Si 73 % des hommes avaient lu au moins un livre en 1981, ils ne sont plus que 52 % en 2018. Alors que la proportion de lectrices, elle, reste stable. Elles étaient 73 % en 1981, 70 % en 2018. Ceux que l'on appelle les « gros » lecteurs, qui ont lu vingt ouvrages ou plus au cours de l'année, étaient 28 % en 1973.
Dès que commence l'adolescence, l'enfant n'a plus envie de lire. Jusqu'au lycée, les professeurs de français imposent la lecture, souvent des ouvrages qui ne traitent pas de leurs différents centres d'intérêts, ce qui décourage l'ado à ouvrir un livre.
La lecture en baisse
Ceux qui lisent autant qu'avant sont 45 %, contre 48 % en 2017. Parmi les raisons invoquées, le manque de temps (72 %) et la préférence donnée à d'autres loisirs (63 %).
Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire. Ce besoin de distraction correspond également à un besoin d'évasion.
Senior Member. bibliophobe, mais attesté seulement comme adjectif.
« L'incapacité à lire est souvent l'un des premiers symptômes de la dépression, ajoute Frédéric Fanget. Il est nécessaire d'être bien avec soi pour se retrouver seul avec un livre. »
Entrée dans la vie active, fatigue, stress, esprit encombré, manque de temps ou d'inspiration, pile qui déborde... Les raisons qui peuvent vous pousser à abandonner la lecture sont nombreuses.
Lorsqu'on lit, on crée de nouveaux synapses, c'est à dire de nouvelles connexions. Cela solidifie la mémoire et la rend plus intense. Voilà pourquoi il est conseillé de lire pour prévenir les maladies dégénératives de la mémoire, comme Alzheimer.
Selon les données du ministère de la Culture, le fait que les jeunes lisent moins, couplé au vieillissement de la population, tend à faire diminuer la pratique de la lecture.
Liseur, euse n. et adj. = personne qui aime lire, qui lit beaucoup. Un grand liseur.
Les habitudes des plus fortunés
Les personnes très aisées optent pour du contenu leur permettant de s'améliorer ou de continuer à apprendre. Cet objectif est également retrouvé dans leurs autres occupations. "Les riches sont des lecteurs avides lorsqu'il s'agit d'apprendre à progresser.
Premier enseignement : la lecture reste une activité « importante » chez les jeunes, qu'elle soit prescrite dans le cadre scolaire (89%) ou librement choisie dans celui des loisirs (78%). En moyenne, les jeunes lisent six livres par an, dont deux dans le cadre scolaire et quatre dans celui des loisirs.
C'est un excellent moyen de s'évader.
La lecture nous fait voyager et même si l'histoire qu'on lit ne se passe pas à l'autre bout du monde, elle aide notre esprit à oublier les tracas du quotidien !
La non-lecture a donc pour conséquence le contraire de l'essor, de liberté de conscience. beaucoup plus dangereuses. « 1° Cette facilité de communiquer ses pensées tend évidemment à dissiper l'ignorance, qui est la gardienne et la sauvegarde des États bien policés ».
Quelles sont les raisons des dysfonctionnements, les obstacles ?" - Niveau de lecture insuffisant pour comprendre. - Vitesse de lecture trop lente. - Un vocabulaire ou une syntaxe trop complexe (des phrases trop longues) peuvent gêner la compréhension.
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.
Si la lecture est bonne pour la santé, elle est également un atout de taille pour enrichir son vocabulaire et apprendre de nouveaux mots. En effet, en moyenne en lisant 20 minutes chaque jour, on lirait 1,8 million de mots par an. Un atout de taille qui permet également d'améliorer son orthographe ou son vocabulaire.
Certains disent que les livres font plus travailler l'imaginaire. D'autres pensent que les films repoussent plus les limites de notre cerveau que les lignes tracées sur du papier. Je vous propose donc de faire le point sur cette compétition. C'est un fait historique avéré, le livre a précédé le cinéma.
"Environ 15 % des difficultés de lecture sont dues à des troubles neurovisuels. Dans ce cas, c'est l'organisation du regard qui n'est pas assez efficace", informe Hervé Glasel. D'autres troubles ont pour origine des problèmes liés à la phonologie (du mal à travailler les sons de la langue).
Le fait de lire a un effet immédiat sur le cerveau. Le corps et l'esprit se détendent au bout de quelques minutes grâce au travail répétitif (et fatigant) des yeux. Lire est bon pour le moral et permet en effet de placer son corps et son esprit dans un état capable d'accueillir le sommeil rapidement.
Fiez-vous à d'autres médias que les livres.
Si vous n'aimez pas lire des livres, essayez des publications plus petites comme des magazines ou des journaux. Une lecture plus courte pourrait vous encourager à lire plus. Si vous voyagez beaucoup, essayez d'utiliser une liseuse électronique.