La châtaigne est un fruit, mais en raison de sa richesse en amidon, elle est souvent considérée comme un féculent ! La farine de châtaigne est sans gluten, elle est donc intéressante pour les personnes intolérantes au gluten.
Les châtaignes/ les marrons
En fait, il s'agit du même fruit, même si le marron est plus gros et plus rond. Lorsqu'ils sont comestibles, c'est qu'ils sont tous les deux issus du châtaignier.
Le pain et les autres aliments céréaliers – riz, semoule, pâtes, blé, boulgour, maïs, certaines céréales du petit-déjeuner (préférez celles sans ajout de sucres ou de graisses)… Les légumes secs et légumineuses : haricots blancs et rouges, lentilles, flageolets, fèves, pois chiches… Les pommes de terre.
Le marron apporte du phosphore qui est indispensable à la bonne santé des dents et des os. Source de magnésium, le marron va jouer sur la détente musculaire et a un rôle anti-stress.
La valeur énergétique des marrons est certes élevée, avec 200 calories pour 100 grammes, mais contrairement aux idées reçues, ils ne font pas grossir.
Les marrons que l'on trouve en ville sont issus du marronnier d'Inde. Si l'on en mange, il peut avoir des effets indésirables. Ils sont en effet toxiques pour le corps. A la clé, il y a un risque de douleurs abdominales, des vomissements ou des irritations de la gorge.
Les composants toxiques du marron sont l'escine (saponines), la coumarine et les glycosides. Les saponines irritent le tractus gastro-intestinal. L'ingestion accidentelle d'un ou deux fruits peut provoquer des nausées et des vomissements.
La châtaigne peut causer des ballonnements et de la flatulence, surtout lorsqu'on la mange crue. Une bonne mastication permet d'atténuer ces effets.
La bogue du marron est épaisse et verte, et surmontée de petits pics espacés. Les fruits, enfin, possèdent des aspects différents : d'abord, la châtaigne est plus petite que le marron. Les châtaignes ont une forme triangulaire et ont tendance à être un peu "aplaties", tandis que les marrons sont bien ronds.
Le marron comestible est une châtaigne
D'un point de vue botanique, un marron désigne en effet une grosse châtaigne unique dans sa bogue quand les variétés non sélectionnées et sauvages présentent généralement plusieurs petits fruits dans une bogue.
Les féculents qui ne sont pas recommandés que ce soit le soir ou à tout autre moment de la journée, sont les féculents blancs. Il s'agit de féculents raffinés, qui ne disposent plus de la totalité des nutriments que les féculents contiennent sous leur forme intégrale : vitamines, minéraux, fibres…
Le conseil en plus : priviIégiez les féculents non raffinés. Riches en fibres, ils vont avoir un effet rassasiant (céréales complètes ou légumes secs).
1 – Féculents à privilégier : Les pâtes
Les raisons sont nombreuses car les pâtes apportent beaucoup de bienfaits à l'organisme dont le fait de limiter le stockage des graisses. Les pâtes sont également riches en fibres et apportent de l'énergie grâce à leurs fortes teneurs en sucres lents.
La châtaigne apporte majoritairement des glucides (28,80 g pour 100 g), dont seulement 3,90 g sous forme de sucres. Cette quantité est supérieure à la teneur moyenne des glucides présentes dans les fruits à coque (18,13 g pour 100 g).
Une portion de 100 grammes de marrons contient 0,22 mg de vitamine B6. Le marron est très intéressant pour ceux qui sont intolérants au gluten. En effet, comme il n'en contient pas il peut être mangé sans risque par ceux qui sont atteints par la maladie coeliaque. Le marron est une source de phosphore et du magnésium.
Bienfaits pour la santé
Les marrons sont très énergétiques et il faut donc les consommer en modération (180 calories par portion de 100 g.) Toutefois, ils contiennent une grande quantité de sucres lents, ce qui en fait une excellente collation en cas d'effort.
CONTRE LES RHUMATISMES, IL FAUT TOUJOURS AVOIR UN MARRON DANS SA POCHE ! Le marron, fruit du marronnier d'Inde n'est pas comestible… Mais il constituerait un remède contre les douleurs rhumatismales ! Selon un usage populaire, le fait de porter sur soi trois marrons d'Inde pourrait prévenir et guérir des rhumatismes.
Cette méthode nécessite d'avoir une poêle à châtaignes : une poêle avec des trous. A feu vif, faire chauffer la poêle. Déposer les marrons et les faire griller 2 à 3 minutes en remuant souvent pour éviter qu'ils brûlent. Baisser le feu et laisser griller 10 à 15min en remuant régulièrement.
Historiquement parlant, on dit que le terme marron. jpg serait apparu dans la région lyonnaise, emprunté à l'italien « marron. jpge » qui veut dire châtaigne. D'autre y voient une connotation sociale : la châtaigne a été la fruit du pauvre, la nourriture des cochons, mais devenant marron.
Pour se débarrasser rapidement des gaz intestinaux, il est important de manger et de boire la bouche fermée afin de ne pas ingérer de l'air excessivement. De plus, il s'agit également de prendre le temps qu'il faut pour s'alimenter calmement.
L'ananas est le fruit minceur par excellence. Il draine le corps des toxines, facilite la digestion et diminue la sensation de faim. Il contient dans sa tige de la bromélaïne, une enzyme permettant de lutter contre les graisses, et notamment la graisse abdominale.
Le bicarbonate de soude
Il suffit d'incorporer une cuillère à café de bicarbonate de soude dans un verre d'eau et d'y ajouter quelques goutes de jus de citron. Ce remède réduira le gonflement abdominal en dissipant les gaz et, au passage, il neutralisera aussi l'acide gastrique de votre estomac.
Les lipides de la châtaigne représentent près de 10 % de l'apport énergétique global, ce qui n'est pas négligeable. Les fibres, en quantité non négligeable (6 g/100 g), agissent favorablement sur le transit intestinal.
Tu le sais certainement: les "marrons chauds" sont en fait des châtaignes et proviennent du châtaignier. Ils ressemblent aux marrons d'Inde (ou simplement "marrons"), qui poussent sur le marronnier. Les deux espèces d'arbres ne sont pas apparentées et n'ont pas le même type de feuilles.
Toutes les espèces animales sont sensibles et peuvent donc être victimes d'une intoxication. Les cas sont décrits chez les ruminants et le cheval, ainsi que chez le chien qui grignote les marrons par jeu ou par gloutonnerie, plus rarement chez d'autres animaux de compagnie .