Ce que tu te proposes de leur donner ne pose aucun problème: pain (sec), épluchures et trognons de pommes, épluchures de légumes (sauf pomme de terre)... Les friandises: biscottes, pain sec coupé en tranches fines, maïs aplati... Tout ceci en petite quantité, car à cette saison, l'herbe leur suffit...
Les pommes de terre crues sont une excellente source d'énergie pour les ruminants (bovins et ovins), mais elles ont une faible valeur alimentaire pour les porcs à cause de la présence de facteurs antinutritionels et de la mauvaise digestibilité de la fécule.
Le recours aux granulés de viande de bœuf, aux fumiers contenant du cuivre et aux conduites en cuivre. Accès à des plantes, des arbustes ou des arbres toxiques. Déchets d'élagage. Le foin ou l'herbe ensilée d'origine inconnue.
Pommes de terre, carottes, oignons, haricots verts, petits pois, racines d'endives et autres écarts de tri des fruits et légumes font partie des coproduits issus des industries agroalimentaires qui peuvent être consommés par les brebis. Il est cependant indispensable de respecter certaines précautions.
Peut-être que les pommes bretonnes posent problèmes, mais en tout cas mes Ouessant normandes apprécient les pommes mûres ou pas et je n'ai jamais eu à déplorer aucun incident.
La nourriture pour moutons doit toujours consister pour plus de la moitié en fourrage comme de l'herbe, du foin ou du foin sec. Ils trouvent ce fourrage surtout en prairie, où les moutons séjournent normalement la plus grande partie de l'année.
L'alimentation
En hiver, il faut compter 1,5 kg à 2 kg de foin par jour/mouton. Lorsqu'il y a production de lait, les compléments alimentaires sont indispensables. Ils peuvent être apportés sous forme d'aliments concentrés, tels que des céréales.
Tout leur est bon pour se faire les dents ! Et ils ne sont pas sélectifs dans leurs choix. Chez moi, ils ont mangé les fraises, les piments (les feuilles), les poivrons, les tomates (mais pas tout). Ils n'ont pas touché du tout aux salades ni aux artichauts, ni aux melons.
Les moutons se nourrissent de l'herbe qu'ils trouvent dans leur pâturage. Si le terrain n'est pas assez riche, leur alimentation doit être complétée avec du foin et des aliments concentrés sous forme de céréales que vous achèterez brutes afin d'éviter que du soja OGM s'y trouve.
« L'amidon qu'il y a dans le pain fait gonfler l'estomac des animaux, explique Jacques Doury, directeur du Pavillon Béthanie du foyer médical. Cela provoque leur étouffement en quelques heures seulement. »
Où dorment les moutons ? Vos moutons ont besoin d'un lieu abrité des ardeurs du soleil, des vents violents et des fortes pluies. Ils préfèrent rester un maximum en prairie et y dormir.
La plus répandue d'entre elles est probablement la renoncule, avec plusieurs espèces : la renoncule âcre (Ranunculus acris), plus connue sous le nom de bouton d'or, très courante dans les prairies fraîches et pâturées, la renoncule bulbeuse (Ranunculus bulbosus) dans les milieux secs et la renoncule rampante ( ...
Ils apprécient aussi les trognons de chou, les fanes de carottes, de poireaux...
C'est le régime alimentaire du mulot qui le transforme en ravageur du jardin : il se nourrit de graines, de baies (mûres, framboises...), d'insectes, de racines (carotte, céleri, navet, pommes de terre...) et attaque le collet des légumes (poireau, chicorée, bettes...), ce qui finit par faire beaucoup de dégâts.
Mouton : herbe, foin. Chèvre : herbe, foin, blocs de sel. Cochon : épluchures, racines, grains, pommes (il mange de tout!) Canard : pâtés, salades, vers de terre.
Le pain pour les équidés, on l'adore, on le pratique ou on le rejette. On s'accorde en général sur la nécessité de le donner dur... un vieux principe.
Bien que plusieurs centaines de moutons paissent dans le champ, seul quelques-uns d'entre eux ont avalé cette funeste pitance. «Un mouton ne peut pas juger de la quantité de pain qui lui convient, et il cesse de manger que lorsqu'il n'y a plus de quignons», déplore l'agriculteur.
Le bêlement indique l'inquiétude dans le groupe. Pour les moutons, le bêlement est le meilleur moyen de communication. Lorsqu'ils se sentent bien, ils se font entendre naturellement. Mais s'ils ont faim ou soif, ou s'ils sont inquiets, ils le crient aussi haut et fort.
L'ensilage de maïs est de plus en plus accepté en tant qu'aliment économique et viable pour les moutons, le prix des céréales continuant d'augmenter, ainsi que la taille des troupeaux ovins et la mécanisation des élevages.
Les agneaux sont nourris avec des fourrages verts ou des fourrages conservés : foin, paille, maïs-ensilage. Leur aliment de complément est, dans la plupart des cas, constitué de céréales, avec de la graine de soja déshuilée appelée tourteau de soja, aliment très riche en protéines.
Pour une brebis en début de lactation, les consommations quotidiennes d'eau sont respectivement de 10 litres en hiver et 20 litres lors de fortes chaleurs avec une ration à base de foin et d'aliments concentrés. Enfin, avec des températures supérieures à 30 °C, un agneau en bergerie boit au quotidien 3 litres d'eau.
Le plus important est que le mouton ne soit pas mouillé jusqu'à la peau. Par temps de pluie, les brebis présentent généralement une toison humide à l'extérieur mais pas en contact de leur peau : la toison joue parfaitement son rôle d'isolant et peut repousser l'humidité pendant plusieurs jours.
Les moutons
Un mouton qui a une épaisse toison et qui est protégé de l'humidité pourra sans difficulté supporter des températures qui descendent en dessous de –15°. Un mouton qui vient d'être tondu, au contraire, doit être protégé du froid.