Les psychologues sont formés dans plusieurs différents types de psychothérapies, mais celle qui a été prouvée et confirmée pour aider efficacement les personnes souffrant de dépression, d'anxiété, de stress, des problèmes d'adaptation, etc. est la thérapie cognitivo-comportementale (TCC).
Le psychologue peut vous aider entre autres à (1) comprendre/définir vos problèmes, (2) identifier les meilleures façons d'aborder ces problèmes, (3) implanter de nouvelles stratégies pour gérer le problème, et (4) prévenir la répétition des mêmes schémas à l'avenir.
VII/ Un bon psychiatre ou un bon psychologue adapteront les séances. Notamment, ils adapteront le contenu des séances à votre état psychique du moment. Il essaiera de trouver des solutions pour vous voir davantage dans les moments difficiles ou espacera les séances si vous en avez moins besoin.
Perte de confiance en vous, perte du goût des choses que vous aimiez avant, pensées suicidaires sont autant de symptômes qui révèlent le besoin de vous adresser à un professionnel pour vous aider à reprendre votre vie en main et à aller mieux.
Un psy ne peut pas m'aider puisqu'il ne parle pas. Les analystes parlent peu et c'est assez déroutant au début. Pourquoi c'est un argument qui ne tient pas la route : un psychanalyste n'est pas un coach. S'il parle très peu, c'est pour laisser son patient s'exprimer et lui permettre de trouver ses propres solutions.
Parler avec son psy, c'est réussir à parler de soi
La parole est à vous lors d'une consultation chez le psy. L'objectif est de vous libérer de vos problèmes, de vos questionnements et de vos doutes. La neutralité du cadre vous permet de verbaliser, et exprimer tout ce que vous souhaitez, sans aucune peur de jugement.
Merci à mon psy de m'écouter, de me réconforter, de m'éclairer et de me guider. Merci à mon psy de sa patience, de sa gentillesse. Sans mon psy, je n'écrirais pas aujourd'hui, car j'aurais choisi d'en finir avec la vie. Ça fait plus de 6 ans que je le rencontre.
Le prix moyen d'une consultation chez un psychologue s'élève généralement autour de 50 à 70 € par séance. Cependant, il existe des psychologues qui pratiquent des tarifs moins élevés autour de 30 à 40 € la séance, ou au contraire bien plus élevé, au-dessus de 100 € par consultation.
Pas d'inquiétude, le/la psychologue saura te mettre à l'aise et te poser quelques questions pour lancer l'échange. Il/elle va surement aussi commencer par se présenter et te dire comment l'entretien va se dérouler (c'est comme ça que ça se passe aux Happsy Hours ou à l'Happsy Line).
Depuis le 1er février 2021 les étudiants peuvent bénéficier du chèque d'accompagnement psychologique, leur permettant de suivre trois séances chez un psychologue ou un psychiatre totalement gratuitement. Notez tout de même que l'obtention de cette aide nécessite d'avoir au préalable consulté un médecin conventionné.
Le "psy" est là pour accueillir vos émotions, dont vos pleurs, votre colère, vos peurs... : c'est son "job"... Ceci étant, lui parler vrai de tout ce que vous sentez et pensez, votre envie de le "préserver" inclue, est très important pour qu'il puisse vous aider à avancer et à sortir de votre dépression.
Tout dépend de la méthode de travail mais en général 01 heure. Il peut y avoir des séance de 30 minutes, d'autres d'01h30. Souvent les rendez-vous ont lieu une fois par semaine mais il peut aussi y avoir des séances tous les quinze jours ou deux séances par semaine parfois trois.
Car le manque d'échange constructif entre un patient et son thérapeute au début de la relation peut aussi annoncer une « mésalliance thérapeutique » qui est l'une des principales causes de la stagnation, voire de l'échec du processus, toutes écoles confondues.
Son rôle est d'écouter, d'accompagner et de soigner.
il peut procéder à des tests psychologiques, pour mieux comprendre le sentiment ou le comportement de son patient. Les tests peuvent permettre d'évaluer l'humeur, d'évaluer les problèmes de mémoire ou de concentration, ou encore pour mieux cerner la personnalité.
Les blancs lors d'une conversation sont également une excellente occasion de réfléchir sur votre thérapie : parlez de ce que vous aimez (ou n'aimez pas) lors des séances. Reconnaissez les progrès que vous avez accomplis. Discutez d'expériences passées que vous voudriez approfondir un peu plus.
Le psychologue va prendre des notes et vous laisser parler puis seulement après il identifiera des conseils à vous donner découlant de son analyse. Laissez libre cours à vos ressentis, n'hésitez pas à décrire l'état d'esprit dans lequel vous vous trouvez lors de la consultation ou si un sujet vous gêne.
Psychiatre ou psychologue : quelle différence ? Contrairement au psychiatre, le psychologue n'est pas médecin, c'est un universitaire : ce professionnel est détenteur d'un master en psychologie. A ce titre, il ne peut pas prescrire de médicaments : c'est par la parole qu'il traite la maladie mentale de son patient.
Ils sont remboursés à 60 % par l'Assurance maladie, le solde étant pris en charge par l'assurance complémentaire. Ce forfait annuel sera renouvelable, dans les mêmes conditions que le premier.
La consultation chez un psychologue est nécessaire quand les troubles de la personne l'empêchent d'avoir une vie sociale satisfaisante. Cela concerne aussi bien les relations professionnelles que personnelles. Il n'est pas nécessaire d'avoir une prescription médicale pour consulter.
Outre le bouche-à-oreille ou la recherche sur Internet, vous pouvez trouver des psychologues ou des psychiatres dans les CMP (centres médico-psychologiques), les services psychiatriques des hôpitaux, les BAPU (bureaux d'aide psychologique universitaire pour étudiants) qui proposent des consultations gratuites...
Si les raisons qui poussent à consulter un psy peuvent être très vastes (maladie mentale, trouble de la personnalité, addiction, troubles du comportement, psychotraumatisme, évaluation, conflits familiaux...), la prise en charge démarre toujours par une écoute de la demande et de la souffrance du patient.
Un bon moment pour s'arrêter, c'est quand on a l'impression d'avoir fait un tour.» L'éventualité de cette séparation se discute plusieurs mois à l'avance. Elle doit avoir le temps de mûrir, d'être évaluée par les deux parties, jusqu'à paraître acceptable. C'est un processus qui, parfois, peut s'étaler sur des années.
Quand une analyse ou une psychothérapie sont " vraiment " finies, cela s'impose en général à l'analyste comme au patient : le patient sent qu'il a retrouvé sa route et l'analyste " l'entend ". Comme une évidence.
S'il n'y a pas de bonne manière de procéder, l'idéal c'est d'en parler : "le simple fait de dire à son thérapeute 'j'ai envie qu'on arrête de se voir, mais j'ai peur de vous le dire' est un bon moyen de sauter le pas", confie la psychologue clinicienne.