La religiosité animale se situe ainsi entre le tasbīḥ et le tasḫīr. Adorateur de Dieu avant toute chose donc, l'animal est bien loin d'incarner une forme rudimentaire de religiosité, mais il est tout au contraire présenté comme un modèle de piété.
Réponse du Guichet. Bonjour, Si une vision anthropocentrique a longtemps prévalu, les analyses ont depuis évolué. Les études éthologiques montrent en effet que les animaux sont capables de ressentir et de manifester souffrance, plaisir, bonheur mais aussi d'être capables d'entraide et de solidarité.
Quel est le premier animal que Dieu a créé ? Manifestement, c'était une bactérie. Il devait manquer d'inspiration ce jour là… Manifestement, c'était une bactérie.
L'animal est soit le compagnon du dieux/ déesses ou soit l'attribut des dieux/ déesses, incarnant une part de leur puissance et de leur identité : l'aigle de Zeus, la biche d'Artémis, la chouette et le serpent d'Athena.
Reflet d'une société agricole où l'homme dépend des animaux, la Bible met en place quantité de correctifs destinés à organiser la relation entre l'homme et l'animal. Ainsi les animaux ont-ils droit au repos le jour du sabbat (Exode 23,12).
Les quatre évangélistes et leur attribut entourent le Seigneur. Le lion au-dessus de l'image représente le lion de Juda, symbole du Christ. Le dragon de l'Apocalypse, avec ses sept têtes couronnées et ses dix cornes, est vaincu par saint Michel et ses anges, annonçant la venue du royaume de Dieu.
Le Christ est lui-même parfois représenté sous la forme de l'agneau. Les autels du Baroque regorgent d'agneaux dorés, couchés ou endormis, symbolisant l'innocence et la pureté. Le langage populaire s'est également emparé de ce symbole : « Cet homme est un agneau », « Il est doux comme un agneau ».
S'ils ne symbolisent pas la religion dans sa globalité, ils sont associés à des figures majeures. Ainsi, l'animal le plus important est l'agneau, intimement lié à la fête de Pâques (on parle régulièrement de l'agneau pascal). La Bible évoque souvent l'Agneau de Dieu « qui enlève les péchés du monde ».
L'éléphant en Asie et en Inde : Il est vénéré comme un dieu pour sa protection et en tant que gardien de la nature. L'éléphant reflète la sagesse, la prospérité. L'aigle chez les Grecs et les Indiens : L'aigle symbolise l'ami des dieux qui a toujours été sollicité par ces derniers dans les mythes.
Pour sa gloire ! Les animaux manifestent quelque chose au sujet de Dieu ; ils sont, comme disait saint Augustin, ses « vestiges », en tant qu'ils sont vivants et sensibles, expressions de son unité, de sa vérité et de sa bonté.
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Dieu dit: Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi. Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon.
«Un jour, nous reverrons nos animaux dans l'éternité du Christ. Le paradis est ouvert à toutes les créatures de Dieu», a expliqué le souverain pontife.
Chaque religion a sa propre vision de ce qui nous attend dans l'au-delà. Certaines religions traitent les animaux avec la même révérence et la même dignité que les humains et, selon elles, les chiens, les chats et tous les autres animaux attendent au "ciel" comme n'importe quel autre être humain qui l'a mérité.
Où va l'âme des animaux ? A l'instant même où l'âme de l'animal quitte son enveloppe charnelle, celle-ci est en suspension dans les airs. Il est conscient et peut voir tout ce qui l'entoure, percevoir notre tristesse, nos larmes.
29 Voici, parmi les petites créatures qui foisonnent sur la terre, ceux que vous considérerez comme impurs : la taupe, la souris et le lézard, selon leurs espèces ; 30 le hérisson, la grenouille, la tortue, le limaçon et le caméléon.
Mais les chats sont communs. Et non mentionné dans la Bible. Nous avons donc un problème. Les chats ne sont bien sûr pas du tout des "chats", mais des créatures de Satan en ce sens que, comme lui, ils sont omniprésents.
L'ânesse de Balaam (Nombres 22)
des animaux qui parlent. C'est pour cette raison qu'il est très très bizarre de croiser dans la Bible, au milieu de récits tout ce qu'il y a de plus réalistes, une ânesse qui parle !
La vache en Inde
Le mammifère qui peuple nos campagnes est certainement l'animal sacré le plus connu au monde. Considérée comme la mère des humains, la vache symbolise la fertilité, l'abondance de nourriture et à ce titre, est perçue comme un porte-bonheur pour les récoltes.
Plus tard, les Pères de l'Église y ont vu l'emblème des quatre évangélistes avec leurs attributs : le lion pour Marc, le taureau pour Luc, l'homme-ange pour Matthieu et l'aigle pour Jean. Ils accompagnent souvent les représentations du Christ en majesté.
Ainsi, curieusement, alors que la colombe qui figure l'Esprit saint n'est présentée comme tel que dans la scène du baptême de Jésus évoquée par les quatre évangiles (dont Mc 1,10-11), elle reste la version la plus connue et reproduite dans l'iconographie chrétienne.
Pour Clément d'Alexandrie, dans son ouvrage appelé le Pédagogue, les plus anciens symboles de distinction des chrétiens sont une colombe, pour la colombe de l'arche et le Saint-Esprit, un navire pour l'Église (universelle), une ancre pour l'espérance, et un poisson pour Jésus-Christ, car le mot grec Ichthus contient ...
Chez l'hippocampe, le mâle en gestation
Ce dernier va les fertiliser à l'intérieur de la poche, c'est lui qui va les couver et il va rester seul. La femelle, qui a donné ses œufs, s'en va pour refaire sa vie. Au moins, l'hippocampe est sûr d'être le père !
Parce que le poisson a une signification religieuse : c'est synonyme d'abondance dans l'Évangile, (Jésus apporte du pain et des poissons, des histoires de pêche miraculeuse), et par extension, les poissons vont symboliser les chrétiens eux-mêmes qu'il faut pêcher.