Des études récentes révèlent que différentes zones du cerveau entrent en action selon les disciplines et les pratiques. L'apprentissage d'une langue étrangère, réalisé dans certaines conditions, permettrait l'augmentation du QI des jeunes et l'entretien/l'amélioration des fonctions cognitives quand on avance en âge.
En quatre ans, certains ont nettement amélioré leurs performances, alors que chez d'autres elles ont considérablement chuté. Les chercheurs ont trouvé une corrélation nette entre l'évolution du QI et des modifications structurelles dans le cerveau. Selon eux, c'est une preuve de plus de la plasticité cérébrale.
Or l'intelligence cristallisée peut se développer par l'entraînement : la connaissance s'accumule et, si l'on y consacre du temps, l'expertise dans certaines tâches (le calcul mental, par exemple, l'aptitude aux mots croisés, ou l'expertise boursière…) peut s'améliorer, même chez l'adulte.
La forme d'intelligence qui peut être améliorée tout au long de la vie est l'intelligence dite "cristallisée", à distinguer de l'intelligence fluide qui elle, se développe jusqu'à l'âge de 25 ans pour ensuite décliner.
Si les bébés en bonne santé ont tous plus ou moins les mêmes possibilités intellectuelles à la naissance, ils ne vont pas tous devenir des surdoués car l'environnement joue un rôle prépondérant dans le développement cérébral.
L'intelligence est également fortement influencée par l'environnement. Les facteurs liés à l'environnement familial et à la parentalité, à l'éducation et à la disponibilité des ressources d'apprentissage, de même qu'à la nutrition, notamment, contribuent tous à l'intelligence.
Le DAS-II obtient un score médian de 100 de QI et un écart-type de 15 de QI. Le score le plus bas possible est de 44, et le plus élevé s'élève à 175.
Les échelles de Wechsler françaises ne permettent pas de mesure au-delà de 3 écarts types pour les subtests (donc la note maximale est de 19), et au-delà de 4 écarts-type pour le QIT (QI maximal de 160).
QI de 110 à 119 : intelligence normale forte, au-dessus de la moyenne (cela concerne 16,1% de la population) QI de 90 à 109 : intelligence moyenne (cela concerne 50% de la population) QI de 80 à 109 : intelligence normale faible, en dessous de la moyenne (cela concerne 16,1% de la population)
Des études plus récentes montrent que ce ratio d'héritabilitié du QI varie fortement avec l'âge, passant de 20 % durant l'enfance à 80 % chez l'adulte.
Selon cette étude, nous perdrions jusqu'à 0,33 point de quotient intellectuel chaque année. Rappelons qu'un Q.I dans la moyenne se situe entre 90 et 110.
En fait, ils ont constaté qu'à l'adolescence, le QI peut considérablement bouger à quelques années d'intervalle. Mais, ces variations ne sont pas toujours à la hausse. Autrement dit, vous pouvez aussi obtenir de bien moins bonnes performances en grandissant.
QI de 90 à 109 : intelligence moyenne (50% de la population) QI de 80 à 109 : intelligence normale faible, en dessous de la moyenne (16,1% de la population) QI de 70 à 79 : intelligence limite (6,7% de la population) QI de 69 et moins : intelligence extrêmement basse (2,2% de la population)
La logique nous dit qu'un génie a un QI supérieur à la moyenne. On estime que Mozart, par exemple, avait un QI entre 150 et 155 points.
Le concept de haut potentiel intellectuel a évolué au cours des 20 dernières années et fait l'objet de débats entre spécialistes. Néanmoins, la définition de l'OMS, généralement retenue dans la littérature scientifique, précise que le HPI correspond à un quotient intellectuel (QI) d'au moins 130.
Terence Tao est considéré comme l'homme le plus intelligent du monde du fait de son quotient intellectuel de 230. À titre de comparaison, le QI moyen d'un individu est situé autour de 100 et celui d'Albert Einstein a été estimé à «seulement» 160.
Avec un QI de 300, cet Américain est sans nul doute l'homme le plus intelligent de toute l'Histoire de l'humanité. William James Sidis est né le 1er avril 1898 à New York et meurt le 17 juillet 1944 à Boston.
Prénoms de génies : John et Marie en tête du classement
Pour les garçons, surprise, c'est le prénom John (Jean en français) qui arrive en tête des prénoms les plus courants pour les génies. En seconde position nous retrouvons Robert puis William sur la troisième marche du podium.
Plusieurs études montrent que le score aux tests de QI des jeunes baisse depuis quelques décennies. Des facteurs environnementaux comme le système éducatif ou la consommation des médias pourraient jouer un rôle. Pendant une bonne partie du XXe siècle, le score des jeunes aux tests de QI a constamment augmenté.
Oui, car l'intelligence serait héréditaire et transmise par la mère. L'explication ? Une histoire de gènes : les femmes possédant deux chromosome X, contrairement aux hommes qui n'en possèdent qu'un seul (too bad). Or, c'est dans ces chromosomes X que l'on trouve l'intelligence.
Abricots secs, raisins secs, cacahuètes, amandes, noix… Ces aliments sont de vrais boosters de la mémoire en plus d'être des fournisseurs d'énergie. Ce pouvoir revient à leur richesse en minéraux comme le zinc. Celui-ci aide à améliorer les capacités d'apprentissage du cerveau ainsi que la mémoire.
Fer : dans les viandes rouges, la volaille, les huîtres, les légumineuses, les légumes-feuilles, le quinoa, les graines de citrouille, les céréales enrichies et le chocolat noir aussi!
Selon une étude scientifique, l'intelligence de l'enfant se transmettrait par la mère. Pourquoi ? Car les gènes de l'intelligence sont issus du chromosome X. Comme la femme en possède deux, on en déduit qu'elle a plus de chance que l'homme d'influencer les capacités cognitives de ses enfants.