En effet, le papillomavirus est un virus que l'on retrouve naturellement chez 85 % des jeunes femmes de 18 à 25 ans.
Epidémiologie. Les papillomavirus humains ou HPV infectent les cellules épithéliales de la peau ou des muqueuses, et sont transmis par la dissémination de ces cellules lors de la desquamation. On distingue les HPV à bas risque, agents de lésions bénignes, des HPV à haut risque qui sont responsables de cancers.
Combat le papillomavirus
Le shiitake, grâce à ses composés actifs, serait capable de combattre et d'éradiquer le papillomavirus.
Il n'y a pas de traitement pour l'infection à HPV. Dans 90 % des cas environ, notre système immunitaire l'élimine spontanément. La plupart des personnes ayant une infection à HPV n'ont aucun symptôme et ne sauront jamais qu'elles sont ou ont été infectées.
En effet, dans environ 90 % des cas, notre système immunitaire est capable de se défendre efficacement et naturellement contre les virus HPV. Ainsi, une infection à papillomavirus disparaît généralement d'elle-même dans les deux ans, comme le précise sur son site la HAS (Haute Autorité de santé)2.
Rien ne permet de savoir depuis combien de temps une infection particulière existe. La plupart des personnes ayant une infection à VPH dans la région anogénitale ne le savent pas.
L'infection à VPH peut s'être produite des années auparavant, et le virus peut demeurer dans l'organisme pendant des semaines, des années, voire la vie durant, sans signe d'infection. Il est donc difficile de savoir exactement quand ou de qui une personne a contracté le virus.
Il existe des facteurs qui contribuent à la persistance de l'infection HPV notamment le tabac, les partenaires multiples, une faible défense immunitaires, une infection par d'autres maladies sexuellement transmissibles. Dans plus de 80 % le virus disparaît par les défenses de l'organisme et n'entraine aucune séquelle.
SENSIBILITÉ AUX DÉSINFECTANTS: L'exposition à de l'éthanol à 90 % pendant au moins 1 minute, au glutaraldéhyde à 2 %, à Savlon à 30 % et/ou à l'hypochlorite de sodium à 1 % peut inactiver le virus 10 13.
Les caroténoïdes, vitamines A, D et B9 réduisent le risque d'infection HPV, les vitamines C et E agissent quels que soient le stade, le lycopène et les polyphénols sur les derniers stades du cancer.
Les tests ADN du PVH détectent les souches à haut risque du PVH, qui sont à l'origine de la quasi-totalité des cancers du col de l'utérus. Les tests basés sur l'ARNm du PVH détecte les infections à PVH entraînant une transformation cellulaire.
Papillome. Cette tumeur bénigne se développe dans des cellules épithéliales qui tapissent la surface interne de la cavité buccale. Le traitement est le plus souvent chirurgical.
Il faut tout de même relativiser ce risque car 80 à 90 % de ces infections à HPV sont passagères et régressent spontanément sans même de traitement.
Il existe plus d'une centaine de virus HPV (Human Papillomavirus). Parmi tous ces virus, le condylome représente la première MST au monde. On estime qu'à partir d'un seul rapport sexuel dans sa vie, on a 100 % de chances de rencontrer un HPV.
La contamination des HPV est essentiellement sexuelle, elle se déroule, en général, dès après les premiers rapports sexuels. On estime que le plus souvent, le premier contact a lieu en général entre 18 et 25 ans.
On peut retrouver ces virus au niveau de la peau mais aussi des muqueuses, en particulier génitales. En fonction des virus et de la localisation anatomique où on les observe, les différents HPV peuvent être responsables de lésions bénignes ou malignes.
L'infection à Papillomavirus peut se manifester par des lésions indolores sur la peau (condylomes ou verrues génitales), au niveau ano-génital ou de la muqueuse orale, chez les hommes et les femmes. Les condylomes se détectent le plus souvent à l'œil nu et le diagnostic peut être confirmé par un test HPV.
Condylomes (symptômes d'infections par les VPH à faible risque de cancer) Les condylomes sont des verrues qui se manifestent sous forme de petites bosses sur la peau ou les muqueuses : des organes génitaux (pénis, scrotum, vulve, vagin, anus); parfois, de la gorge.
Quels sont les symptômes ? La grande majorité des infections à HPV sont silencieuses. L' infection[Définition] à papillomavirus[Définition] peut se manifester par des démangeaisons, des saignements et des petites verrues (condylomes) sur les organes génitaux[Définition] ou l' anus[Définition] .
Le signe le plus courant est la présence de verrues sur le pénis, les lèvres de la vulve et autour de l'anus (condylomes). Si ces lésions s'étendent dans le conduit pour uriner (urètre), on peut avoir mal lorsqu'on urine ou même avoir du sang dans les urines.
Suite à une conisation HPV, les patientes font face à un risque de récidive et sont plus exposées au cancer du col de l'utérus que les patientes lambda.
Si vous remarquez des lésions ou des verrues sur la langue, le palais mou ou les amygdales, il est possible que vous soyez infecté par le virus du papillome humain (VPH).
Dans le cas d'un dépistage de papillomavirus 18, le risque est multiplié par 220. C'est pourquoi le 16 et le 18 sont classés parmi les HPV de haut risque. Ils augmentent de manière significative le risque de lésion précancéreuse ou de cancer.
Grâce à ces données inédites, on sait : près d'un tiers sont porteurs, ce qui prouve que le HPV n'est pas « réservé » aux femmes ou aux hommes ayant des relations avec les hommes. Extrêmement transmissible, il ne sélectionne ni genre ni pratique et n'a rien à voir avec le fait d'être multipartenaires.