Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) : La MPOC est une maladie pulmonaire qui réduit la capacité des poumons à absorber l'oxygène. Les symptômes incluent l'essoufflement, la toux chronique, la production excessive de mucus et la fatigue.
Lorsque le pourcentage d'oxygène dans le sang est en dessous des 85 %, le patient doit être pris en charge en urgence. Une hypoxémie sévère peut entraîner un coma, voire le décès du patient.
La personne atteinte présente une dyspnée, généralement accompagnée d'une respiration accélérée et superficielle, la peau peut paraître marbrée ou bleutée (cyanose), et d'autres organes, comme le cœur et le cerveau, peuvent présenter une défaillance.
Le syndrome de détresse respiratoire aiguë provoque une insuffisance respiratoire qui découle le plus souvent d'une pneumonie, d'un sepsis, d'un trauma ou d'une aspiration. La présence d'une hypoxémie d'intensité croissante est associée à un risque élevé de mortalité.
L'oxygène n'atteint plus le cerveau et les autres organes vitaux, ce qui entraîne une accélération rapide du rythme cardiaque, l'apparition d'une cyanose, une agitation, une confusion, la perte de connaissance, le coma voire le décès.
Le taux d'oxygène d'une saturation normale est compris en 95 % et 100%. Elle est considérée comme insuffisante entre 90 % et 94 %. En cas de taux inférieur à 90 %, il y a désaturation, un cas d'urgence.
Troubles respiratoires
Asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), obstruction par un corps étranger, emphysème pulmonaire, infection des voies respiratoires (laryngite, bronchite, pneumopathie…), cancer bronchique, embolie pulmonaire et tabagisme.
Habituellement, cette douleur a son siège au centre de la poitrine, là où est situé le cœur (et non à gauche, comme on le pense souvent). La façon dont elle se présente est variable d'un patient à un autre. Elle est généralement similaire pour un même patient, même à long terme.
Dans le cas de la saturation pulsée (SPO2), en dessous de 95%, on considère qu'une personne est en hypoxie, c'est-à-dire qu'elle manque d'oxygène. « Lorsque le corps manque d'oxygène, il s'ensuit une souffrance cellulaire et un risque pour les différents organes.
Les médicaments les plus importants pour traiter la BPCO sont les bronchodilatateurs inhalés qui détendent les voies respiratoires pour qu'elles restent dilatées. Les bronchodilatateurs à courte durée d'action mettent quelques secondes à agir et font effet pendant 4-6 heures.
Une hydratation adéquate aide à fluidifier les sécrétions bronchiques, facilitant ainsi leur expulsion par la toux. Il est recommandé de boire beaucoup d'eau tout au long de la journée, ainsi que des tisanes chaudes, des bouillons et des infusions.
essoufflement, respiration sifflante, voix rauque et toux qui s'aggrave ou persiste) douleur thoracique, en particulier lors de profondes inspirations et de quintes de toux. présence de sang dans les expectorations (ou hémoptysie)
Lorsque la gazométrie indique une acidose respiratoire, qui se manifeste par une élévation de la capnie et des bicarbonates, la détresse respiratoire résulte généralement de la décompensation d'une pathologie chronique. Il s'agit le plus souvent de l'exacerbation d'une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).
L'asphyxie est, par définition, un appauvrissement en oxygène dans l'organisme. Il en découle alors des difficultés respiratoires qui peuvent être sévères. En effet, appauvrie en oxygène, le sang ne peut donc plus apporter cet élément essentiel à l'ensemble des organes. Ces derniers deviennent donc déficients.
La bronchopneumopathie chronique obstructive, également appelée BPCO, est une forme grave de bronchite qui affecte le souffle et provoque des dommages irréversibles des poumons.
Les conséquences de l'insuffisance respiratoire
Une insuffisance cardiaque droite peut alors se développer, engendrant une tachycardie et des problèmes de circulation pouvant générer des œdèmes des membres inférieurs (gonflement des jambes et des chevilles).
Les signes cliniques d'insuffisance respiratoire aiguë en lien avec une hypoxémie sont la cyanose, les troubles de conscience jusqu'au coma et l'état de choc jusqu'à l'arrêt cardiocirculatoire.
Calmer la personne. La personne souffrant de détresse respiratoire doit être mise en position assise ou allongée avec le buste légèrement surélevé Défaire les vêtements serrés, la cravate ou le soutien-gorge. Veiller à ce que la pièce soit bien aérée.
L'index ou le majeur sont les meilleurs doigts pour placer un oxymètre. L'ongle est positionné du même côté que l'écran de l'appareil. Il ne faut pas de vernis à ongles, coloré ou transparent, et un éclairage ambiant intense (naturel ou artificiel) peut également fausser la mesure.
Oxymetrie nocturne
La fonction respiratoire étant essentiellement d'assurer l'oxygénation du sang, les troubles ventilatoires du sommeil peuvent dans certains cas sévères, être en effet à l'origine de baisse notables et durables d'oxygène du sang.