Plus qu'une manière de subvenir à nos besoins, le travail est désormais un vecteur d'épanouissement et de réalisation de soi : il donne un sens à notre vie et nous permet de nous sentir utile à la société. La question du bien-être et de la qualité de vie au travail prend donc tout son sens.
Le travail est un vecteur de développement personnel et préserve nos capacités intellectuelles. Et il ne faut pas oublier que le travail est valorisant, nous assigne un rôle dans la société, un statut social et une reconnaissance de la part des autres déterminant pour une bonne santé mentale.
Le travail forme l'être humain à la sociabilisation et lui apprend donc à vivre en société. Le travail est en effet lié à la diversité des techniques et à la nécessaire coopération sociale. Le travail favorise également la communication, donc le rapport avec les autres. Il fait vraiment de l'être humain un être social.
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
En conclusion, nous pouvons affirmer que le travail contribue au bonheur car il procure de nombreuses sensations, interactions, liens et sentiments bénéfiques à notre organisme et contribuant à cet état de bonheur. Il existe malgré tout des obstacles et des conditions nécessaires pour atteindre ce bonheur.
Gagner sa vie et découvrir les autres
Tu vas pouvoir mettre de côté pour préparer la suite de tes aventures ! Mais au-delà du salaire, travailler permet de rencontrer de nouvelles personnes et d'élargir ton cercle social. Et puis travailler est bien souvent une activité collective.
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
C'est une action qui se traduit par la réalisation, la production, la création de quelque chose et qui peut être professionnelle ou non. Notre société étant ainsi organisée, le principe de réalité nous suggère d'exercer une profession qui nous permette de vivre et donc d'être rémunéré.
Le travail a une grande valeur, il ne s'agit pas de le nier. Il développe des vertus morales, permet à l'individu de se sentir utile socialement et lui donne des raisons de vivre. Il est au principe de la civilisation et de ses progrès. Mais il ne faut pas sous estimer sa part maudite.
Pour 80% c'est une manière de trouver sa place dans la société, pour 79%, il génère du lien social (qui fait partie des quatre piliers nécessaires à l'épanouissement), et permet de se sentir utile. Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre.
Le sens du travail se rapporte aux tâches ou aux activités qui s'inscrivent dans un rôle, une fonction. Le sens au travail s'applique aux relations qu'une personne entretient dans son milieu de travail avec ses supérieurs, ses collaborateurs, ses collègues et la clientèle.
Le travail, dans son sens le plus large, est une activité humaine fondamentale. Au cœur de notre société, il représente bien plus qu'une simple manière de gagner sa vie ; il est le reflet de nos compétences, aspirations, et souvent, de notre place dans la communauté.
La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus). L'auteur y propose des solutions et peut ouvrir des perspectives nouvelles qui permettraient la poursuite de la recherche.
Le travail d'équipe permet d'instaurer un sentiment de confiance, car les membres s'épaulent, dans l'intérêt de l'ensemble du groupe. Si chacun travaille de son côté, certains individus peuvent se sentir isolés, voire mis en concurrence avec leurs collègues à propos de leurs tâches ou performances.
Le travail est nécessaire au bonheur car sans le travail, il n'y a pas du bonheur. Le travail permet à une personne d'être occupée et de gagner de l'argent. Ce qui apportera ensuite au bonheur. Avec tout l'argent gagné, une personne peut faire ce qu'elle veut car l'argent supporte tout nos dépenses.
Le travail comme libération. Le travail est certes le seul moyen que l'homme ait d'assurer sa survie : si nous travaillons, c'est donc bien par nécessité, et même par une nécessité qui est naturelle avant d'être sociale. C'est alors la liberté humaine qui se trouve, semble-t-il, compromise.
Le travail est au fondement de l'ordre social, il détermine largement la place des individus dans la société, il continue d'être le principal moyen de subsistance et d'occuper une part essentielle de la vie des individus. Travailler est une norme, un “ fait social total ”.
Vous l'avez forcément entendu çà ou là : « travail » proviendrait du latin « tripalium », qui désigne un instrument de torture composé de trois pieux. Proposée par le linguiste Alain Rey, cette explication a fait couler beaucoup d'encre : le travail est une torture, donc une source de souffrance, donc à bannir.
Les employés sont souvent interrogés sur ce qui les rend heureux au travail. Une bonne ambiance de travail, une reconnaissance de leurs efforts, une collaboration efficace avec leurs collègues et une fierté du travail bien fait sont souvent citées.
Le travail, c'est la vie, et sans lui il n'y a que peur et insécurité.
Les recherches bibliographiques récentes montrent que le travail en horaires longs est à l'origine d'effets sur la santé : troubles psychiques (dépression, anxiété, suicides…), troubles du sommeil, addictions, anomalies lors de la grossesse et d'autres altérations de l'état de santé général.
Le travail est l'un des secrets pour obtenir une joie entière dans le plan de Dieu. Si nous sommes justes, nous retournerons vivre avec notre Père céleste et nous aurons du travail à faire. Lorsque nous deviendrons semblables à lui, notre œuvre deviendra semblable à la sienne.
1/ Ce qui pousse l'homme à travailler, c'est la nécessité qu'il y a de transformer la nature pour l'adapter à nos besoins. Le travail est une transformation de la nature en vue de satisfaire ses besoins vitaux.
Travailler plus pour gagner plus est un slogan de la campagne présidentielle française de 2007 utilisé par Nicolas Sarkozy. Il symbolise la volonté du candidat de remettre en cause les 35 heures et de « libérer » le travail des salariés afin d'augmenter leur pouvoir d'achat.