Bien que le stress se passe d'abord dans la tête, il a des effets considérables sur le corps. Il peut nuire à la santé de votre cœur. Par exemple, un stress soudain et intense peut augmenter le risque à court terme de crise cardiaque.
Si le stress n'est pas la cause principale de l'hypertension artérielle, il peut néanmoins la favoriser, voire l'aggraver. De manière générale, on remarque une augmentation de la pression artérielle chez une personne exposée à un stress. Elle ne dure généralement pas au-delà de la période d'exposition au stress.
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus.
Qu'est-ce qu'un infarctus de stress ? « Lors d'un stress aigu, le système nerveux sympathique déclenche une production de catécholamines (les hormones du stress), qui accélèrent le rythme cardiaque, augmentent la pression artérielle, et contractent les artères coronaires.
Un stress élevé et prolongé peut être associé à : Une augmentation des taux de cholestérol. Une augmentation de la pression artérielle.
L'essoufflement ou dyspnée de l'insuffisance cardiaque
Cette gêne se manifeste d'abord par un essoufflement et une difficulté à reprendre son souffle à l'effort, puis pour des efforts de plus en plus petits et plus tardivement au repos en position assise.
Une douleur thoracique à l'effort qui s'aggrave progressivement en est le principal symptôme, avec l'apparition de douleurs au repos. La douleur se caractérise par un resserrement de la poitrine, parfois avec une sensation de brûlure.
symptômes émotionnels : sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes, angoisse, excitation, tristesse, sensation de mal-être... symptômes intellectuels : perturbation de la concentration entraînant des erreurs et des oublis, difficultés à prendre des initiatives ou des décisions…
Le choc cardiogénique est défini par l'incapacité de la pompe ventriculaire à générer un débit sanguin suffisant permettant aux organes périphériques de subvenir à leurs besoins métaboliques (3, 5). Il associe une baisse du débit cardiaque et des stigmates d'hypoxie tissulaire, en l'absence de signes d'hypovolémie.
"Le stress, l'adrénaline peuvent provoquer des palpitations. Mais il faut savoir que le cœur peut battre vite sans aucun trouble du rythme. C'est simplement l'effet d'une émotion ou d'un effort. Il est donc logique de ne rien médicaliser dans ces cas-là.
Fatigue réactionnelle : quand le corps ne supporte plus le stress. La fatigue réactionnelle est une forme de fatigue temporaire qui trouve son origine dans des perturbations du mode de vie (souvent un rythme de de vie exténuant et usant, des états de stress répétitifs) ou des maladies de courte durée.
La réponse au stress se déroule en 3 phases : l'alarme, la résistance et l'épuisement. 3 zones du cerveau sont impliquées dans la réponse au stress : l'amygdale, l'hippocampe et le cortex préfrontal.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
En cas de crise de palpitations, respirer ainsi a généralement un effet apaisant immédiat. « Pratiquer régulièrement la cohérence cardiaque, 3 à 4 fois par jour, est aussi un bon outil pour mieux gérer son stress en traitement de fond », ajoute le cardiologue.
À plus long terme, le tabac abîme progressivement les artères. Le risque est la même, quel que soit le type de tabagisme (cigarettes avec ou sans filtre, pipe, cigare, narguilé, tabac à mâcher, etc.) Le risque cardiovasculaire (et particulièrement d'infarctus du myocarde) est augmenté en cas de tabagisme passif.
En pratique, quatre grandes catégories d'états de choc sont décrites : le choc cardiogénique, le choc obstructif, le choc hypovolémique et le choc distributif, qui comprend le choc septique et le choc anaphylactique.
Symptômes du choc
Les symptômes de l'état de choc sont similaires en cas d'hypovolémie ou de pompage cardiaque inadéquat. Le trouble peut commencer par une léthargie, une somnolence et une confusion. La peau devient froide et moite, et souvent bleuâtre, pâle ou blême.
Les anxiolytiques (benzodiazépines, buspirone...) permettent d'agir rapidement sur l'anxiété. Ils peuvent être utiles sur de courtes durées : en début de traitement, avant que le traitement de fond ne fasse pleinement effet, ou pendant une période où l'anxiété réapparaît, malgré le traitement de fond .
Sans signe annonciateur, elle surgit violemment et provoque des symptômes qui peuvent simuler une crise aiguë de maladie cardiaque, pulmonaire ou neurologique. Ce sont les troubles paniques, également appelés attaque de panique ou crise d'angoisse.
- Les grosses artères coronaires (artères épicardiques qui circulent à la surface du cœur) présentent des plaques d'athérome molles et peu calcifiées qui se déchirent et se recollent, ce qui provoque des symptômes fluctuants, comme des palpitations, de l'essoufflement ou des douleurs d'allure digestive.
La troponine, marqueur biologique de l'infarctus du myocarde déjà utilisé par les médecins pour déterminer si un malade présentant certains symptômes a fait une crise cardiaque, servirait également servir à prédire le risque d'infarctus.
La coronarographie est un examen qui a pour but d'analyser les artères coronaires qui irriguent le cœur. Cet examen aux rayons X avec produit de contraste permet de visualiser à l'aide d'une caméra l'état des artères, une éventuelle obstruction ou un rétrécissement.