La réponse courte à cette question est non, le sucre n'alimente pas le cancer.
Le lien entre le sucre et le cancer trouve son origine par la grande consommation de sucre que font les cellules cancéreuses en raison d'un milieu pauvre en oxygène. Elles favorisent ainsi les voies métaboliques utilisant préférentiellement le glucose.
Une alimentation riche en aliments contenant du sucre fait habituellement engraisser et la recherche scientifique indique que l'obésité augmente le risque de cancer.
Les cellules cancéreuses consomment davantage de sucre que les cellules saines. C'est pourquoi limiter les apports en sucre pourrait, en théorie, contribuer à ralentir la croissance des tumeurs.
C'est donc officiel, le sucre est l'ennemi numéro 1.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Si vous devez éviter les produits trop sucrés, sachez que les baies sont excellentes pour tuer les cellules cancéreuses. On imagine aisément qu'elles protègent aussi notre organisme de l'apparition de certaines maladies. Mettez-donc à votre menu baies, fraises, framboises, myrtilles et mûres !
Un seul carré de chocolat noir contient deux fois plus de polyphénols qu'un verre de vin rouge et autant qu'une tasse de thé vert. En cela, il contribue à freiner le développement des cellules cancéreuses et à lutter contre le stress oxydatif.
Des propriétés anti-cancéreuses
Le miel a montré son efficacité dans plusieurs cancers, comme le cancer de la prostate, le cancer du sein ou bien encore les cancers colorectaux ou du foie2-3-4-5.
On la trouve dans l'huile de germe de blé. Puis suivent le thé, le curcuma, la lavande, les citrus, les choux (Brassica), le raisin rouge, l'ail, le soja, les baies (en particulier la fraise), le persil et l'artichaut. Certains anti hypertenseurs, anti-arthrose et certaines statines sont aussi efficaces.
Les cancers rares que nous pouvons évoquer sont par exemple les sarcomes des tissus mous, de nombreux cancers pédiatriques et également certains cancers de l'ovaire.
Un taux de survie de 94 % pour les cancers de la prostate
Parmi les cancers considérés comme se soignant « bien » on retrouve ceux du sein, de la prostate, colorectal, de la thyroïde et de la peau.
Voilà une information qui semble peu probable. Pourtant, des chercheurs ont mis en évidence que les amidons résistants, contenus entre autres dans les bananes, préviennent bien certains cancers.
Il s'agit des huiles entières minérales, du benzène, du perchloroéthylène, du trichloroéthylène, de l'amiante, des poussières de bois, des gaz d'échappement diesel et de la silice cristalline. Ces huit produits représentent 2,4 millions d'expositions, soit les deux tiers des expositions aux produits cancérogènes.
Les programmes nationaux de nutrition santé (PNNS) conseillent d'alterner la consommation de pain blanc et pain complet.
Nous conseillons aux personnes malades du cancer ou qui sont passées par la maladie de ne boire quotidiennement de l'eau du robinet que si elles sont sûres de sa qualité, et sinon de s'équiper d'un filtre de qualité ou de boire de l'eau en bouteille.
Situations liées aux traitements du cancer
Plusieurs études mentionnent un effet positif de la prise de gingembre en capsule pour lutter contre les nausées et vomissements causés par la chimiothérapie. Cet effet est présent, qu'il soit utilisé ou non en combinaison avec des médications classiques (2,5,6,7,8,9,10).
Conclusion. L'ensemble des données scientifiques suggèrent que la consommation de produits laitiers n'est pas associée de façon négative au risque de cancer du sein et qu'elle pourrait en fait réduire le risque de cancer du sein, particulièrement chez les femmes préménopausées.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Les choux : chou-fleur, brocolis, choux de Bruxelles, Kale… ces aliments de la famille des crucifères sont riches en glucosinates, des composés connus pour leurs effets anti-cancer.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.