Selon une récente étude publiée dans la revue Zoo Biology, un « couple » d'ours croates élevé en semi-captivité s'adonne plusieurs fois par jour aux plaisirs de la fellation. L'homme n'a pas le monopole du plaisir sexuel.
Boire, manger… ou s'accoupler procurent du plaisir chez tous les animaux. La dopamine est qualifiée d'hormone du bonheur car elle permet d'anticiper le plaisir qu'apportera la sexualité. Les grands singes sont connus pour leurs pratiques sexuelles, même quand elles n'ont pas pour but la reproduction.
La sexualité animale n'est pas seulement liée à la reproduction, mais aussi au plaisir. Dans le monde animal, le plaisir existe bel et bien, sans forcément qu'il y ait reproduction. "La masturbation existe, le cunnilingus aussi et il y a des preuves d'orgasmes dans le monde animal.
Ils prennent leur temps, se caressent, avant de copuler face à face.» D'autres observations font état de masturbations réciproques, de fellations et de cunnilingus.
Il existe beaucoup d'autres pratiques dans le milieu naturel. » Ceux qui ont un chien mâle à la maison en savent quelque chose : il est parfois envahi par le désir de se masturber. Les primates en général, les kangourous, mais aussi les tortues ou les criquets ne se gênent pas non plus.
L'Antechinus de Stuart est un petit marsupial au nom un peu classe et à la vie sexuelle aussi trépidante que tragique. Chaque printemps, ce minuscule carnivore aux allures de musaraigne du bush n'a qu'une idée en tête : BAISER SANS JAMAIS S'ARRÊTER.
Certains ont voulu attribuer le phénomène au « stress » subi par ces singes au contact des hommes. Jusqu'à ce que l'Américaine Sarah Hrdy démontre qu'il s'agissait là d'une stratégie liée à la théorie de l'évolution. Par ce crime originel, le mâle dominant contrôle la provenance des petits qu'il aura à sa charge.
Lors de l'accouplement, le lion maintient fermement le cou de sa partenaire entre ses dents pour la calmer. La pénétration est en effet très douloureuse pour les lionnes ; les poils présents à l'extrémité du pénis des mâles sont durs comme des épines, mais nécessaires pour déclencher l'ovulation de la femelle.
Les bonobos ont une sexualité très libre, s'adonnent à la masturbation et ont des rapports sexuels fréquents en dehors de toute volonté reproductive. Entre mâle et femmes ou individus du même sexe, le sexe est la solution à tout chez les bonobos !
C'est pourquoi, la reproduction entre nos deux espèces n'est pas envisageable. Si une expérience tentait de féconder in vitro un ovule de chimpanzé et un spermatozoïde humain ou l'inverse, personne ne peut dire ce que cela produirait.
Lorsqu'ils sont stressés, les singes se grattent : chez le macaque, expliquent les chercheurs, le grattage peut être une réponse à la démangeaison certes, mais c'est également la manifestation la plus courante du stress.
Les grands singes, qui partagent déjà la majorité de leur génome avec les Hommes, ont aussi un de leur comportement social qui se rapproche du nôtre.
Le serpent mâle va reconnaître la femelle réceptive grâce aux phéromones émises par cette dernière. Il va alors s'enrouler autour de la femelle jusqu'à positionner les deux cloaques l'un en face de l'autre. Les ébats qui peuvent durer plusieurs heures !
Ainsi, le mâle retrousse la lèvre supérieure et relève la tête. Si la femelle est réceptive, le mâle va frotter sa tête sur la croupe de la femelle, lèche sa queue et lève la patte antérieure. La femelle accepte alors l'accouplement et les girafes se reproduisent entre elles.
Pendant l'accouplement, le lion garde la nuque de la femelle dans sa gueule et la mord au cou. Cela la garde instinctivement calme ; le pénis du mâle est garni de protubérances épineuses et lorsqu'il se retire, on suppose que la lionne ressent de la douleur.
Non, il y a une spécificité d'espèce, les spermatozoïdes des autres mammifères ne peuvent pas féconder les ovules humains.
L'accouplement sans finalité de reproduction est un exutoire permettant aux singes de resserrer les liens et de communiquer. D'une durée moyenne de quatorze secondes, les rapports sexuels s'engagent en moyenne une fois toutes les 90 minutes.
Les singes ne pleurent pas avec des larmes
C'est l'Homme. Le singe quant à lui peut verser des larmes d'un point de vue physiologique mais en pratique aucun animal ne verse des larmes pour affirmer tel ou tel sentiment.
Il s'agit d'une espèce dite sémelpare. Un terme qui désigne des animaux ne connaissant qu'un cycle de reproduction au cours de leur vie. Pendant deux semaines, ces marsupiaux se lancent dans une course effrénée et copulent des heures durant, jusqu'à l'épuisement.
Véritable chef-d'oeuvre bicéphale, ce double pénis lui permet d'en recharger un lorsque le second est en action. Le tout sans interrompre l'accouplement, ce qui lui permet de multiplier ses chances de se reproduire. La forme que prennent ces deux hémipénis est propre à chaque serpent.
La femelle du serpent s'appelle ... le serpent, et leurs petits s'appellent des serpenteaux. Aussi, le mâle et la femelle corbeau portent le même nom et leurs petits s'appellent des corbillats.
Le bébé du serpent est le serpenteau. Le bébé du chameau est le chamelon. Le bébé du lama est le cria.
#1. Les orangs-outans. Les orangs-outans sont les animaux les plus intelligents du monde ! Tout comme les chimpanzés, l'orang-outan est capable d'utiliser des outils, d'apprendre la langue des signes et d'avoir des structures sociales complexes impliquant des rituels.
Les hommes et les singes ont un ancêtre commun, le plus ancien hominidé connu aujourd'hui est Toumaï (7 millions d'années). Notre ancêtre commun pourrait avoir vécu il y a entre 7 et 10 millions d'années mais il n'est toujours pas connu.
On peut y voir également que le dernier ancêtre commun entre la lignée humaine et la lignée des bonobos et des chimpanzés, avec qui nous partageons aujourd'hui 98,5 % de nos gènes, remonterait à environ 8 millions d'années.