Neurones dans le cerveau humain. La neurogénèse représente 2 % de neurones nouveaux dans cet organe siège du stockage des souvenirs. Selon une récente étude suédoise, le cerveau est capable de se regénérer en produisants de nouveaux neurones fonctionnels.
La reprogrammation cellulaire directe (par opposition à la reprogrammation en cellules souches pluripotentes induites) a émergé comme une stratégie innovante qui consiste à « reprogrammer » l'identité de certaines cellules non-neuronales présentes au sein même du cerveau malade pour les transformer en neurones.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.
Le cerveau humain adulte ne produirait pas de nouveaux neurones, et si c'était une bonne nouvelle? Selon une étude récente publiée dans la revue «Nature», et contrairement à ce que l'on pensait, la neurogenèse s'arrêterait après l'âge de 13 ans dans l'hippocampe humain.
Des graisses polyinsaturées, pour entretenir les neurones
On consomme deux portions de poisson gras par semaine en privilégiant les petites espèces (anchois, sardine, maquereau, hareng…), moins polluées, on utilise des huiles d'olive, colza, lin ou noix (2 à 3 c.
A titre indicatif : Les principales sources d'oméga-3 et d'acides gras polyinsaturés sont les poissons gras (le thon, la sardine, le maquereau, le saumon, le hareng) et les huiles de noix et de soja.
Neurones dans le cerveau humain. La neurogénèse représente 2 % de neurones nouveaux dans cet organe siège du stockage des souvenirs. Selon une récente étude suédoise, le cerveau est capable de se regénérer en produisants de nouveaux neurones fonctionnels.
Contrairement à toutes les autres cellules somatiques (exception faite de celles du coeur), les neurones ne se renouvellent pas par divisions successives. Ils compensent cette faiblesse par une grande robustesse : on estime leur espérance de vie théorique à 140-150 ans !
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.
L'homme commencerait à perdre ses premiers neurones à partir de 25 ans, à raison de 10 000 par jour ! Le vieillissement cérébral est confirmé par une diminution du volume et du poids du cerveau à partir de cet âge-là ; à l'origine il représente 2 % du poids total du corps humain et consomme 20 % de l'énergie produite.
Sortir de la sédentarité , et se bouger, pratiquer un sport. Les muscles produisent des substances chimiques qui ont une incidence sur le cerveau. Il existe donc une corrélation directe entre l'activité physique et sportive et donc musculaire et la production de nouveaux neurones.
Après un accident ou une pathologie, les neurones se régénèrent à peine. Trois approches très différentes sont à l'étude pour stimuler la neuroplasticité, avec l'espoir de soigner un jour des maladies comme celles d'Alzheimer ou de Parkinson, ainsi que les paraplégies.
A terme, certaines cellules du cerveau vont aussi disparaître, c'est ce qu'on appelle la "perte de tissu cérébral". Elle s'observe clairement à partir d'une consommation journalière de 6 verres d'alcool et est due à la toxicité de l'alcool qui vient détruire les cellules cérébrales.
Le cerveau adulte est doté d'une capacité très réduite à se régénérer. Il renferme un petit nombre de cellules souches neurales dans des niches spécialisées.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Il n'existe pas de traitement pour les guérir. Une fois les symptômes déclarés, il est trop tard : le processus de destruction des cellules cérébrales, amorcé des années plus tôt, est bien engagé.
Le stress, la musique écoutée trop fort, l'absence de vie sociale, la consommation de psychotropes, ou le fait de ne pas faire travailler son cerveau sont autant de facteurs pouvant accélérer le phénomène.
« Un traumatisme crânien se traduit fréquemment par une commotion cérébrale qui peut entraîner une altération du fonctionnement des neurones », explique le neurologue Jean-François Chermann. « Concrètement, on ne perd pas directement des neurones.
Un outil particulièrement remarquable, c'est de lire, lire, lire. Ce que vous voulez, même les magazines, car cela stimule le cerveau. Cela fait faire des associations, vous parlez dans votre tête, cela stimule énormément de zones. C'est vraiment le sport le plus complet pour le cerveau.
Riche en vitamine B et en tryptophane, la banane aide à détendre le système nerveux et procure une sensation de bien-être. Le tryptophane aide à la synthèse de la sérotonine qui est un neurotransmetteur qui aide à se sentir calme.