Seule la participation de la France à l'OTASE lui permettait de garder une certaine responsabilité dans le maintien de la paix en Asie du Sud-Est.
La guerre d'Indochine ou guerre d'indépendance d'Indochine, également désignée au Viêt Nam comme la guerre de résistance antifrançaise ou encore la première guerre d'Indochine dans le monde anglo-saxon, est un conflit armé qui se déroule de 1946 à 1954 en Indochine française (ou Fédération indochinoise) : actuels ...
La guerre du Viêt Nam a eu lieu entre 1963 et 1975. Elle opposa le Viêt Nam du Sud, soutenu par les États-Unis, au Viêt Nam du Nord et aux mouvements indépendantistes du sud, aidés par la Chine et l'URSS.
La guerre d'Indochine s'est déroulée de 1946 à 1954. Le régime colonial imposé par la France à plusieurs pays asiatiques est à l'origine de ce conflit, qui a fait plus de 500.000 victimes et a notamment conduit à la scission du Vietnam.
Au mois de janvier 1956, le Sud-Vietnam fait savoir officiellement que la présence militaire française n'est plus souhaitée, le 28 avril 1956, CEFEO est dissout. Les Français cèdent la place aux Américains et, sans grandeur, quittent l'Indochine, presque un siècle après leur arrivée.
Pour justifier cette guerre coloniale devant l'opinion publique mondiale en général et du gouvernement américain en particulier, les autorités françaises la définissent davantage comme une lutte anticommuniste que comme une guerre coloniale.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
Le Dai Viêt fut renommé Viêt Nam en 1804 jusqu'en 1838, mais fut appelé An Nam (l'Annam) par les Chinois. L'État, épuisé par des décennies de guerres, fut réunifié et restauré par Gia Long et ses successeurs: Minh Mang (1820-1840) et Thieu Tri (1840-1847).
Fin de la guerre du Vietnam : le pays est unifié
C'est la chute de Saigon, capitale du Sud-Vietnam, qui met un terme définitif aux affrontements entre les troupes vietnamiennes. Le 30 avril 1975, le camp soviétique prend Saigon et gagne la guerre du Vietnam.
Les Vietcongs devenaient ainsi les soldats de la guerre froide par procuration. Pour ce chercheur, la principale raison de la défaite américaine se trouve dans le refus par les jeunes générations du "mourir pour le Vietnam", ce dogme de l'Amérique des politiciens.
Le 14 mars 1967, Il préside la cérémonie de départ de ces dernières du camp de Saint-Germain-en-Laye. A 16 heures, sous l'œil des photographes et caméras visibles au premier et à l'arrière-plan de cette image, les drapeaux français et américains sont descendus devant des détachements de militaires des deux pays.
Les États-Unis inscrivirent ce conflit dans une logique de guerre froide en s'appuyant sur une stratégie anti-communiste. L'expansion du communisme devait être stoppée conformément à la doctrine américaine de l'endiguement, afin d'empêcher un « effet domino » en Asie du Sud-Est.
Ainsi, l'Indochine française regroupait ces trois pays de l'Asie du Sud-Est que sont aujourd'hui le Cambodge, le Laos et le Vietnam, sans oublier une portion de territoire chinois située dans l'actuelle province du Guangdong, le Kouang-Tchéou-Wan.
Le bilan est lourd, les pertes militaires françaises s'élèvent à 47 000 tués, auquel il faut ajouter les 28 000 autochtones morts en servant dans le CEFEO et 17 000 tués dans les armées des Etats associés de l'Indochine. Le Viêt-minh estime lui que ses pertes s'élèvent à environ 500 000 morts.
Le 7 mai 1954, la défaite de Dien Bien Phu conduit à la nomination de Pierre Mendès France à la tête du Conseil et à son investiture par 419 voix pour. Lors de son discours d'investiture, PMF souhaite régler le conflit indochinois en un mois, sans quoi il s'engage à démissionner.
Religion. Les religions les plus répandues sont le culte des ancêtres, le bouddhisme, le confucianisme, le taoïsme, le catholicisme et le caodaïsme. Le culte des ancêtres est millénaire et constitue la plus vieille pratique religieuse du Vietnam.
Le territoire vietnamien avait été divisé en deux en 1954 à la suite des accords de Genève. La fin de la présence française n'a cependant pas mis fin aux hostilités qui ont atteint de nouveaux sommets au cours des années 60 avec l'implication d'un fort contingent états-unien.
« Le parti guide, le peuple maîtrise, l'État administre » (Constitution de 1992) Le Vietnam est dirigé par un parti unique qui, malgré la nouvelle orientation socialiste de marché, continue d'être la seule force dirigeante du pays.
Depuis environ 1200, la France a pris part à 185 batailles et en a gagné 132. Ce nombre lui permet alors d'être la nation européenne avec le record de victoires, et ce dans le monde entier.
1 – La Chine
La République Populaire de Chine compte un peu plus de 2,1 millions de militaires d'active, auxquels peuvent s'ajouter 510 000 réservistes. Ses moyens matériels comprennent 5250 chars et véhicules blindés, 3285 aéronefs et 777 navires de guerre dont trois porte-avions ou porte-aéronefs.
C'est l'un des noms de groupes français que l'on évoquerait en premier. Mais au fait, pourquoi Nicola Sirkis et Dominique Nicolas ont-ils choisi de s'appeler Indochine ? "Grâce à Marguerite Duras dont j'étais un grand fan. Elle ressentait les mêmes choses que moi et a vécu en Indochine.
Parmi les rangs des forces alliées on comptait : les États-Unis, forte puissance utile du fait de ses nombreux hommes dans leur armée, l'Union soviétique et le Royaume-Uni, désignés sous le nom collectif de « Trois Grands ».
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.