S'il baisse après le début d'un traitement et qu'il reste à un faible niveau, cela témoigne d'une bonne efficacité. À l'inverse, s'il remonte, cela peut-être le signe d'une récidive. En sachant toutefois que le taux de PSA peut fluctuer modérément sans signifier pour autant une évolution de la maladie.
Choisissez bien votre apport en protéine
Les protéines maigres contenues dans le poulet, le poisson et le soja sont, dans un premier temps, bénéfiques pour le système cardiovasculaire car elles protègent contre les maladies cardiaques, mais aussi pour la santé de la prostate en diminuant le taux de PSA.
Saumon, sardine, maquereau, truite, hareng et huiles de lin, de colza, de germe de blé. Ces poissons gras et ces huiles ont des effets anti-inflammatoires et sont riches en acide gras oméga-3 qui préviennent le cancer de la prostate.
Pour cause, de nombreuses pathologies peuvent provoquer une augmentation du taux de PSA (par exemple une rétention d'urine ou une infection urinaire), ce qui induit la survenue de nombreux faux positifs.
Variations du taux dans le sang
Son taux sanguin est alors plus élevé. Mais l'inflammation, l'adénome de prostate (tumeur parfaitement bénigne), l'éjaculation, une intervention sur la prostate sont également des causes d'élévation de PSA, temporaires pour la plupart.
S'il y a un cancer résiduel, soit le PSA ne s'abaisse pas jusqu'à un taux indétectable, soit il s'élève après une période d'indétectabilité. Il y a un consensus pour définir la récidive en cas de valeur de PSA supérieure à 0,2ng/ml confirmée à deux dosages successifs.
Elle est de l'ordre de 4 ng/mL de sang. Le taux normal de PSA varie en fonction de l'âge du patient: il est de 2,5 ng/mL pour les hommes de moins de 50 ans, de 3, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 50 à 60 ans et de 4, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 60 à 70 ans.
S'il baisse après le début d'un traitement et qu'il reste à un faible niveau, cela témoigne d'une bonne efficacité. À l'inverse, s'il remonte, cela peut-être le signe d'une récidive. En sachant toutefois que le taux de PSA peut fluctuer modérément sans signifier pour autant une évolution de la maladie.
La consommation quotidienne de plusieurs tasses de café permettrait de réduire les risques de développer un cancer de la prostate. Boire du café réduit le risque de développer le cancer de la prostate.
L'alcool peut-il augmenter le risque de développer une hyperplasie de la prostate? Ce serait plutôt le contraire! D'après l'état actuel de la science, il existe une corrélation négative entre la consommation d'alcool et le risque d'HBP.
L'hypertrophie bénigne de la prostate a un effet négatif sur la sexualité. Les médecins savent depuis longtemps qu'un cancer de la prostate peut entraîner des troubles sexuels chez l'homme, en particulier des problèmes d'érection et d'éjaculation. Ces troubles sont liés autant à la maladie qu'aux traitements.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Une alimentation riche en soja réduirait le taux de PSA de 14% (10). Le soja contient des polyphénols (génistéine, famille des isoflavones) qui ont un rôle antioxydant et oestrogénisant. Le tofu, les boissons et yaourts au soja en sont riches.
Un taux moyen de PSA normal dans le sang sera de 2,5 ng /ml (nanogramme /millilitre) pour les hommes de moins de 50 ans. Dans le cas d'un taux de PSA supérieur à 10 dans le sang, le risque de cancer de la prostate est très élevé et demandera des examens complémentaires.
Faites le plein de lycopène en mangeant des tomates et autres fruits et légumes très colorés, car ce pigment de la famille des caroténoïdes est un puissant antioxydant qui pourrait contribuer à maintenir stable la taille de la prostate et à freiner le développement tumoral. Et surtout, prenez du zinc !
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
Un verre de vin rouge par jour peut-il prémunir contre le cancer de la prostate ? Une consommation modérée de vin rouge n'augmente pas significativement le risque de cancer de la prostate, selon une nouvelle étude. En réalité, elle pourrait même avoir un effet légèrement protecteur.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
Progression du cancer de la prostate - Dans une étude portant sur plus de 1 400 hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate à un stade précoce, les hommes qui marchaient rapidement (pas tranquillement) pendant au moins trois heures par semaine étaient 57% moins susceptibles de voir leur cancer progresser que ...
Les traitements du cancer de la prostate sont la chirurgie pour enlever la prostate, la radiothérapie, les médicaments d'hormonothérapie, voire plus rarement, la chimiothérapie. Dans certains cas, la seule mesure qui est prise est une surveillance active.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
Cependant il est difficile d'indiquer un taux limite normal pour tous les individus car le taux de PSA varie en fonction de nombreux facteurs et pas uniquement du cancer de la prostate. Ainsi, le PSA augmente avec la taille de la prostate et avec l'âge, même en l'absence de cancer.
Le PSA normal est normalement inférieur à 4 ng/ml. Mais, cette valeur seuil doit être relativisée à l'âge. Inférieur à 2,5 ng/ml avant 50 ans, sa valeur s'élève avec l'âge en même temps que la croissance normale de la prostate (inférieur à 6,5 ng/ml avant 80 ans).
La racine d'ortie dioïque pour soulager l'hyperplasie bénigne de la prostate. Les racines d'ortie dioïque (Urtica dioica) contiennent des lignanes, aux propriétés similaires à celles des hormones féminines et qui pourraient expliquer leurs effets sur la prostate.