Oui, le poisson peut très bien remplacer la viande pour ce qui est des vitamines du groupe B et des protéines ; le poisson contient en effet entre 15 et 20% de protéines (un beau filet vous apporte 25% des protéines de la journée), pratiquement comme la viande.
L'apport en protéines
Le poisson est souvent moins gras et est ainsi bien moins calorique, notamment pour les poissons dits "maigres" (bar, sole, limande, merlu, cabillaud, etc.) Ils apportent environ 5g de lipides pour 100 grammes. En revanche, les poissons dits "gras" (saumon, maquereau, sardine, etc.)
La viande est un aliment constitué des tissus musculaires de certains animaux, notamment les mammifères, les oiseaux, les reptiles, mais aussi certains poissons comme les requins.
Comme substituts à la viande, il faut se tourner vers des aliments riches en protéines : les graines, les céréales, les légumineuses, les fruits à coque de toute sorte, les algues et micro-algues, et bien sûr le soja. Ces aliments ont aussi l'avantage d'être riche en fibres.
Privilégier d'autres protéines animales
Inviter deux fois par semaine dans son assiette un poisson ou un autre produit de la mer, dont les protéines sont les substituts parfaits de celles des aliments carnés.
Si cet équilibre n'est pas atteint, l'absence de viande peut provoquer des carences dangereuses pour la santé : La carence en fer. Elle se traduit par une anémie entraînant fatigue et affaiblissement des défenses naturelles.
Ils sont également riches en micronutriments essentiels à la santé, mais ils présentent des caractéristiques distinctes. Le poisson délivre de la vitamine D, de l'iode - nécessaire au fonctionnement de la thyroïde -, ainsi que du zinc, un antioxydant très protecteur, qui n'existent pas dans la viande.
Le pesco-végétarien élimine la viande rouge et la volaille de son alimentation, mais il mange du poisson et des produits de la mer. C'est une alimentation plutôt courante. Plusieurs personnes l'adoptent parce qu'il s'agit d'un régime un peu plus permissif que le végétarisme.
Le nutritionniste Raphaël Gruman explique à nos confrères que “ la protéine n'est pas aussi complète que celle de l'œuf car il manque toujours un acide aminé”. L'œuf est donc une bonne alternative pour réduire sa consommation de viande et de poisson.
Que mange un végétarien ? Dans sa forme stricte, cette préférence exclut de l'alimentation tous les produits animaliers comme la viande, les poissons, les crustacés ou encore les mollusques. En revanche, tous ceux issus de l'animal comme le fromage, le miel ou encore les œufs sont autorisés.
Sardine, hareng et raie sont les plus riches en vitamine B12. Les poissons se distinguent encore par leur contenu en vitamine E antioxydante, ainsi qu'en vitamine D, laquelle participe à la solidité du squelette et à la vigueur du système immunitaire. Saumon, bar, limande et rouget en sont les mieux pourvus.
Pourquoi consommer du poisson est-il important pour la santé ? Le poisson est une source privilégiée en acides gras oméga-3 dont certains sont indispensables au développement et fonctionnement du système nerveux et contribuent à la prévention des maladies cardio-vasculaires.
Le fait de ne pas manger de poisson est toujours vu comme un manquement à une alimentation équilibrée. Pourtant, le poisson est l'apport principal de métaux lourds, PCB, dioxines et plastiques dans notre alimentation. Tous ces éléments sont extrêmement toxiques à la santé.
* La viande est l'une des meilleures sources de protéines, de fer et de vitamine B12 dans notre alimentation. Si nous la supprimons de notre alimentation, nous courons le risque de ne pas être bien nourris.
Les haricots, les pois, les lentilles, les œufs ou les produits issus du soja fournissent par exemple des protéines, mais il ne faut pas lésiner sur les proportions. On estime, par exemple, qu'il faut environ 268 grammes de lentilles cuites pour remplacer un steak haché de bœuf de 100 grammes.
Par chance pour les végétariens, il existe des sources d'oméga-3 non-animales. Comme par exemple : l'avocat, mais aussi l'huile de colza, la noix, ou encore les germes de maïs.
1/ L'ail (5,81 g de protéines pour 100 g) 2/ Le kale ou chou frisé (4,3 g de protéines pour 100 g) 3/ Les épinards (3,38 g de protéines pour 100 g) 4/ Les choux de Bruxelles (3,4 g de protéines pour 100 g)
Des scientifiques chinois ont constaté que consommer un œuf par jour pouvait contribuer à réduire le risque de troubles cardiovasculaires. Sur les œufs on entend tout et son contraire : il ne faut pas en abuser, ils font grimper le cholestérol, ils sont bons pour la santé…
ICHTYOPHAGE, adj. et subst. (Personne, animal) qui se nourrit principalement ou uniquement de poisson.
- les infections (comme la tuberculose par exemple) ; - le diabète ; - les maladies digestives : maladie de Crohn, occlusion intestinale, appendicite, etc. Dans ces maladies, le tube digestif n'étant pas prêt à recevoir des aliments, il va donner des ordres pour éviter l'alimentation.
Anthropophage : Définition simple et facile du dictionnaire.
Un végétarien ne mange aucune chair animale. Tous les animaux sont concernés, qu'ils soient d'origine terrestre ou marine, crustacés inclus. Un végétalien ne mange rien qui provienne d'un animal. Il ne consomme donc pas de viande, d'œufs, de produits laitiers, de miel…
Pour ce jour de la mort du Christ, l'Église demande à ses fidèles de “faire maigre” lors des repas le vendredi et plus particulièrement le Vendredi saint. Ils doivent donc s'abstenir d'aliments riches comme la viande en mémoire du sacrifice de Jésus et dans une démarche de pénitence.
« Et le vendredi saint, en mémoire du sacrifice de Jésus-Christ, les Chrétiens ont coutume de manger maigre et de s'abstenir de consommer de la viande, le poisson venant ainsi se substituer à ces aliments.