Les cellules cancéreuses consomment davantage de sucre que les cellules saines. C'est pourquoi limiter les apports en sucre pourrait, en théorie, contribuer à ralentir la croissance des tumeurs.
En effet, avoir une alimentation riche en sucres simples induit une production d'insuline importante, l'hormone régulatrice de la glycémie. Or l'insuline est un agent qui est dit « mitogène », c'est-à-dire qu'il peut favoriser la prolifération des cellules tumorales.
Sucre et cancer
Le sucre en lui-même n'est pas un ingrédient qui accroît votre risque de cancer, mais ses effets sur le corps peuvent avoir une influence sur ce risque. Une consommation excessive de sucre peut entraîner une prise de poids, et la recherche démontre que l'embonpoint accroît le risque de cancer.
Une analyse détaillée des données a révélé que le risque était plus spécifiquement lié aux sucres ajoutés, aux sucres libres, au sucrose, aux sucres des boissons ou des produits laitiers. En outre, les effets sur le risque de cancer du sein s'avéraient légèrement plus important chez les femmes pré-ménopausées.
Évitez les viandes préparées (charcuteries, pâté, salami, saucisson, saucisses, haché préparé, etc.). Évitez de préférence l'alcool, ou limitez-en la consommation à maximum un verre par jour. Limitez votre consommation de sel et évitez les préparations très salées. Evitez la prise de compléments alimentaires…
Le sucre, ennemi numéro 1, serait donc accusé de nourrir le cancer. Régulièrement, de nouvelles études alertent le grand public.
Les régimes riches en légumes non féculents, comme le brocoli, les épinards et les haricots, peuvent aider à protéger contre les cellules cancéreuses du cancer de l'estomac et de l'œsophage.
Riches en vitamine C, les agrumes contiennent de nombreux composés chimiques intéressants. Selon une étude néerlandaise de 2011, ils auraient un effet protecteur contre les cancers de l'estomac et de l'œsophage. Par ailleurs, les pommes, les prunes et les baies ont un grand pouvoir antioxydant.
1) Le miel
Le miel est également moins calorique que le sucre et possède un pouvoir sucrant 30% à 40% supérieur au sucre de table , ce qui permet de consommer des quantités plus faibles. Enfin, le miel contient des antioxydants, des molécules qui aident à prévenir le cancer et les maladies dégénératives.
Le sucre blanc consommé en trop grande quantité a des effets néfastes sur l'organisme. Il favorise l'apparition de graves maladies hépatiques, augmente le diabète et les chances de contracter certains types de cancer.
La banane est particulièrement riche en antioxydants, et ceux-ci ont la faculté d'empêcher les radicaux libres d'oxyder les cellules de notre organisme. Responsables du vieillissement des cellules mais aussi de l'apparition de certains cancers, les radicaux libres doivent être contrés par des antioxydants.
Le miel est bon pour le cancer du côlon, de la prostate, de la peau, du foie et des poumons. À l'Université de Zagreb, en Croatie, le Dr Orsolic a mené des études sur des souris. Il a noté que le miel a des propriétés pour arrêter la croissance des tumeurs cancéreuses et les tuer.
Cœur + AVC recommande de veiller à ce que la quantité de sucre que vous consommez par jour ne dépasse pas 10 % des calories totales, et idéalement de viser moins de 5 %. Par exemple, pour un régime alimentaire moyen de 2 000 calories par jour, 10 % représentent environ 48 g (ou 12 cuillères à thé) de sucre.
Santé La vitamine C renforcerait les cellules cancéreuses
Des chercheurs chiliens viennent toutefois de démontrer qu'il sert également de bouclier aux cellules tumorales dans différents types de cancer.
Nous conseillons aux personnes malades du cancer ou qui sont passées par la maladie de ne boire quotidiennement de l'eau du robinet que si elles sont sûres de sa qualité, et sinon de s'équiper d'un filtre de qualité ou de boire de l'eau en bouteille.
L'alimentation joue un rôle dans l'évolution des cancers. Et comme les humains, les tumeurs sont friandes de lipides (le gras à la base de l'alimentation). Ainsi, elles s'en nourrissent pour s'étendre. Une nouvelle étude parue dans la revue scientifique Nature décrypte ce phénomène très particulier.
À cette condition, on peut en manger sans crainte. Durant un cancer, un apport en viande rouge est par ailleurs recommandé, car elle apporte du fer et de la vitamine B12, des nutriments essentiels pour prévenir l'anémie.
Chimiothérapie : agir avec des médicaments
De nombreux médicaments anticancéreux (on dit aussi antitumoraux) ont été mis au point, notamment depuis les années 70. Ces médicaments agissent soit en détruisant les cellules cancéreuses, soit en arrêtant leur multiplication.
En Asie, le curcuma est utilisé en médecine depuis de nombreux siècles. Il posséderait des propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes, anti-cancer et anti-infectieuses.
En cas de chimiothérapie, l'abstention est le meilleur comportement à adopter et ceci pendant toute la durée du traitement. Si l'arrêt total est compliqué, il est vivement conseillé de limiter sa consommation et de respecter une abstention totale le jour de la cure de chimiothérapie et pendant la semaine qui suit.
Le cancer du poumon est la cause la plus fréquente de décès liés au cancer.
Ainsi, pour les cancers de pronostic favorable 5 ans après le diagnostic, on observe à 20 ans une survie nette relativement stable quel que soit l'âge. C'est le cas des cancers du testicule (survie nette à 20 ans supérieure à 90 %), des mélanomes cutanés (> 80 %) et des cancers du sein (> 63 %).
Les cancers de la peau sont les cancers les plus fréquemment diagnostiqués dans le monde, avec plus de 1,5 million de nouveaux cas estimés en 2020. Le mélanome cutané (1,6 % des cancers diagnostiqués) en est la forme la plus agressive.