation ne l'est pas. Quand tu es le plus grand des menteurs, on ne voit plus de vérité en toi.
Je sais que je ne sais rien (en grec ancien « ἕν οἶδα ὅτι οὐδὲν οἶδα » hén oȋda hóti oudèn oȋda, et en latin « scio me nihil scire ») est une maxime attribuée par Platon au philosophe grec Socrate.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Quand on a besoin de toi on sait où te trouver, par contre quand on a plus besoin de toi on ne sait où te jeter.