Pendant l'été, les moutons qui vivent dans les champs passent une grande partie de leur journée à l'ombre de ses arbres. Bien entendu, ils y font leurs crottes et leurs urines. C'est pourquoi le sol est particulièrement fertile et les orties adorent cela et donc elles y poussent très bien.
L'alpaga est un bon débroussailleur qui mange de tout, y compris des ronces et des orties.
L'herbe de Saint-Jacques et d'autres séneçons sont des plantes toxiques qui contiennent des alcaloïdes de pyrrolizidine. Ces substances dangereuses attaquent le foie de votre mouton. L'ingestion massive ou fréquente de ces plantes entraîne un empoisonnement du foie.
Les chercheurs se sont intéressés plus particulièrement à l'apport de sainfoin et de trèfle violet dans l'alimentation des moutons. Ces deux plantes contiennent des métabolites secondaires qui peuvent améliorer les processus de fabrication de l'aliment (fermentation) et sa digestion par les animaux.
Les poules mangent tout, sauf les orties ! le fait de laisser les orties va attirer les insectes, les papillons, les coccinelles : tout ce qui est bon pour le jardin !
Le lama, d'abord, est élevé pour ses compétences de jardinier. En effet, cet animal des contrées arides adore se nourrir de ronces et d'orties ; il taille les haies, mange les premières feuilles des arbres et laisse intacte leur écorce.
L'ortie est un excellent aliment pour les poules et les volailles. Riche en minéraux et en protéines, ce complément alimentaire stimule la ponte et améliore la vitalité de vos poules.
Ils n'aiment pas le houx et laissent quelques refus dans la pâture (genre herbe avec racine en carotte).
Les agneaux sont nourris avec des fourrages verts ou des fourrages conservés : foin, paille, maïs-ensilage. Leur aliment de complément est, dans la plupart des cas, constitué de céréales, avec de la graine de soja déshuilée appelée tourteau de soja, aliment très riche en protéines.
Où dorment les moutons ? Vos moutons ont besoin d'un lieu abrité des ardeurs du soleil, des vents violents et des fortes pluies. Ils préfèrent rester un maximum en prairie et y dormir.
Un mouton se contente généralement d'une ration d'herbe et de foin de bonne qualité. Pendant la croissance, la gestation et la lactation, un aliment concentré constitue un bon complément, de même qu'une pierre ou un seau à lécher, pour un apport supplémentaire de vitamines et minéraux.
Il ne mangent que l'écorce évidemment et pas le bois en tant que tel, mais c'est dans l'écorce que circule l'eau et les nutriments qui nourrissent l'arbre. Donc s'ils mangent toute l'écorce, ça tue l'arbre.
Pour les moutons, le bêlement est le meilleur moyen de communication. Lorsqu'ils se sentent bien, ils se font entendre naturellement. Mais s'ils ont faim ou soif, ou s'ils sont inquiets, ils le crient aussi haut et fort. Pour les brebis et les agneaux, le bêlement a également un autre but.
Les feuilles d'ortie sont aussi excellentes en complément pour nourrir les poules, surtout en hiver. Lorsqu'elles sont bouillies et hachées, les orties favorisent la ponte des œufs.
Utiliser de l'eau de cuisson
Pour détruire les orties, vous pouvez également utiliser l'eau de cuisson des pommes de terre ou des pâtes. En effet, lorsque les orties se développent abondamment, cela signifie que le sol est riche en azote. L'eau de cuisson va permettre de rééquilibrer le PH du sol.
Les chèvres raffolent des orties, qui sont excellentes pour leur santé (protéines, vitamines, minéraux!) et ont l'avantage de repousser sans arrêt.
L'alimentation
En hiver, il faut compter 1,5 kg à 2 kg de foin par jour/mouton. Lorsqu'il y a production de lait, les compléments alimentaires sont indispensables. Ils peuvent être apportés sous forme d'aliments concentrés, tels que des céréales.
L'ensilage de maïs est de plus en plus accepté en tant qu'aliment économique et viable pour les moutons, le prix des céréales continuant d'augmenter, ainsi que la taille des troupeaux ovins et la mécanisation des élevages.
Les pommes de terre crues sont une excellente source d'énergie pour les ruminants (bovins et ovins), mais elles ont une faible valeur alimentaire pour les porcs à cause de la présence de facteurs antinutritionels et de la mauvaise digestibilité de la fécule.
Pour mener des moutons, utilisez d'abord un bruit pour attirer leur attention. Un sac à poubelle en plastique, un hochet (une bouteille de plastique remplie de roches), des bâtons qu'on frappe ensemble ou l'aboiement d'un chien feront lever les moutons pour s'éloigner du bruit.
Cependant vos moutons seront bien plus heureux s'ils disposent de 1000 m² par tête. Et bien sûr par terrain il s'entend un terrain herbeux. L'herbe naturelle convient tout à fait au mouton, et s'il trouve des ronces, des orties, du petit bois, il s'en occupera sans problème pour vous laisser une belle prairie !
Elles mangent ce qui est ligneux : des ronces, des jeunes arbustes, du lierre. Les moutons eux, mangent de l'herbe. »
L'ortie est un trésor de vertus pour la santé : reminéralisante en cas de fractures, d'ostéoporose, d'anémie ; bénéfique en cas d'acné, d'eczéma, de psoriasis, l'ortie piquante prévient et traite les calculs rénaux, les rhumatismes, l'arthrite... et plus encore.
Tu peux couper les orties deux fois par saison, avant que les fleurs n'apparaissent, elle ne va pas disparaître. Mais laisse la racine en terre, cela te permet d'avoir ton petit champ d'orties bien à toi.
Il est indispensable de rationner la distribution
De toute façon, l'ortie fraîche pique, les vaches ne pourraient pas la consommer à moins d'un léger préfanage. Comme pour la luzerne, la récolte doit s'effectuer en veillant à maintenir un maximum de feuilles. « Quelques éleveurs ont essayé de produire du foin.