Bulots, Saint-Jacques, coques et autres coquillages de la même famille peuvent très bien être congelés. Attention toutefois, le processus de congélation doit se faire qu'une seule fois. Il ne faut donc pas que les fruits de mer ou coquillages aient été congelés auparavant. Ils peuvent être crus ou cuits.
Après avoir rincé et cuit les mollusques, retirez la chair de leur coquille. Placez-la dans un récipient adapté au congélateur et fermez hermétiquement avant de mettre vos mollusques au congélateur.
Les bulots ne se conservent pas longtemps, au maximum 24 heures. L'idéal est de les placer dans une serviette humide, à température ambiante, car les bulots craignent le froid.
Les bulots vivants ou cuits se conservent au réfrigérateur ou dans une chambre froide pendant 24 à 48 heures, à 4 °C. Surgelés, ils se gardent au congélateur sans rupture de la chaîne du froid.
Faire dégorger pendant 1 à 2 heures les bulots en les recouvrant d'eau très salée : ils rejettent le sable et la « glaire ». Les rincer et les faire cuire, départ eau froide, durant 20 minutes avec sel, poivre, thym et algues séchées (facultatif). Les laisser refroidir dans l'eau de cuisson.
le BULOT, l'antistress à volonté
Ils sont riches en magnésium, aux vertus calmantes : 100g (une cinquantaine) couvrent plus de 80% de nos besoins. À cela s'ajoutent des vitamines B3 et B5, qui contribuent à réguler la production d'adrénaline, l'hormone du stress.
Le bulot cru doit être dégorgé avant la cuisson. En effet, surtout si vous le récupérer juste après la pêche, il va sécréter un mucus visqueux, un peu à la manière des escargots. Le temps minimum est de 2 heures, mais il peut être un peu plus long en fonction de la grosseur des coquillages.
Prévoir environ 150g par personne.
Pour servir vos bulots à l'apéritif, il suffit de retirer délicatement à l'aide d'une pique à coquillage, la partie comestible du bulot et d'enlever l'opercule s'il est présent. Généralement, surtout pour les plus gros mollusques, le tortillon, l'intestin du bulot, ne se mange pas.
Pas facile d'estimer la fraîcheur de ces petites bêtes qui se cachent dans leur coquille. Votre meilleure arme pour y arriver, c'est votre odorat. Si les bulots et les bigorneaux sentent l'iode et la mer, c'est OK. Mais s'ils dégagent une odeur trop forte ou trop agressive, ne les achetez pas !
99 kcal / 100 g
Le bulot est un gastéropode qui regorge de bienfaits nutritionnels. Outre le fait qu'il soit peu calorique, il possède une forte teneur en protéines, magnésium, cuivre, zinc, sélénium, iode et vitamine B12. Le bulot est aussi une bonne source de phosphore.
La raison ? La flambée des prix du mollusque, qui a doublé en l'espace d'un an seulement. Mais aussi les baisses de quantité potentiellement dues au réchauffement climatique.
Outre la quantité de sel dans l'eau, le secret des bulots savoureux réside dans le refroidissement. Il faut en effet les laisser refroidir dans leur eau de cuisson afin qu'ils s'attendrissent. Lorsqu'ils sont revenus à température ambiante, dégustez, ils seront parfaits !
Une fois cuit, il peut être réchauffé une dizaine de minutes dans une sauce au curry, ou posé 5 minutes sur un barbecue pour prendre un petit goût fumé. Revenu à la poêle avec du beurre et des petits légumes, c'est un plat original et léger.
En effet, plus ceux-ci sont gros, plus leur chair est dure. Attention également à les cuire vivants. Pour ce qui est de la cuisson d'ailleurs, il faut savoir que le bulot est un mollusque qui nécessite de l'attention. En effet, trop cuit, il s'avère caoutchouteux, et pas assez, il est gélatineux.
Les poissons maigres, comme la sole ou le cabillaud, peuvent être congelés longtemps, jusqu'à 6 mois. En revanche, les poissons gras, comme le saumon ou le thon, ne doivent pas rester dans le congélateur plus de 3 mois. Les poulpes, seiches et calamars se conservent congélateur environ 3-4 mois.
A l'aide d'un couteau d'office, retirer l'amande, c'est-à-dire la petite pellicule qui repose sur le bulot. Puis sortir le bulot en le piquant avec la pointe du couteau et en faisant tourner sa coquille.
Quelle est la saison pour consommer du bulot ? On peut trouver des bulots toute l'année. Cependant, les mois de prédilection sont de janvier à mars, c'est à ce moment que le prix au kilo est le moins élevé.
Le bigorneau est à dénicher sur les rochers, au milieu des algues et près de la côte. Comme le bulot, il se ramasse à la main. Le bulot, lui, est à traquer plus loin, entre les étoiles de mer, légèrement enfoui dans le sable, ou encore sur quelques coins de roches parmi les moules.
Carnivore, le bulot est essentiellement nécrophage. Il se nourrit des restes de poissons et crustacés qu'il trouve sur le fond.
Les bulots se marient parfaitement avec du vin blanc sec plutôt « jeune » comme un bon Mâcon Chardonnay blanc nouveau, un Muscadet Sèvre et Maine sur lie, un Vin de Corse Porto-Vecchio blanc, un Bourgogne Vézelay ou encore un Fiefs Vendéens Mareuil blanc.
Les bulots doivent être placés dans une serviette humide, et surtout à une température de congélation ambiante. Les bulots craignent le froid, une fois cuits, ils doivent être consommés dans les 48 heures. Avant leur consommation, placez-les dans un appareil frigorifique.
Les coques, les couteaux, les palourdes et les bulots font partie des coquillages frais qui sont souvent encore pleins de sable quand on les achète. Pour les faire dégorger, c'est assez simple : il faut les laisser tremper dans de l'eau salée pendant au moins 2 heures et remuer de temps en temps.
Les coquillages apportent peu de cholestérol, contrairement aux crustacés. Ils ne contiennent quasiment pas d'acides gras saturés, les graisses qui sont les plus importantes à limiter en cas d'excès de mauvais cholestérol (LDL).