L'anxiété-état génère également des troubles physiques très palpables : tensions dans le haut et le bas du dos, tensions musculaires, crampes d'estomac, tensions dans les jambes (jambes lourdes), mictions ou diarrhées fréquentes, oppression de la poitrine et essoufflement, augmentation du rythme cardiaque et ...
Les douleurs liées au stress sont multiples. Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
Surélevez vos jambes
Allongez-vous sur le sol, les pieds au mur. Amusez-vous à faire des flexions et extensions des pieds puis des orteils (20 fois pour chaque mouvement). Et le soir si vous lisez ou regardez la TV, mettez un coussin sous vos pieds. Et surélevez les pieds de votre lit.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
«Les muscles sont riches en terminaisons nerveuses, et lorsque le cerveau en situation de stress transmet trop d'informations aux nerfs, ils se trouvent alors saturés, explique le Dr Gilles Mondoloni, médecin ostéopathe et acupuncteur, auteur de Stop au mal de dos, aux éditions Solar.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Car sous l'effet d'un stress prolongé, le niveau de résistance des cellules au cortisol augmente et, dans ce cas, l'inflammation donc le développement de l'infection sont favorisés puisque l'effet anti-inflammatoire du cortisol est atténué.
L'anxiété peut se déclencher avec le stress, suite à un événement personnel difficile ou à une expérience négative. Elle se manifeste notamment par une inquiétude diffuse, des douleurs musculaires, des problèmes de sommeil et de concentration.
Il s'agit la plupart du temps de crampes, de courbatures ou bien de pathologies de type claquage, élongation ou déchirure. Origine osseuse : c'est souvent le cas des douleurs liées à un exercice physique ou survenues à la suite d'un traumatisme.
Les meilleurs anti-stress naturels à ingérer
La camomille est connue pour ses vertus relaxantes, idéales pour se libérer du stress. Quant au thé vert, il est tout aussi efficace puisqu'il aurait la capacité de maintenir, voire de baisser, le niveau de cortisol (l'hormone du stress) dans notre corps.
Signes et symptômes du stress
Les symptômes physiques liés au stress sont tels que des maux de tête, des douleurs musculaires, des vertiges, des nausées, des troubles du sommeil, une fatigue intense ou encore des troubles de l'alimentation.
Les courbatures
Dans ce cas, assez logiquement, les deux mollets sont concernés. Les courbatures sont provoquées par un mauvais échauffement, un manque d'étirement, une hydratation insuffisante (avant, pendant et après la séance), ou encore une activité physique trop intense.
Si vous ressentez des douleurs aux jambes le soir au coucher, vous souffrez peut-être du syndrome des jambes sans repos. Cette maladie qui touche 5 à 10 % des Français cause un besoin impératif de bouger la jambe, et cela à n'importe quelle heure de la nuit.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
symptômes physiques : douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sensations d'essoufflement ou d'oppression, sueurs inhabituelles...
À l'ordinaire, le cortisol sonne l'alarme auprès du système immunitaire en cas de stress mais aussi d'infection. Cependant, en cas de stress chronique, le corps s'y habitue, l'hormone perd donc de son efficacité, et vous tombez malade plus souvent.
Le stress s'apparente alors à une relation de cause à effet : quelque chose se produit dans l'environnement et cela génère du stress. L'anxiété est une vague et parfois intense sensation de danger et de malaise. La personne anticipe de façon négative un évènement qui pourrait survenir dans le futur.
Des chercheurs de l'université de Colombie britannique au Canada viennent de montrer l'efficacité d'un certain type de paracétamol (l'acétaminophène) pour traiter l'anxiété, l'angoisse. En fait, la zone du cerveau qui répond à la douleur physique est, également, celle qui répond à la douleur émotionnelle.
Les techniques de relaxation comme la méditation, la sophrologie ou encore l'hypnose et l'acupuncture. Les techniques de respiration comme la cohérence cardiaque ou la respiration abdominale ainsi que le yoga. La phytothérapie grâce à des plantes apaisantes comme la camomille, la passiflore ou la valériane.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
D'où vient ce désordre psychique favorisant l'anxiété ? Cela peut être héréditaire ou environnemental, mais on cite également l'anxiété post-traumatique (accident, attentat, décès d'un proche, choc psychologique).
La surcharge des cours magistraux, le peu de temps imparti pour tout « ingurgiter », le manque de sommeil, les troubles de mémorisation, la fatigue intellectuelle et physique, ne font qu'aggraver le stress des étudiants, pourtant déjà bien préparés à l'apprentissage.